Sarah Rees Brennan

Je continue ma lancée sur les œuvres annexes de la saga Shadowhunters avec les Chroniques de Bane. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, je l'avoue, même si je savais que c'était un recueil de nouvelles, je ne voyais pas trop ce que les auteurs allaient nous raconter. Si en fin de compte, le principe est sympa, à savoir, que l'on découvre l'histoire de Magnus à travers différentes étapes charnières de sa vie, j'avoue avoir beaucoup moins apprécié ce recueil. Et c'est bien la première fois depuis que j'ai entamé l'aventure.



Il faut dire que j'ai mal débuté. La première nouvelle n'a aucun intérêt pour moi. Le pire c'est qu'on apprend pas pourquoi Magnus a été interdit de séjour au Pérou. On y découvre ses aventures, mais rien à faire, aucune raison n'est donnée. Alors oui, il y a un petit côté humour dans la globalité, qui donne le ton concernant notre personnage principal, mais j'ai envie de dire : tout ça pour ça...



La deuxième n'a pas non plus été une réussite. Magnus à Paris qui tente de sauver Marie Antoinette... Oui pourquoi pas, mais au final aussi, c'est une histoire qui perd tout son souffle. Je dirai même plus les deux premières nous montrent un Magnus disons... pas sous son meilleur jour. Il perd de sa superbe, en un sens, il ne se soucie de rien, ne s'attache pas. Alors oui, cela permet également de voir son évolution au fil des années, mais quand on le connaît à l'époque de le Clary, Jace et Alec... C'est difficile de le voir ainsi.



Par la suite, les choses s'améliorent grandement, en partie parce qu'on touche enfin au monde que le connaît. Et on y voit notamment les moments clés qui ont fait de Magnus ce qu'il est aujourd'hui : sa rencontre avec Camille, la naissance de l'hôtel Dumort, la transformation de Raphaël (l'une de mes préférées avec celles d'Alec bien évidemment), une visite à Will et Tessa, le retour de Camille, le premier rendez-vous d'Alec et Magnus, la confrontation de notre sorcier avec le Cercle et la rencontre avec Jocelyne. Ces instants là ont aussi forgés les sagas que l'on connait, il est donc intéressant de les découvrir et d'en avoir un point de vue différent. Ayant plus de connexions avec des personnages que je connais et apprécie, il était plus facile de rentrer dedans le recueil. Et on voit clairement Magnus évoluer, tout en apprenant à mieux le connaître.



Un recueil dont on peut se passer, contrairement à celui consacré à Simon à mon avis. Je ne comprends d'ailleurs pas le fait d'avoir publié celui-ci et pas l'autre en français pour le coup. Les chroniques de Bane sont un bonus, mais qui ne va pas forcément vous éclairer plus que cela. Je n'ai au final pas appris grand chose, même si passé les deux premières ma lecture a été sympathique.

Je poursuis mes lectures des nouvelles de la saga Shadowhunters, et ici, comme avec Les chroniques de Bane, j'avoue avoir apprécié ma lecture mais je n'ai pas été aussi enchantée qu'avec Tales from the Shadowhunter Academy. Je pense, encore une fois, que cela vient du fait que le personnage principal de Ghosts of the Shadow Market, ici Jem, n'est pas encore un personnage avec qui je suis liée. Je n'ai pas encore lu Mortal Instruments - Les Origines, donc pour moi Jem est juste un personnage secondaire, qui est déjà fort sympathique, mais avec qui je n'ai pas réellement de connexions. Du coup, voir son histoire à travers ces différentes nouvelles, bien que cela ait été intéressant, ne m'a pas autant touché que celles concernant Simon.



Si vous vous lancez, il faut donc avoir lu la saga principale, Les origines et Renaissance. Ce n'est pas une obligation, bien sûr, mais comme on y rencontre les personnages de toutes ces histoires et que de nombreux événements y sont liés, cela vaut mieux pour une compréhension globale. Nous suivons donc Frère Zachariah / Jem Carstairs dans sa quête de l'Herondale perdu, à savoir l'héritier d'une des branches de la famille Herondale que tous pensaient éteinte. Sur plusieurs décennies, nous suivons donc Jem dans ses recherches au sein des Marchés Obscures. La version papier contient dix nouvelles (huit pour la version numérique) avec à chaque fois, un personnage de la saga mis en avant.



