Citations de Paul Jenkins (33)
- Bon, reprenons, Simon. Il est interdit de débarquer sur une scène de crime et d'écraser les preuves.
La peur est cannibale. Elle se nourrit d'elle-même.
Alfred : Des places pour le match ?
Batman : Non, remerciez-les.
Alfred : Dîner avec mademoiselle Hudson ?
Batman : Non... si ! acceptez. Autre chose ?
Alfred : Mise à part l'apocalypse imminente ? Non, je crois que ce sera tout...
“Mesdames et messieurs… à ma gauche, la Constitution américaine. À ma droite, le redoutable duo Désinformation et Paranoïa, proclamé vainqueur par abandon “
- C'est donc ça Batman ? Tu défends des salauds de richards comme Bruce Wayne ? (Forbes)
- Wayne n'est rien pour moi. Je suis Batman, avec ou sans lui.
Je sais très bien ce que j'ai fait. je leur ai donné une chance de décider ce qui est bon pour eux.
Une chance de suivre leur propre voie et non uniquement celle que tu leur imposes.
BEN.-Votre raisonnement me semble dangereux.
RED RICHARDS.-Pourtant, c'est grâce à ce type de raisonnement que nous sommes allés sur la Lune.
Sais-tu pourquoi je n'avais pas pensé à toi? Parce que tu n'as aucune importance. Tu n'es qu'un inspecteur raté d'une nouvelle de quarante pages des années 50.
Le temps révèle toute chose.
Je vous ai à l'oeil, vieux crouton. Vous et vos potes du culte démoniaque des pères palladiens.
Il était une fois une femme fidèle, c'est une belle histoire. Il était une fois un homme fidèle, c'est un conte de fées.
Derrière les effets dévastateurs d'une guerre se cachent des motivations autrement plus difficiles à repérer. La guerre sert de diversion. Nous sommes tellement gavés d'images insoutenables à la télé que nous ne savons plus trop ce qui se passe vraiment. Tout ce sang nous parait si irréel... ces blessés si loin... que nous sommes davantage préoccupés par ce qu'on va faire à dîner plutôt que de chercher un moyen de résoudre le problème. Ce qui convient très bien aux faucons en place car les millions de téléspectateurs que nous sommes regardent tous dans la mauvaise direction.
MLLE FLOYD.-En temps de guerre, l'important n'est pas de savoir qui a raison... mais de survivre. Ce sont les survivants qui écrivent l'histoire.
Attendez, je sais que vous ne pouvez pas m'encadrer, mais je vous promets... c'est un coup monté.
Pas question que les histoires s'écrivent toutes seules. Ce serait l'anarchie...
Loin au-delà d'un océan inconnu, à un million de kilomètres de l'endroit où vous êtes, se trouve une terre d'illusions. Si vous tournez en rond et suivez votre coeur vers le croissant de lune jusqu'à ce qu'il tombe derrière les collines, vous découvrirez une forêt enchantée, appelée Bois-des-contes. C'est une terre de magie, foyer de toutes les histoires jamais racontées. (p.1)
Si vous voulez avoir une chance d'atteindre vrai-monde, vous devrez rester sur la route de briques jaunes.
- C'est une maison en pain d'épices et en sucre aucun danger.
Quel endroit merveilleux ! Je me demande qui habite ici.
- A la lisière de la forêt sombre ? Sans doute un dangereux psychopathe.
"Chère Betty... Je pense à toi tous les jours."
C'est Len Samson qui a eu l'idée de cette lettre. Il pense que ça m'aidera de réfléchir à ma vie, de te parler... que ça m'aidera à me situer. J'imagine que ça fait partie de ma thérapie. En fait il s'agit de savoir d'où je viens et où je vais. Je ne sais pas... Peut-être que le mieux, c'est de commencer par le début...
"C'est bizarre, je n'ai pratiquement aucun souvenir de moi jouant avec des copains où faisant des trucs de gosse. Il ne me reste que des sons, des odeurs et des ambiances qui remontent à mon enfance. Par contre, je me rappelle beaucoup de choses concernant mes parents. Ma mère, avec son visage si incroyable. Même en la regardant pendant des heures, on n'y lisait rien d'autre que de la résignation et de la patience. Je trouvais qu'elle ressemblait à une couverture de magazine. J'aurais dû lui dire quand elle était encore vivante..."
Vous pénétrez ici dans la forêt sombre.
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