Sanji Divas

Lucie, 40 ans, décide de faire le tour du monde avant de mettre fin à ses jours. Abîmée par un traumatisme d'enfance, elle cherche des réponses dans les pays qu'elle visite et dans lesquels elle se met au service des autres afin de retrouver foi en l'être humain : Inde, Thaïlande, Laos, Vietnam, Cambodge, Australie, Mexique, Chili, Argentine... on découvre avec elle des paysages et des pays magnifiques et surtout le quotidien de populations souvent pauvres mais tellement pleines de vie ! 

Un roman très touchant et bien écrit qui mérite d'être découvert. Lucie veut dire lumière, la retrouvera-t-elle à la fin de son voyage ?

Une jolie découverte,

Dans ce livre, on voyage, on part à la découverte de la richesse du monde, de la diversité des cultures, on en apprend plus sur ces pays auxquels on ne s'intéresse pas forcément. On prend son sac à dos et on embarque pour un long périple, on va y rencontrer des gens, avec leurs secrets que l'on emporte avec nous.



Ce livre est une invitation au voyage et à l'aventure, le personnage de Lucie, n'a pas confiance en elle et va au travers de ce périple partir à la quête de son amour propre, avoir confiance en elle avant de faire confiance aux autres.



Si vous voulez voyager tout en restant chez vous , c'est le livre idéal !
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Lucie a 40 ans. Elle est célibataire et sans enfants. Elle vit à Paris et a démissionné de son boulot.

Pour elle, rien ne va dans sa vie. Elle décide d'en finir mais avant cela, un tour du monde s'impose. La destination finale sera la Patagonie.



Le lecteur accompagne donc Lucie dans son tour du monde de 300 pages. Au fil des pages et de ses pérégrinations, Lucie va apprendre à se connaître et essayer de s'accepter. Elle va rencontrer des personnes toutes différentes les unes des autres qui lui apporteront toute quelque chose.



Je suis ravie d'embarquer avec Lucie et de pouvoir voyager par procuration. J'apprécie donc ma lecture et j'apprécie beaucoup Lucie.



Néanmoins, en avançant dans la lecture, j'ai une furieuse envie de secouer Lucie. Son manque de confiance en elle commence à m'agacer. Elle le met de plus en plus en avant et ça commence doucement à me déranger.



Si j'ai adoré voyager, découvrir beaucoup de lieux et apprendre pas mal de choses, j'ai également trouvé qu'il y a beaucoup de détails qui alourdissent le récit. Les longueurs deviennent bien présentes.



Je suis donc assez mitigée. Si je suis emballée au début du récit par ce tour du monde et cette quête de soi, je m'essoufle un peu au court du récit.

« Vous avez le choix mais vous n’avez pas trouvé. J’ai trouvé mais je n’ai pas le choix. C’est toute l’ironie de la vie, non ? »



Roman initiatique, My Way est le premier livre autoédité de l’auteure Sanji Divas. Je la remercie pour ce partage.



Lucie n’a aucun goût pour la vie. A quarante ans, elle doit faire face à la solitude d’une vie sans attachement familial et au souvenir traumatique d’une enfant abusée. Avant de mettre fin à ses jours, elle décide de faire le tour du monde. Non seulement, elle découvre des paysages somptueux mais aussi des personnes extraordinaires. Navigant entre amitiés mémorables et amours passionnées, elle se rend compte que, finalement, si l’on cherche bien, la vie vaut peut-être la peine d’être vécue, non ?



C’est une lecture que j’ai beaucoup aimée. Carnet de voyage richement documenté, je m’y suis plongé et n’en suis sortie qu’après l’avoir fini. Je me suis laissée entrainer à la découverte d’endroits fabuleux en Inde, Thaïlande, Laos, Vietnam, Cambodge, Australie – et j’en passe ! J’ai été très touchée par les liens amicaux nouvellement tissés par Lucie mais j’ai été complètement fascinée par les histoires d’amour nées ici et là sans que le personnage ne fasse rien pour les provoquer.



Roman plein d’espoir, je trouve que c’est un beau début en littérature et je souhaite le meilleur à @sanjidivas pour la suite.



Je recommande vivement!


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My Way est un livre dépaysant, très bien écrit, mais beaucoup trop long. Trop de descriptions. Chaque nouveau chapitre est une nouvelle ville découverte pendant ce tour du Monde, et je suis mitigée entre un mélange de Routard, de Wikipédia, de guide touristique et de Google Heart. Jolie histoire, mais trop de détails, tue l’histoire.
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’ai apprécié voyager tout au long de ce roman. On découvre énormément de pays à travers cette histoire. J’espère un jour pouvoir découvrir ces endroits qui, pour la plupart ont l’air stupéfiants.