Je n'ai pas eu le même intérêt pour toutes les nouvelles, comme cela a été le cas avec les autres recueils. Je m'y attendais, donc aucune surprise là-dessus. Celles qui ressortent le plus pour moi sont indubitablement les nouvelles concernant Jace, Alec, Ty et Kit.



Son of the Dawn : La première nouvelle est la seule à sortir du cadre chronologique, car on y découvre Jace au moment où il rencontre les Lightwoods. Un point de départ intéressant car Jace est un Herondale qui ne le sait pas encore. Il pourrait donc être cet héritier perdu. Mais le plus intéressant pour moi et de voir comment ce petit garçon qui a été maltraité psychologiquement depuis sa naissance a rencontré sa nouvelle famille, et ses sauveurs. Voir les relations naissantes entre Isabelle, Alec et Jace était vraiment touchant, et Cassandra Clare nous prouve bien encore une fois que la famille n'est pas que le sang.



Cast Long Shadows : Matthew Fairchild est le second personnage a être mis en avant. Le parabatai de James Herondale est un personnage que j'ai appris à connaître dans Tales from the Shadowhunter Academy. On le voit ici toujours aussi débordant d'amour pour ses proches mais aussi torturé par les secrets des Shadowhunters. C'est une nouvelle assez difficile à lire, mais qui encore une fois, traite très bien le côté psychologique des personnages.



Every Exquisite Thing : Découvrir Anna Lightwood était une surprise vraiment agréable. Déjà par rapport à son caractère, ensuite vis-à-vis de sa situation. Il est clair que l'Enclave n'est pas d'une tolérance exemplaire, ce n'est plus à prouver, et encore plus à cette époque. Mais on voit la jeune femme vivre sa vie comme elle l'entend, avec effronterie dans un sens, mais sans étouffer qui elle est. Et la partie la plus touchante reste la fin avec cette discussion et ses gestes poignants entre Anna et ses parents. Et pour le coup, j'ai hâte d'en apprendre plus sur ce personnage.



Learn About Loss : Peut-être la moins intéressante, même si on apprend une information clé concernant la quête de Jem. Il était cependant agréable de voir une des Soeurs mise en avant, car elles sont pour l'instant, tout comme les Frères Silencieux, des "outils" plutôt que de vrais personnages pour l'histoire.



A Deeper Love : Un peu mitigée avec cette nouvelle, car même s'il était très sympathique de voir Jem et Tessa ensemble, le tout est assez long à se mettre en place et en un sens, elle ne fait pas avancer la quête.



The Wicked Ones : Découvrir Céline était très intéressant, car la mère de Jace est plus un personnage abstrait qu'une réelle présence dans la saga. Je n'ai pas réellement eu de sympathie envers la jeune femme, car même si elle a vécu l'enfer, il n'en reste pas moins que l'on découvre un personnage faible psychologiquement parlant. Elle se laisse manipuler, n'arrive pas à réfléchir par elle-même, et est aveuglée par ses sentiments ce qui la rend égoïste. Alors, oui, elle a pas eu une vie facile, et Valentin est un expert en manipulation, mais je m'attendais à plus. Les deux parents de Jace sont décevants au final, ce qui le fait plus briller, ainsi que les Lightwoods mais... je m'attendais à plus.



The Land I Lost : Ma préférée... et oui, elle concerna Alec et Magnus... Mais j'adore ce couple, et ici on y voit encore Alexander sous un nouveau jour, avec une exploitation du personnage plus poussée. Alec est vraiment l'exemple type du Shadowhunter tel que je le vois. Il a vraiment trouvé sa voie, ses relations avec son entourage sont plus sereines, et on voit combien il est heureux. Pour moi, c'est peut-être le personnage qui a le plus évolué et qui a atteint un sacré potentiel. Et puis Lily est présente également, et la nouvelle chef du clan des Vampires de New York est plus que topissime.



