Dans le monde qui apparaissait à la fenêtre du train, il y avait infiniment plus de gens, de champs de blé, de peupliers, de vaches, de ponts, d'ânes, de maisons, de montagnes, de mosquées, de tracteurs, d'inscriptions, de lettres, d'étoiles et de pylônes électriques que Mevlut n'en avait vus durant ses douze ans d'existence.