Une des bestioles les plus fameuses du film Les animaux fantastiques, c’est le Niffleur : ce petit animal attiré par tout ce qui brille cause bien des dégâts et précipite les aventures de Norbert Dragonneau à New York. Les acteurs du film racontent leur expérience de tournage avec les marionnettes et les effets spéciaux qui figurent les animaux fantastiques. « Pour le public, découvrir l’univers fascinant du film du point de vue de Jacob, un homme ordinaire, est une expérience exaltante. » (p. 13)
Et le grand plus de cet album, c’est évidemment le kit pour construire son Niffleur, en bois non traité. Pas besoin de colle ou de clous, tout est fait pour s’emboîter. Une fois le petit animal monté, ne reste qu’à le personnaliser ! Et voilà, on a son propre petit Niffleur à la maison. Ne pas oublier de le soulever si on ne retrouve plus ses clés, ses boucles d’oreille ou la monnaie pour le pain… Zou, je me lance dans les travaux pratiques !
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Saviez-vous que le film est tiré d’une série de six albums jeunesse écrits par William Joyce ? Personnellement, je l’ignorais totalement. Bien que la plupart des films que nous voyons aujourd’hui sur grands et petits écrans sont des adaptations, je ne pensais pas que les Cinq légendes en faisait partie. J’ai pour le coup était encore plus curieuse de découvrir ce tome de « The art of ».
Nous commençons par deux préfaces dont l’une de l’auteur William Joyce. Il nous explique comment il a eu l’idée de ces gardiens, de reprendre ces personnages si importants de notre enfance et de faire en sorte de leur créer un environnement mais aussi de faire en sorte qu’ils se connaissent. Une idée qui ne m’était jamais venue à l’esprit. Il faut dire que je n’ai pas cru très longtemps à ces personnages (mes cinq ans ont été l’âge de la révélation) mais l’idée de la magie qu’ils représentent, des idées, du bonheur qu’ils apportent à toujours eu une place en moi. C’est sans doute pour cela que j’ai beaucoup aimé le film. Et pourquoi ces grands personnages ne se connaitraient-ils donc pas ? Après tout, cela tombe assez sous le sens ! C’est donc avec ce projet livresque que le film a vu le jour.
Comme les autres « The art of », nous voyons donc le cheminement de création à travers des textes et surtout, le plus important, des illustrations, des essais, des artworks… Mais ce qui était intéressant, du moins plus que dans les autres œuvres, c’est que l’on peut voir la transformation des personnages des livres aux films, et la façon dont ce travail a été fait ne dénature en rien le livre original, car les personnes responsables des changements nous donnent des explications autant techniques qu’émotionnelles. Mais pas trop d’inquiétude, mis à part le Lapin de Pâques pas de très gros changements.
J’ai aussi apprécié le fait que le livre soit séparé en fonction des personnages majeurs : nos cinq légendes, notre méchant, et les enfants. Chaque univers propre aux personnages est donc détaillé avec images à l’appui et on comprend, encore une fois, non seulement que le travail produit est gigantesque mais aussi qu’il y a une réflexion très poussée derrière tout cela et toujours avec le même souhait : nous ravir.
La complexité du film est beaucoup mis en avant et notamment avec une scène en particulier qui est détaillée, bien sûr, expliquée aussi grâce à une double page qui se déplie mais qui met aussi en avant le travail conjoint de tous les services de création. Avec cette ouvrage, il saute encore plus aux yeux combien les dessins animés d’aujourd’hui sont un casse tête dont on a aucune idée. Mais à lire l’enthousiasme des différents acteurs de cette production, on comprend que cela leur fait sans doute passer des nuits blanches, mais qu’ils sont aussi ravis. Car oui, en plus de nous émerveiller, cet album est plein de bonne humeur et de passion. Un petit régal.
Je trouve d’ailleurs dommage que peu de tomes de la collection aient été traduits en français. Le lire en anglais n’est pas un déplaisir, mais je les apprécierais d’autant plus dans ma langue maternelle.
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Je suis extrêmement partagé sur cette affaire, car on voit s'introduire ou s'inviter malaisément les mâchoires de la machine judiciaire américaine qui ne s'embarrasse pas de broyer les hommes. On sent bien qu'il y a un courant humainement malsain, la société des hommes tout de suite prête à se réjouir d'une éventuelle culpabilité d'Alec Baldwin, à le mettre en difficulté pour le simple plaisir cruel des hommes comme dans les arènes antiques.
Je n'ai pas grand chose qui me rattache à la personnalité d'Alec Baldwin, mais en tout cas aucune antipathie foncière : je ne vois pas en quoi de voir Alec Baldwin tourner un western serait de nature à me déplaire, moi qui aime le western. Nous sommes aux confins de la confluence de ce qu'on peut reprocher à Alec Baldwin et le risque de nuire à son innocence. Mais au stade où nous en sommes, telle que l'affaire se présente, et en fonction des éléments du dossier qui sont portés à la connaissance du public, la seule question qui vaille à mes yeux : Alec Baldwin a-t-il-eu l'intention de tuer sa belle directrice de la photographie lors du tournage du film qu'il produit ? la réponse est non (puisqu'il n'y a rien qui le prouve et que la thèse de l'accident semble évidente). L'autre question subsidiaire, peut-on avancer l'idée de sa responsabilité (civile) sans laisser planer le doute dans l'histoire sur son éventuelle culpabilité, la réponse est non. Ce qui veut dire en clair que si la justice américaine veut cerner la responsabilité d'Alec Baldwin dans cette affaire, elle doit d'abord cerner la question de son innocence pour ce qui est de l'intention de tuer.