Through Blood, Through Fire : Revoir Ty et Livvy étaient quelque chose que j'attendais depuis un moment. Notamment, après les événements survenus dans Renaissance. Tout n'est pas rose, mais Ty a su évoluer, et Livvy apprend à "vivre" avec sa nouvelle condition. On voit clairement qu'ils vont devoir affronter pas mal d'obstacles dans le futur, mais il y a aussi cette lueur d'espoir. La seule chose qui manque, c'est Kit. J'ai vraiment hâte de la trilogie concernant la jeune génération voit le jour pour qu'on ait un dénouement à ce niveau-là.



The Lost World : Une nouvelle clé, même si beaucoup d'éléments ont déjà été contés dans Renaissance. Voir Rosemary, cependant, et comprendre ce qu'il s'est passé jusqu'à la trouvaille de Kit est pour moi le point central de ce recueil. Je trouve d'ailleurs dommage qu'elle ne soit pas présente dans la version numérique.



Forever Fallen : Clairement, je l'ai apprécié pour Kit. Le voir interagir avec Tessa, Jem et Mina était touchant. C'est aussi un peu la conclusion de cette quête, même si rien n'est encore gagné. Mais il était plaisant de lire ces moments de famille après tout ce que ces personnages ont dû subir. En ce qui concerne Janus... Je comprends le personnage et ses actions sont cohérentes. C'est aussi une préparation de ce qu'il va se passer dans The wicked powers pour moi. Cependant, Janus est pour moi synonyme de malheur comme l'a pu être Sébastien, et du coup, même si les passages le concernant étaient intéressants, car encore une fois, sa psychologie est très bien travaillée, le fait qu'il va apporter le malheur sur nos héros... est assez rebutant.





Un recueil en demi-teinte, si je puis dire même s'il reste globalement très intéressant. Il apporte des indications importantes sans, je pense, être totalement nécessaire. Voir Jem évoluer et passer du Frère Silencieux à l'être mortel qu'il est aujourd'hui était cependant très bien traité. J'ai vraiment hâte de le découvrir vraiment dans Les Origines. Quant à la quête, elle prend son temps, mais nous permet aussi de voir l'histoire des Shadowhunters et de comprendre leur société également. Donc, j'y trouve mon compte. Et si je ne devais en choisir qu'une : The land I lost sans hésitation !

Je n’ai pas particulièrement pour habitude de lire les nouvelles ou des œuvres annexes en littérature. Je n’y trouve pas forcément d’intérêt, mais avec la saga Shadowhunters, je me laisse tenter sans aucune appréhension, et jusqu’à présent, je n’ai pas été déçue.



J’ai donc commencé Tales from the Shadowhunter Academy. Il faut d’abord savoir que le recueil n’a pas été traduit en français, et qu’il ne le sera probablement jamais. C’est dommage, surtout que les Chroniques de Bane ont eu cette chance, et je trouve que Tales from the Shadowhunter Academy apporte vraiment quelque chose à la saga. Il comble un vide entre la saga originelle The Mortal Instruments et The Mortal Instruments – Renaissance, en se consacrant à Simon notamment.



D’aussi loin que je peux me souvenir, il est assez rare pour moi d’aimer tout un groupe de personnages dans un roman. Avec The Mortal Instruments, j’ai eu un coup de cœur pour Clary, Jace, Simon, Izzy, Alec et Magnus. Six personnages que j’ai eu la chance de voir évoluer durant six tomes et d’avoir le plaisir de revoir de temps à autre. Pour moi, même si Clary et Jace sont les « vrais héros » de la saga, leur quatre autres amis les talonnent de très près, et je n’arrive pas à les voir autre qu’un groupe. A la fin du sixième tome de The Mortal Instruments, même si on avait de l’espoir concernant Simon, il y avait tout de même un manque. Son amnésie brisait le groupe, d’autant plus que tout ceci était lié à un sacrifice. Quand j’ai vu que Tales from the Shadowhunter Academy permettait de combler son histoire et qu’au passage, il était possible d’en apprendre plus sur le monde des Shadowhunters, j’ai sauté sur l’occasion.



