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4.05/5 (sur 10 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Physicien de formation, René Cuillierier fut animateur à l'Association française d'astronomie, puis éditeur. Aujourd'hui journaliste et vulgarisateur scientifique, il collabore régulièrement à divers titres de la presse scientifique, comme Ciel & Espace, Science & vie, Science & vie Junior, Eurêka, Sciences et avenir ou Pour la science.

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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Les scientifiques s'accordent sur le fait que l'activité physique régulière réduit entre autres les risques cardiovasculaires et le surpoids. Mais cela n'implique pas nécessairement de faire du sport « à fond » : se rendre au travail à pied ou à vélo, par exemple, a déjà un effet notable sur la santé et sur la prise de poids. De surcroit, si une personne a un mode de vie très sédentaire (en passant un grand nombre d'heures assise ou couchée en dehors des repas et du sommeil), pratiquer un sport de façon assez intensive pour compenser peut s'avérer hors de portée , surtout chez les personnes obèses. Par ailleurs, le sport à dose excessive peut présenter des risques: blessures, usure des os ou des cartilages.II peut aussi se transformer en une véritable addiction. Le sport pratiqué de façon intensive provoque la sudation donc la perte d'eau (ce qui se voit tout de suite sur la balance) -, mais ne fait pas fondre les graisses, et peut même se révéler dangereux. Moins manger et surtout mieux manger, être plus actif au quotidien sont les meilleurs moyens de contrôler son poids. L'activité sportive doit rester un plaisir pratiqué sans efforts excessifs.
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Quel aliment contient des conservateurs comme le E236 et le E296 (les acides méthanoique et malique), une demi-douzaine de colorants comme le E161 (la canthaxanthine) et une trentaine d'agents de saveurs dont la 4-hydroxy-2,5- diméthyl-(2H)-furane-3-one ? Réponse : les fraises !

Ces noms inquiétants sont ceux de molécules naturelles. En effet, les mêmes atomes constituant toute la matière de l'Univers, de sorte qu'il n'existe aucune différence entre un assemblage d'atomes - une molécule - présent par exemple dans une plante sauvage et le même assemblage produit par synthèse au laboratoire. Parfois même, une molécule « naturelle » comme la quinine, utilisée contre le paludisme, que l'on peut tirer de l'écorce du quinquina, présente des effets secondaires alors que des traitements alternatifs de synthèse (avec de l'artésunate, par exemple ) sont bien tolérés. Et, bien sûr, nombre de médicaments n'existent pas dans la nature et doivent être des produits par génie chimique.

Moralité : qu'elles soient de synthèse ou naturelles, certaines substances sont toxiques, d'autres bénéfiques, et c'est à peu près tout ce qu'on peut en dire !
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Les gens ne sont pas idiots. S’ils sont nombreux à utiliser une même “faute”, c’est bien souvent qu’ils la trouvent plus commode que l’ancienne façon de parler, tout en transmettant la même information. Prenez les contractions qu’on utilise dans le langage de tous les jours : “sympa” ou “bus” ont été adoptés parce qu’ils contiennent la même quantité d’information que les mots complets, tout en étant plus courts. Et c’est une tendance très ancienne ! C’est de cette façon que le latin “ecce ista” a donné “ceste”, puis “cette” en français. Cette tendance à la flemme frappe aussi l’évolution de la prononciation : “inmortel” est devenu “immortel” simplement parce que le monde a trouvé plus facile de prononcer les sons “i” - “m” que la suite “i” - “n” - “m” (z’avez qu’à essayer, vous verrez).
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Moralité, Goldorak est un très grand bonhomme en acier presque complètement creux, qui n’a aucune chance de transporter un quelconque armement, qui consomme autant d’électricité qu’une ville en plein carnaval juste pour marcher, qui brûle des tonnes de carburant de fusée pour courir sans pour autant pouvoir rattraper un coureur cycliste et qui est certain de s’écrabouiller comme une très grosse bouse s’il trébuche. Bref, un truc à peu près aussi utile sur un champ de bataille qu’un presse-purée à pédales.
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