Citations de Rick Yancey (722)
Parce que les pensées négatives nous affaiblissent.
— Et que se passera-t-il si nous nous affaiblissons ?
— Nous mourrons.
— Avons-nous envie de mourir ?
Elle secoue la tête.
— Pas encore.
l’homme baissa la tête, comme s’il priait, puis la leva vers le ciel, comme s’il le suppliait.
-Qu'est ce que c'est, un royaume?
Zombie tendit le bras vers lui, plaqua sa main sur son coeur.
-Juste là, tu vois. C'est ça un royaume, Sam. (page 479)
Nous sommes l'humanité.
Nous sommes un. (page 443)
Il était une fois un humain nommé Evan Walker. Cet humain avait un rêve - dont il est incapable de se souvenir - et dans ce rêve il y avait une tente dans les bois, et sous cette tente une fille qui prétendait être l'humanité. La vie de cette fille valait bien plus que sa vie à lui. (page 388)
Regarde-moi, Evan. Regarde-moi. Pas la dernière personne sur Terre, celle qui tenait encore debout en hommage à tous ceux que tu as tués sur l'autoroute. Je ne suis pas l'Ephémère; je suis Cassie, une fille ordinaire venant d'un endroit ordinaire qui a été assez stupide, ou assez malchanceuse, pour vivre assez longtemps afin que tu la trouves. Je ne suis ni ton fardeau, ni ta mission, ni ta croix.
Je ne suis pas l'humanité. (page 146)
Ne fais pas ça, crétin. Ne me touche pas comme si tu n'allais plus jamais me toucher. Ne me regarde pas comme si tu n'allais plus jamais me voir. (page 144)
Ton chagrin, ta peur, ta colère, ton désespoir. Donne-les-moi, Evan. Je vais les porter quelques temps. (page 143)
La Terre se précipite vers moi. Je n'ai pas peur. J'ai tenu mes promesses. J'ai remboursé le temps. J'étends les bras. J'écarte grand les doigts. Je lève mon visage vers la ligne où le ciel rencontre la Terre. Mon chez-moi. Ma Responsabilité. (page 409)
Ma promesse comme une sentence, la porte d'une cellule qui se referme, une pierre autour de mon cou qui m'entraine au fond d'une mer infinie. (page 266)
-Je la vois! Cassiopée, la reine de la nuit!
Elle a alors pressé sa joue sur le front d'Evan.
-Notre traque est terminée, Evan. (page 124)
-"Tu vivras", avait-il dit à Cassie. C'était plus une prière qu'une promesse.
-Tu vas vivre, a dit Grâce
"Tu dois vivre", avait-il confié à Cassie.
-Je le dois, a-t-il affirmé à Grâce (page 120)
Dans les bois, dans le froid mordant, à la surface d'une mer sans limite, chuchotant son nom, confiant son souvenir au vent, à l'étreinte du silence, aux arbres-sentinelles et à la bienveillance des étoiles fidèles, tel son homonyme, pure et éternelle, univers infini contenu dans tout ce qu'elle est.
Cassiopée. (pages 112-113)
Néanmoins, il m'arrache ce satané ours de la main, enfouit son visage contre moi, et là, enfin, sou les senteurs de transpiration et de savon désinfectant, je respire son odeur à lui, Sammy, mon petit frère adoré. (page 539)
1re Vague : extinction des feux. 2e Vague: déferlante. 3e Vague : pandémie. 4e Vague: silence. Qu'est ce qu'il y a ensuite, Evan? C'est quoi la 5e Vague? (page 460)
Aide-moi Evan. Ne me laisse pas chuter. Ne me laisse pas perdre ma part d'humanité. (page 370)
Je ne t'ai pas sauvée..., chuchote-t-il, sa bouche effleurant mes cils. C'est toi qui m'as sauvé. (page 246)
Je vais t'enseigner à aimer la mort. Je vais te faire oublier le chagrin, la culpabilité et l'apitoiement, et t'inculquer la haine, la ruse, la fourberie, et l'esprit de vengeance. Je vais accomplir ma dernière mission ici, Benjamin Thomas Parish. (page 187)
Les gens fous ne pensent jamais être fous, poursuit-elle. Leur folie leur semble tout à fait normale.
Tu dois penser à ton arme comme à une partie de toi-même. Ce n’est pas le M16 qui tire, mais toi. C’est comme souffler sur un pissenlit. C’est ton souffle qui fait sortir la balle.