Les personnages du roman sont intéressants, attachants, troublants. Il est vrai que j’aurais aimé connaître plus l’histoire de Lucie. Malgré les 300 pages, j’ai l’impression de ne pas savoir qui elle est vraiment et j’ai eu beaucoup de mal à me sentir proche d’elle. Toutefois, j’ai beaucoup aimé les rencontres que Lucie a pu faire durant son périple. On voudrait les avoir comme amis. Les échanges entre les protagonistes sont enrichissants car cela permet de connaître leur culture.



L’auteur nous promet un grand voyage : chose réussie. Il y a, à mon goût un peu trop de descriptions et qui ne sont pas toujours pertinentes (un côté un peu trop encyclopédie). Toutefois, cela permet de connaître une centaine d’endroits différents. Il y a eu un travail de recherches considérable. C’est précis, touffu : on se sent vraiment dans l’ambiance du pays décrit et ça, c’est très agréable. J’ai désormais une vision plus précise de nombreux pays.

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Finalement, ce livre est profond car il nous fait se poser un tas de questions sur notre société actuelle. Il fait réfléchir. Il fait penser. Il fait voyager. Il nous donne envie de vivre.

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Je me souviens d'une fois où on m'a demandé quelles étaient mes passions. J'avais répondu : « Je rêve de voyages, mais en attendant de pouvoir les concrétiser je m'évade à travers les livres. » Aujourd'hui, cette réponse a pris tout son sens. J'ai fais le tour du monde grâce à My way



Ce roman est une pépite. C'est un ouvrage magnifique qui allie un grand nombre d'émotions et de voyages.



J'ai beaucoup aime découvrir chacun de ces voyages .Il y a une description parfaite des lieux, et une description quasiment inexistante des différents personnages que Lucie rencontre au cours de son voyage. C'est un point que j'ai beaucoup apprécié car autant on sait à quoi ressemblent les vrais lieux visites, autant on peut imaginer les personnage que l'on souhaite et ainsi prendre librement la place de Lucie. Je me suis vraiment sentie en voyages.



Si vous voulez voir ma chronique complète n'hésitez pas à cliquer ici pour la découvrir sur mon blog :

Comme elle le dit elle-même, l'auteure a pris l'écriture de ce livre comme une thérapie, à l'aube de la quarantaine, sorte d'introspection sur ses expériences, un bilan de mi-vie comme on pourrait l'appeler vulgairement. Elle nous emmène alors à la rencontre de Lucie, une femme du même âge, qui entame un tour du monde ayant pour finalité sa disparition. Lucie est abimée par un traumatisme d'enfance, qui lui revient par à-coups : en effet, elle a été violée plus jeune. Elle porte ce lourd fardeau avec elle, et, accumulant le ras-le-bol de la vie en communauté, elle entreprend ce voyage, sorte de rite initiatique où elle redécouvre les joies du vivant, mais aussi l'ambivalence de l'être humain, qui peut être si bienveillant et malveillant à la fois.

Le personnage de Lucie est facile à cerner : elle dégage un manque de confiance en soi tel qui peut être parfois un peu agaçant, mais on s'attache assez vite à cette femme, et on espère du fond du cœur qu'elle n'arrivera pas à la fin de sa quête. Mais si ce n'est son caractère bien trempé et son orientation sexuelle, on ne connaît pas finalement grand chose d'elle, ni de sa famille. Seulement, c'est peut être une volonté de l'auteure de ne pas nous en dire plus. En effet, sa protagoniste veut quitter la train de vie monotone de Paris et faire son voyage seule (elle ne sera pas si seule que cela finalement) en oubliant ses tracas et sa vie qu'elle juge sans sens.

Comme je le disais plus haut, notre Lucie se retrouve finalement à rencontrer une multitude de personnages. Chaque chapitre nous présente une personnalité, qui partage presque tout le temps l'avis de notre protagoniste sur les vices de la société et du capitalisme. Ce livre est en effet une œuvre très engagée qui couvre bon nombre de sujets d'actualité, divisant les foules (alors que pour certains, ils devraient être unanimes) : féminisme, environnement, violences conjugales, communauté LGBTQIA+, esclavagisme, colonisation... L'auteure se sert de ses personnages pour faire passer bon nombre de messages qui restent ancrés dans notre mémoire à la fin de notre lecture : comment l'homme exploite la nature, mais que souvent (voir tout le temps) le comportement de l'homme est façonné par la société, pantin insensible du pouvoir et individualiste.

