Faut dire que la France était si pauvre, en ce temps-là, qu'elle ne se montrait pas bégueule dans le recrutement. Quand les légionnaires faisaient leur toilette torse poil, on distinguait bien chez certains le tatouage SS sous les aisselles ; l'armée recycle, pas de pertes. Je me suis souvent demandé si l'un de ces chiens de guerre était passé par Tulle ou Oradour avant de venir compléter ses points retraite chez nous.