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Critiques de Penny Jordan (12)
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Coup de foudre au bureau

On est sur trois auteures avec des styles assez similaires mais avec chacune leur petit truc en plus. Chaque récit est assez court mais, on exploite toutes les facettes possibles de la romance.

Les personnages sont très attachants. Ils ont tous des points communs qui font qu'ils se comprennent (la perte d'un être cher ...). Vito, Vasili et Dante sont des personnages masculins très charismatiques. Ils ont des caractères forts qui s'adoucissent au contact de nos trois héroïnes.

J'ai passé un excellent moment avec ce recueil. C'est sans prise de tête. Cela m'a aussi donné envie de découvrir Lynne Graham, Chantelle Shaw et Penny Jordan dans d'autres titres.
Lien : http://chroniquesmerveilleus..
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L'amour blessé

Bram est un homme d’affaire influent et célibataire. Il a eu son fils Jay à 14 ans et l’a recueilli quand il était enfant suite au décès de sa mère. Taylor est une jeune femme (évidemment très belle) mais qui a du mal à faire confiance, notamment aux hommes.

Roman de la collection Harlequin Best-Sellers, daté de 1996 et clairement, ce n’est pas la crème du genre. L’intrigue est plutôt agréable à suivre mais les personnages sont tellement caricaturaux que cela devient vite pénible. Les femmes soi-disant libérées se pâment dès qu’un homme montre ses muscles (ou autre) et les scènes de sexe sont… détaillées, voire franchement vulgaires. On est loin du spicy de la new-romance ou même des scènes (nombreuses) de sexe dans 50 nuances de Grey. On a l’impression que l’auteure a rajouté ces scènes pour bien appuyer le fait que les femmes de son roman assumaient leur sexualité. Inutile et très, très daté.
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L'ivresse du désir - Sous l'emprise de la pas..

Ils sont riches, habitués à obtenir tout ce qu'ils veulent, et n'hésitent pas pour cela à proposer des marchés odieux : les trois romans composant ce recueil possèdent des héros qui ne reculeront devant rien.



L'ivresse du désir commence vite, très vite, nous plaçant dès les premières lignes (!!!) devant le fameux désir réciproque instantané. Mais dans la tête de Keira comme de Jay, les choses sont loin d'être aussi simples : la première a passé sa jeunesse à entendre qu'elle finirait sur le trottoir comme sa mère, le second a vu son père tomber sous l'emprise d'une croqueuse de diamants et à ses yeux, la vie des femmes qui l'abordent ne tourne qu'autour de l'argent. Que l'une craigne plus que tout d'être accusée de mœurs légères tandis que l'autre voit lesdites mœurs légères partout aurait pu donner quelque chose d'intéressant, si seulement tout n'avait pas été si exagéré. Indépendante sur le plan professionnel, Keira est demeurée une adolescente terrifiée par le jugement des autres au niveau personnel. Au point d'avoir décidé, purement et simplement, de tirer un trait sur toute vie sentimentale, pour éviter de commettre les mêmes erreurs que sa génitrice. Wait, what ? Et Jay est encore pire : pour lui, dès qu'une femme adresse la parole à un homme, c'est *forcément* pour le séduire afin de soutirer de l'argent. En bref, « toutes des p***s » ! Pendant une centaine de pages, il ne fait donc qu'accuser Keira d'être une aguicheuse quand elle parle à ses fournisseurs, à un vendeur, à un journaliste... La jeune femme en prend plein la tronche pour pas un rond et finit par ne même plus essayer de se défendre tant Jay se montre borné et horripilant sur ce point. Mais comment un mec aussi sexiste, parano et dominateur est-il censé faire rêver quiconque ??? Perso, il m'a plutôt fait grincer des dents et donné envie de balancer le livre à travers la pièce...

Dans ces conditions, on ne s'étonnera donc pas trop que la « romance » entre ces deux-là soit un véritable désastre. Entre « sentiments » qui apparaissent de nulle part en l'absence de l'autre et méfiance réciproque qui disparaît le temps de se bécoter avant de revenir puissance douze deux secondes plus tard, absolument rien ne tient debout à ce niveau.