Je vois dans la dévastation d'Alec Baldwin l'acculement de devoir répondre à deux choses : un qu'il soit désormais vu autrement (le fameux regard des autres) et de justifier de ce qu'il n'est pas et deux ses soucis personnels liés à son activité qui du jour au lendemain est stoppée net avec son lot d'angoisse.
En l'état, je prends donc la défense d'Alec Baldwin, je mesure trop les effets néfastes et je lui envoie ma sympathie dans les durs moments qu'il vit.
Quand j'entends Durpaire de BFMTV dire qu'Alec Baldwin est en train de se dédouaner, se dédouaner de quoi banane ? C'est honteux, révoltant .. c'est le début de la spirale de la vie en société vue sous son côté moche, laid ; le début des commentaires qu'on n'a pas envie d'entendre pour rien au monde quand on se retrouve genou à terre mis au banc des accusés, exercice effroyablement solitaire !..
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Un livre très joliment documenté et illustré qui permet de découvrir les créatures des films Harry Potter et des animaux fantastiques.
L’ouvrage s’attarde toutefois plus sur la création technique des créatures (maquettes, animations, inspirations d’animaux réels...) que sur leur description légendaire et leur présence dand le film. C’est pour cela que j’ai été un peu déçu car je m’attendais plus à une découverte de l’univers Harry Potter qu’à une découverte des techniques de cinéma.
Malgré cela, c’est une lecture intéressante et passionnante qui nous plonge dans la magie du monde des sorciers.
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Un artbook sur les techniques utilisées pour la création du film capitaine slip par les incroyables studio Dreamworks Animation. très complet eyt bien documenté.
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C'est un beau et gros volume qui devrait plaire autant aux curieux qu'aux fans d'animation et de graphisme !
Si la couverture paraît très sobre, l'intérieur déborde de dessins, de concept arts et d'images des films de Dreamworks, retraçant l'histoire du studio du premier jusqu'à leur tout dernier film. Et quel talent ont les artistes ! Tout est absolument superbe !
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« Livre rempli de créatures fantastiques. A manier avec délicatesse. » C'est le petit mot à l'attention des élèves qui accompagnera ce livre sur les étagères du CDI au collège. La magie du cinéma (T.2) sur les Fascinantes créatures nous raconte l'envers du décor cinématographique: comment les créatures nées dans l'imagination de JK Rowling ont pris vie «techniquement» dans les films de Harry Potter et dans Les animaux fantastiques avec Norbert Dragonneau. Ouvrage passionnant avec 2 pop-ups et quelques astuces papier (pas toutes astucieuses selon moi). Il ravira les fans de JK Rowling et plongera enfants et adultes dans cet univers détonnant.
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Dans ce second tome, il y a moins de pop-up et de petits encarts secrets disséminés dans le livre que dans le premier tome, mais franchement, ça ne manque pas.
Je trouvais déjà l’imagination de J.K Rowling plus que fertile en lisant les noms des différents créatures que rencontre Harry et ses amis dans Harry Potter, puis en lisant le petit bréviaires des animaux fantastiques, présentés comme un livre de classe de Harry, qui répertoriait toutes les créatures inventée par l’auteur, mais là, c’est encore plus époustouflant !
Il faut dire que généralement, la création de créatures fantastiques passe mieux à l’écrit qu’à l’écran, quelques vagues descriptions et hop, l’imagination des lecteurs prend le relai. Mais les transposer à l’écran, c’est les ancrer dans la « réalité », ils prennent une forme définie, ce qui peut décevoir ceux qui les avaient imaginé autrement.
Un choix malheureux et c’est toute la magie qui disparait.
Ici, toute l’équipe a fait un travail d’imagination et de recherche remarquable, combinant sans relâche les descriptions de J.K Rowling avec les animaux de légendes, maintes fois décrits dans les textes au fil des siècles, et les animaux réels, contemporains ou disparus ; utilisant les caractéristiques de l’un appliqué à l’apparence de l’autre avec un talent exceptionnel ; affinant le tout jusqu’à obtenir un animal qui fasse « vrai ».
J’ai par exemple beaucoup aimé le Nundu qui ressemble à une énorme félin dont la crinière se gonfle quand il rugit comme la collerette des cobras s’ouvre quand ils crachent.
C’est un superbe livre que je suis ravie d’avoir dans ma bibliothèque et que je vais me faire un plaisir de feuilleter de temps en temps.
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J'ai été agréablement surprise par le contenu de ce livre. Il ne se contente pas de redire ce qu'il y a dans les films. Il ajoute des informations supplémentaires sur les créatures et quelques détails sur les films comme la façon dont ont été crées les effets spéciaux, les évolutions techniques entre les premiers films Harry Potter et les créatures fantastiques. La mise en page est jolie même si je pense qu'elle aurait pu être un peu plus travaillée. Il y a quelques documents "volants" disséminés dans l'ouvrage qui lui donne l'aspect d'un carnet. C'est un très bel objet avec un contenu intéressant.
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