Autant prévenir tout de suite, et même si j’ai mis cinq étoiles, les différentes nouvelles n’ont pas toutes le même niveau. Certaines sont plus intéressantes que d’autres. J’ai par exemple eu plus de mal avec celle concernant Valentin, n’aimant pas le moins du monde ce personnage, mais en même temps, cela permet de découvrir Robert Lightwood et de mieux l’appréhender par la suite. J’ai adoré celle avec Alec et Magnus. Il y avait tellement d’émotions, et un retour presque à la normale pour le groupe que la fan que je suis était aux anges. J’ai découvert un Alec surprenant qui se révèle, et on découvre ce qu’il a accompli avec les créatures obscures. Ses relations avec Lily et Maia… J’ai été émue au possible… Bref… Ma nouvelle préférée. Certaines nous montrent des scènes du passé également, avec des personnages que l’on va retrouver dans Origines et Chain of gold. Je me suis déjà un peu renseignée sur ces deux sagas que je vais lire cette année, sans aucun doute, et ayant lu aussi Renaissance, je n’ai pas été perdue. Je ne pense pas qu’il y ait des spoilers non plus à ce niveau-là.



Revenons maintenant à Simon. J’aime Simon et cela depuis le début. Je pense que c’est en grande partie dû au fait qu’il était humain au début de la saga. Il était le personnage « normal » à qui on pouvait se rattacher, s’identifier. Sa relation avec Clary est juste incroyable, et bien entendu, son histoire avec Isabelle est assez épique. Il est clairement le garçon qu’on aimerait avoir comme meilleur ami ou petit ami. Il avait aussi terriblement évolué durant les six romans. Ici, on le retrouve en partie amnésique, avec seulement des bribes de souvenirs décousus et des histoires que l’on lui a raconté. Ce n’est plus le Simon que ses amis connaissaient. Il en souffre, eux aussi. C’est difficile à voir, et en même temps, j’ai trouvé le traitement, et l’évolution de la situation parfaite. Ce n’était d’autant pas facile car les nouvelles sont écrites par plusieurs auteurs. Mais l’univers est là, l’alchimie prend.



Simon est encore une fois, le type à qui on peut s’identifier, le petit nouveau, l’humain qui en sait trop pour ne pas vouloir agir. Il n’a ni le look d’un Shadowhunter, ni la force et l’agilité, mais il s’est trouvé un but. Mieux, une mission. S’il veut défendre l’espèce humaine, il veut aussi révolutionner le monde des chasseurs de démons. Et il est parfait dans ce rôle car il est humain, a été une créature de l’ombre, et « connait » le monde des Shadowhunters. Il s’interroge, cherche à retrouver qui il était mais aussi qui il veut devenir. On le voit changer, et aussi changer les autres. C’est ce genre de héros que j’aime.



Un petit mot aussi sur Georges. Un rayon de soleil durant cette lecture. Sa relation avec Simon était magique à bien des niveaux, et suivre leur évolution à tous les deux vaut le détour.



Pour conclure, Tales from the Shadowhunter Academy n’est pas indispensable, comme vous pouvez vous en douter. Il apporte tout de même pas mal d’informations sur Simon, Isabelle et Alec. C’est un recueil avec un niveau un peut en dents de scie, mais j’ai adoré ma lecture, ce qui peut paraître paradoxal, je sais. Mais la magie opère pour moi.

Nous y sommes, c’est le dernier jour du mois d’octobre, et avec lui, sa célèbre fête d’Halloween. Quoi de mieux que ce soir pour lire un roman de sorcières ? Pendant le premier confinement, nous avons dévoré – comme beaucoup – les séries Netflix, et avons découvert parmi celles-ci les Nouvelles aventures de Sabrina. Série que je regardais plus petite sur Canal J, autant pour la sorcière que pour son célèbre chat Salem. La série de notre enfance n’a absolument rien à voir avec cette nouvelle formule, plus adulte et plus axée sur la magie… Lorsque j’ai vu que le préquel de la série Netflix existait, je m’en suis emparé, et voici donc ma chronique…