Lucie a eu donc son lot de rencontres et d'expériences, qui parfois s'avèrent être amoureuses. Car l'auteure n'oublie pas de nous offrir de la romance, qui se veut inclusive : la protagoniste semble ne pas avoir de préférences de genre, peut être même est-elle pansexuelle (mais je ne connais pas assez cette dernière pour pouvoir vous l'affirmer), ce qui permet à l'auteure de rajouter au lecteur encore plus de réflexions sur le monde dans lequel il vit. En effet, elle aborde dans son livre une sexualité mondiale, et comment dans chaque pays elle est jugée si elle dévie trop de l'hétérosexualité. Un beau message de tolérance qui est saupoudré en continuité durant la lecture de ce livre.

Il y a évidemment, le contexte d'aventure. Quelques actions disposées avec parcimonie dans des recoins de l’œuvre, mais écrasées par la masse de descriptions qui labourent l'esprit du lecteur. Cela montre un énorme travail de recherche de la part de l'auteure, qui nous décrit pays, musées et bâtiments étrangers, essentiels quand on voyage ; mais cela constitue un de mes points négatifs car il y en a trop, et cela ralentit énormément la lecture. De plus, on retrouve là une Lucie formelle qui semble réciter telle une guide touristique, alors qu'elle est en proie à des émotions contradictoires au fur et à mesure des rencontres qu'elle fait : vivre, ou mourir ? L'équilibre est dur à trouver je le conçois, mais je pense que raboter quelques descriptions ne ferait pas de mal à cette œuvre.

En revanche, je n'enlève pas à l'auteure la qualité de son écriture, très agréable à lire. Elle arrive à rajouter quelques touches d'humours qui rehaussent le ton un peu redondant de l'histoire, tandis qu'elle est parfois un peu trop moralisatrice. Encore une fois, il est question d'équilibre.
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C’est un roman qui parle de Lucie, 40 ans qui souhaite en finir avec sa vie, mais avant ça elle veut faire le tour du monde !

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Je trouve que l’auteure a réalisé un travail de folie au niveau de la culture de chaque pays, que ce soit les présidents, les monuments incontournables (ou autres), la culture ainsi que les images moins valorisantes des différents pays que visitent Lucie

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Outre le côté culturel, on suit les histoires d’amour (et d’amitié évidemment) de Lucie. Elle a une histoire très touchante et un petit coeur qui sait très bien ce qu’il veut ahah

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Le seul côté négatif que je donnerais, ce serait le fait que certains passages allait trop vite à mon goût

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Un roman avec beaucoup d’émotions et de passages cultivant, à lire sans modération
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​Sanji Divas se lance dans l’écriture par nécessité. Troublée par une vie privée éprouvante, elle écrit My way comme une thérapie « face aux traumatismes de l’enfance et aux failles du présent ». Reflet de ses propres tourments, le roman de Sanji Divas entre dans les codes de la littérature contemporaine. Récit de voyage, mais aussi récit de vie quoique sur une période condensée, My way est de ces écrits qui, contre toute attente, décrivent leur auteur avec une transparence limpide. Aussi et sans grande surprise y trouve-t-on autant de réflexions personnelles que d’opinions partiales. Lucie, 40 ans, lancée dans un tour du monde sans retour, serait-elle donc la projection de sa créatrice sur le papier d’un texte aux promesses appuyées ?

​ C’est une histoire pleine de vie, à l’inverse de l’état d’esprit de Lucie, sans emploi ni famille. En plein dans « la remise en question de la quarantaine », la quadragénaire a cette « sensation de ne jamais être à sa place ». Aux prises d’un mal-être presque maladif, aux portes d’un gouffre sans fond creusé suite à une amnésie traumatique, Lucie exprime doucement sa narration au fil de pensées négatives. Ses descriptions sonnent alors comme un coup de massue. Une façon d’introduire une introspection profonde et engagée, tandis que certains propos se veulent propices au développement personnel. Forte de ses champs lexicaux péjoratifs, l’auteure laisse espérer en vain une évolution psychologique progressive par le biais d’une vision de plus en plus optimiste de son environnement par son protagoniste central. Au lieu de quoi s’établit brutalement un changement de registre total, alors que Lucie s’émerveille presque par enchantement dès ses premiers pas de voyageuse.



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