Chaque pays a sa monnaie et ces monnaies s’échangent entre elles. Dans le lointain passé, ces échanges étaient la raison d’être des banquiers, qui les pratiquaient sur un banc, dans la rue.
Il y a deux façons de réussir : la patience et la prestesse fulgurante du joueur.
Nous nous comprenons mieux l’un l’autre dans un charabia franco-italo-anglais mêlé d’un zeste d’espagnol.
Je porte un nom éclatant et sonore, un nom qui danse. Du moins est-ce ainsi que je le perçois, je l’ai toujours imaginé s’accompagnant d’une musique presque barbare, en tout cas sauvage, féroce, très gaie, dansante. Et ce départ précipité de Londres, par un soir de novembre vers le soleil africain, a été pour moi le vrai début de la danse.