Et pourtant, le livre n'est pourtant pas un naufrage complet. Car reste le décor et surtout, le travail de Keira. Décoratrice d'intérieur, sa mission consistant à marier tradition et modernité en association avec des artisans locaux se montre passionnante. On suit la jeune femme depuis l'esquisse de ses premières idées aux visites auprès des producteurs jusqu'à la consécration dans les magazines ; on nous parle de tissus, de peinture, de meubles, de textures et de couleurs. Loin de n'être qu'un simple prétexte à l'histoire, cet aspect prend une importance inattendue au sein du récit et s'avère plutôt bien traité. Certes, on est toujours dans une histoire d'à peine plus de 130 pages, mais Penny Jordan a parfaitement exploité le métier de son héroïne dans le cadre de son récit.

Quel dommage que le reste ne soit pas du même niveau ! En l'état, lecture tantôt enchanteresse, tantôt irritante au possible, L'ivresse du désir reste impossible à conseiller à quiconque. (5/10)



Sous l'emprise de la passion paraît, au premier abord, à peine plus réaliste : un gala de charité, une veuve aussi sexy que Jessica Rabbit, un promoteur aux dents longues : l'on ne pourra s'empêcher d'être, comme les invités, choqués par le baiser torride échangé par ces deux-là alors qu'ils ne se connaissent pas. Mais il suffit que l'on en apprenne un peu sur Lia pour comprendre la véritable nature de son mariage et lui pardonner aussitôt cet égarement. Au contraire, la jeune femme culpabilise beaucoup pour pas grand-chose.

Lia est le véritable point fort du roman. Égratignée par la vie, elle n'attend plus grand-chose de celle-ci... du moins, avant que Roark ne la bouleverse accidentellement. Jamais Lia n'apparaît comme une pleurnicheuse, jamais ses choix ne semblent illogiques, tout au plus semble-t-elle un peu paumée à l'occasion. Bref, Lia est une héroïne réussie. Roark, par contre... Roark ne pense tout simplement qu'à lui. Déjà assez peu sympathique au départ, sa façon de traiter Lia dans la seconde partie du roman est tout simplement à vomir. C'est dommage car en dehors de ça, le développement de leur relation naissante est plutôt bien troussé passé le début très rapide. Avant que Roark ne gâche tout, évidemment. Son comportement se rapproche davantage du sadique de dark romance que du gentleman dont il joue le rôle au départ. Sauf que l'on n'a pas signé pour ça. Certes, les héros dominateurs ne sont pas rares dans les Harlequins Azur, mais la souffrance psychologique infligée à l'héroïne, on ne s'y attendait clairement pas. Les deux personnages ayant en outre perdu leurs familles dans des circonstances tragiques, vous imaginez l'ambiance assez pesante qui plane sur une bonne partie du bouquin...

Et pourtant, « Sous l'emprise de la passion » n'est pas un mauvais roman. Sans doute parce que l'autrice est parvenue, en seulement 133 pages, à créer une histoire complète, sans temps morts ni longueurs, et qui, surtout, ne sonne pas creux. Les enjeux vont bien au delà de la romance ou du parc construit par Lia et les traumatismes des protagonistes donnent une profondeur inattendue au récit. Oui, Roark est à baffer et Jennie Lucas a eu la main lourde avec lui... mais, globalement, l'histoire s'avère plus crédible qu'il n'y paraît au départ et la narration, fluide, en rend la lecture somme toute assez addictive. (6/10)



Après deux romans aux personnages masculins détestables, on craint le pire lorsque Marco sonne à la porte d'Amber et n'hésite pas à fouiller son appartement de fond en comble. Pourtant, contrairement à Jay et Roark, Marco sait se montrer bien plus civilisé... voire même étonnamment respectueux. Certes, il est furieux et bien décidé à ce que les choses se passent comme il le veut. Mais il se montre néanmoins à l'écoute d'Amber et de ses désirs et ce, de plus en plus au fur et à mesure que l'histoire progresse. L'étonnement succède à la crispation initiale et finalement, Marco mérite probablement une étiquette de « gentleman » dont bien peu de héros de romans Azur peuvent se targuer.

