Toute une industrie qui s’appuie sur le malheur d’autrui pour tâcher de rendre ses lecteurs fiers de leurs petites vies minables et de leurs relations ternes.
Elle pose tellement de questions. Ça fait comme des ongles qui grattent les contours de ma vie et qui essaient d'éplucher les couches les unes après les autres jusqu'à atteindre la partie la plus tendre, au coeur.
Le passé n'était pas la vérité; ce n'était même pas un rêve. Le passé ce n'était rien, il n'existait pas, il était oublié; il ne devenait réel que si je l'y autorisais. Comme les fées dans Peter Pan qui meurent si on arrête de croire en elles.