Dans ces conditions, voir Amber se dépatouiller et accepter son chantage afin de protéger sa sœur cadette et la famille qu'elle a fondé s'avère plutôt plaisant, plus encore une fois l'action située au Venezuela, au cœur de grands espaces peuplés d'une riche faune sauvage. A travers la plume de Daphne Clair, on en prend plein les yeux tout en suivant le lent rapprochement des protagonistes.

Pendant les trois quarts de l'intrigue, on ne s'ennuie clairement pas.

Reste que les derniers chapitres, en mode résumé, s'avèrent bien plus précipités et la fin très rapide. Dommage, car « Une accusation si troublante » parvient, à lui seul, à sauver le recueil ! (7/10)



Si vous pouvez trouver le dernier roman séparément, ne vous privez clairement pas tant celui-ci s'avère bon. En revanche, les deux premiers sont bien trop perfectibles (et leurs héros horripilants) pour justifier l'achat du présent recueil.
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Maintenant ou jamais

4 amies de longue date se brouille quand l’une d’elle qui a 50 ans leur annonce qu’elle est enceinte. Pendant 1 an, tout va ce bousculer dans leurs vies mais elles ne seront pas là les unes pour les autres. J’ai bien aimé ce livre qui est bien ficelé avec de l’amour, du suspense.
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Silver

Silver est très riche, elle a été trahie et elle veut se venger.

J’ai assez rapidement abandonné ce roman. N’importe quelle femme, en 2023, ne peut qu’abandonner ce roman. L’héroïne veut apprendre à être irrésistible et paie un homme pour lui apprendre comment séduire afin de mettre en œuvre sa vengeance. Les « leçons » sont assez surprenantes et très humiliantes pour elle (et pour la lectrice). Ne parlons même pas de l’épisode ultime de cet arrangement que je ne souhaite pas spoiler mais qu’on peut aisément imaginer. Ce roman a été écrit en 1989 et son seul intérêt est de montrer à quel point l’image des femmes a évolué dans la romance et heureusement ! Je suis atterrée que ce roman ait pu être écrit par une femme. On dirait le fantasme d’un vieux macho. Même avec du recul et de la distance, en se disant que c’était peut-être à l’époque l’identité de la romance sentimentale Harlequin, c’est déconcertant…

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Mon cousin Valentin

J'aime bien ces livres de fins de semaine suite à une semaine stressante.



Bref, il s'agit d'une jeune fille qui accueille sa "cousine" Val dans une ferme sans eau, électricité et plusieurs choses arrivent.



Premièrement, sa cousine Val n'est rien d'autre qu'un cousin Valentin. Deuxièmement, dès l'arrivée de ce cousin, arrive une énorme tempête de neige qui bloque les deux protagonistes dans cette ferme. Tout peut donc arriver...





















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Le destin des Parenti

Aujourd’hui, nous allons faire un petit focus sur un livre un peu spécial. Tout d’abord, vous aurez noté l’emploi du nous, parce que oui, nous partageons intégralement l’avis qui va vous être livré sur le roman. C’est donc de « Le Destin Des Parenti », écrit par Penny Jordan et paru en octobre 2012 aux éditions Harlequin que nous allons vous parler.



Il s’agit, pour être tout à fait exactes, de deux romans compris dans un seul volume : « Le défi d’une amoureuse » et « Un impossible secret », le tout constituant l’histoire des Parenti. Mais commençons par le commencement, le résumé 🤷‍♀️



« Quand Giselle découvre le visage de son nouveau patron, elle a l’impression que le ciel lui tombe sur la tête. Car Saul Parenti, qui vient de racheter le cabinet d’architectes où elle travaille, n’est autre que l’inconnu avec lequel elle vient d’avoir une altercation, quelques minutes plus tôt, dans le parking de l’immeuble ! Aussi, quand Saul lui annonce qu’elle devra désormais travailler directement avec lui pour mener à bien un projet d’envergure, Giselle comprend qu’elle va devoir tout faire pour lui prouver qu’elle est à la hauteur, mais aussi pour lui cacher la folle attirance qu’elle lui inspire… »



Tout d’abord, il faut préciser que nous avions fait de ce roman un livre de chevet, avec l’idée de le lire à haute voix, histoire de partager une histoire en même temps. Il est arrivé entre nos mains un peu par hasard, puisqu’il était offert avec d’autres livres achetés. Il nous a néanmoins fallu pas moins de six mois et demi pour venir à bout des 279 pages, tant cela a été difficile 😬



En effet, l’histoire nous a profondément déçues sur bien des plans que nous allons énumérer pour être complètement transparentes. En premier lieu, l’intrigue. La manière dont l’histoire débute nous a laissées un poil perplexe. Une histoire de place de parking volée qui mène à des réactions surréalistes et qui nous expose immédiatement les personnalités des deux personnages principaux.



Sans vouloir porter de jugement particulier, il est à noter l’attitude parfaitement mysogine de Saul Parenti, héros masculin de cette romance. Ses idées arrêtées et préconçues sont un frein assez puissant dès le début de l’histoire. D’autant que Giselle, héroïne, montre une attirance quasi instantanée pour un homme qui l’horripile et à vrai dire, cela manque un peu de crédibilité 😑



Sans risque de trop spoiler, la relation entre les deux protagonistes est terriblement prévisible et aucune surprise ni suspense ne viennent pimenter le récit. D’un bout à l’autre, il était très simple de deviner ce que l’avenir allait réserver à ces deux-là. Et la raison à cela est simple : l’auteure s’attarde tellement sur ce qui ne devrait être que des détails ou des faits de la vie des personnages, que l’évidence saute aux yeux.



D’ailleurs, ces répétitions continues ont été très handicapantes à la lecture. Parfois, une seule et même idée pouvait être réutilisée sur trois ou quatre pages d’affilée et reprise un nombre incalculable de fois dans l’histoire. De même, ce sont toujours les mêmes mots qui sont employés et le manque de synonymes s’est fait cruellement sentir.



Giselle est censée porter un ou deux secrets qu’elle ne peut confier à Saul et très sincèrement, lorsque nous en avons découvert la nature, nous sommes restées ébahies devant leur simplicité. En particulier l’une des révélations finales qui nous a menées à nous interroger sur le pourquoi d’une telle histoire.



En réalité, les trois quarts du livre étaient à nos yeux inutiles, tout simplement parce que les mots se succédaient pour toujours former les mêmes idées, les mêmes impossibles secrets, les mêmes craintes infondées, les mêmes comportements malheureusement agaçants 😕



Comment expliquer que des personnages aussi ancrés sur leurs positions, incapables de voir qu’ils sont dans l’erreur ou butés, puissent brusquement changer d’avis, pile quand le récit le nécessite ? Cela décrédibilisait encore une fois l’ensemble et chaque page tournée nous renvoyait l’idée que nous lisions une fiction. Le récit a souffert de bien des vides et en y regardant de plus près, à une seule exception près en la personne d’Aldo, toute l’intrigue gravitait autour d’un seul et même sujet.



Nous sommes tout de même allées au bout de l’histoire, des fois qu’une chute particulière puisse nous surprendre. Mais là encore, tout était écrit dès le début et malgré l’évidence des événements, cela sonnait toutefois faux, puisque les détours sinueux empruntés pour y parvenir s’avéraient bien trop similaires les uns aux autres et hautement artificiels.



En finalité, ce livre n’a pas su nous séduire, mais probablement qu’il saura trouver son public auprès de lecteurs fan du genre… 😉







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💖🅿

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Le petit mot de la fin 🖋





Ce retour sur le roman « Le Destin Des Parenti » n’est que le fruit d’une appréciation générale de la lectrice perdue au milieu d’une foule de tant d’autres que je suis. Les remarques, positives comme négatives, qui y sont établies ne sont que le reflet de mon avis personnel sur la question et ne sauraient s’autoproclamer références en la matière ☝





N’hésitez donc jamais à ouvrir vous-mêmes ce livre pour vous en faire votre propre avis et si je ne pouvais vous donner qu’un conseil, terminez-le quoi qu’il en soit, afin d’avoir toutes les cartes en mains pour vous prononcer sur la qualité de celui-ci dans son intégralité 😉





N’oublions jamais qu’un roman dont la lecture ne nous prend que quelques heures représente en réalité des mois de travail acharné de la part de l’auteur, qui a mis une importante part de lui dedans et qui a pris le risque d’exposer son bébé au reste du monde 💚



Lage
Lien : https://everytrickinthebooks..
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Silver

Magnifique roman une belle vengeance
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Maintenant ou jamais

Je ne m'y attendais pas...

J'ai commencé ce livre avec aucun attendu. Les premiers chapitres ont été compliqués. Beaucoup de personnages principaux et secondaires qui ont tous un lien chacun... j'ai dû me faire une fiche de lecture pour ne pas m'y perdre ! Puis les histoires commencent, chacune aussi intéressante que les autres, on s'attache à tous, oui tous, les personnages et je me suis retrouvée en larmes (oui oui pas une petite larmichette : un torrent de larmes) à la fin et ça ! C'est ce que j'adore ! Je termine ce livre en pleurs et vraiment heureuse de l'avoir découvert !
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L'enfant d'une nuit - La révolte d'une héritière

"L'enfant d'une nuit" s'est avéré être nettement mieux que la première romance "Tête-à-tête sous la neige". Dès leur rencontre, Nikolaï comme Emma combattent tant bien que mal une attirance si forte, qu'ils cèdent et s'offrent l'un l'autre le temps d'une nuit hivernale. De cette nuit, il ne devait rester que le souvenir d'étreintes à en faire pâlir plus d'un(e). Le destin s'acharne et Emma est bel et bien enceinte de son amant russe. C'est un jeu du chat et de la souris qui se joue sous nos yeux de lecteurs. Tout deux cachent et pansent leurs blessures passées mais une fois que les vannes sont ouvertes, plus de retour en arrière possible.

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Coup de foudre au bureau

http://liliandtheworldofbooks.blogspot.be/2018/02/coup-de-foudre-au-bureau.html



Ce livre comprend trois petites romances qui concernent Ava, Laura et Rebekah. Toutes les trois, vont avoir le coup de foudre au bureau (d'où le titre) et je peux vous dire que cela risque d'être chaud. Toutes les trois ont des pensées vraiment torrides concernant leurs patrons, mais elles n'auraient jamais cru que cela pouvait s’avérer réalisable.



Comme je l'ai dit, ce sont trois petites histoires courtes, mais qui sont assez complètes. Les auteurs nous offrent des récits simples, mais bien menés. J'avoue, gourmande comme je suis, j'aurais aimé en savoir plus sur nos trois personnages, mais elles ont fait en sorte de nous donner assez de détails sur eux.



Les histoires se ressemblent, mais les auteurs ajoutent un petit quelque chose pour qu'elles soient un peu différentes des autres.



Bref, j'ai passé un bon moment avec nos trois héroïnes même si j'ai trouvé cela un peu court. Leurs plumes sont fluides, belles, légères et détaillées. Si vous recherchez un petit livre simple sans prise de tête, celui-ci est peut-être celui que vous recherchez.
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L'amour blessé

Entre l'amour obsessionnel d'un fils pour son père,et une jeune femme qui a peur d'aimer pour ne pas souffrir tous deviens compliqué, mais Bram fera tous pour convaincre la jeune femme de son amour et son fils de son droit à aimer.
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