Sabrina est une sorcière pas comme les autres. Son père sorcier et sa mère mortelle ont fait d’elle une « demi-sorcière ». Pourtant, ses tantes Hilda et Zelda, et son cousin Ambrose, comptent sur elle pour renier le monde mortel lorsqu’elle signera le livre du Seigneur Obscur, le 31 octobre, jour de son anniversaire. Ce dernier approche à grands pas, et Sabrina ne sait que faire. Elle adore ses amis mortels et la justice, et ne semble pas vouloir faire le mal… Pourtant, elle va jeter un sort à celui qu’elle aime le plus au monde…



C’est un plaisir de se plonger dans ce roman, en ayant déjà vu la série. On comprend plus de choses qui arriveront par la suite. Mais commencer par ce roman laisse un suspense des plus incroyables si vous regardez la série après. Une jolie lecture pour célébrer cette soirée d’Halloween – sans sortir de chez soi, un chat noir sur les genoux (le mien s’appelle Zouzou). Pour ma part, j’ai creusé mes traditionnelles citrouilles, et nous avons fait une tarte effrayante au chocolat avec ma Maman.



Joyeuse fête d’Halloween à toutes à et à tous, et surtout, restez prudents !

En ce début d'automne je lis à nouveau avec plaisir des histoires de sorcières ou de vampires, j'ai donc foncé sur ce préquel de la série Sabrina sur Netflix ayant déjà visionnée la série.



J'ai retrouvé avec plaisir tous les personnages comme les tantes Zelda et Irma, Harvey, son frère, le cousin Ambrose, les amies de Sabrina, Roz et Susie etc...



Le style est très fluide et se lit rapidement, il est question d'amour entre Harvey et Sabrina qui se questionne sur leur relation, de sortilège, de sorcellerie. Ce préquel se situe juste avant le 16ème anniversaire de Sabrina.



J'ai aimé cette lecture mais je trouve qu'elle cible tout de même plus les adolescents, cependant j'ai trouvé intéressant d'en connaitre plus sur certains personnages comme le frère d'Harvey par exemple et sur la relation entre tante Zelda et Irma, certains détails du passé d'Ambrose sont également évoqués ainsi que sa relation particulière avec tante Hilda.



Une lecture idéale pour cette saison à mes yeux.

C’est fou comme, parfois, je peux être brève : je n’ai pas connu la première série, je n’ai pas lu la première série de livre, je ne connais pas la nouvelle série, mais je lis le tome 2 qui est tiré de cette série. Après cette mise au point, passons au livre.

Sabrina est à moitié sorcière, à moitié humaine, et ce n’est jamais facile à vivre. A la fin du tome 1, elle a fait le choix de basculer du côté des sorciers, pour sauver ses proches humains – un paradoxe quand on sait que les sorciers n’en ont strictement rien à faire des humains, mais alors rien.

Sabrina s’intègre tout de même plutôt bien à l’Académie des Arts invisibles. Elle doit faire « avec », avec ses sorcières qui la considèrent d’un drôle d’oeil en dépit de l’aura de son défunt père – parce qu’elle est à moitié humaine, parce qu’elle aide les humains. Il faut une nouvelle catastrophe, une nouvelle incursion démoniaque dans le monde des humains et des sorciers pour que Sabrina se promette de faire mieux que la première fois.

Alors, qui ai-je aimé dans ce livre ? J’aime les beaux méchants, j’aime donc Nick Scratch, personnage qui gagne largement à être connu, même s’il est entièrement sorcier, avec des méthodes de sorciers – la séduction n’existe pas chez les sorciers, le passage à l’acte et la polygamie sont constants. Je vous rassure, ses partenaires sont toujours pleinement consentantes, de manière implicite, il est vrai : quand on arrache les vêtements du garçon, c’est très rarement parce qu’on ressent le besoin urgent de faire une lessive ! Oui, j’aime beaucoup Nick, parce qu’il est drôle, parce qu’il révèle ses qualités au fur et à mesure du récit. Il m’a semblé bien plus intéressant qu’Harvey, l’ancien petit ami humain de Sabrina, droit dans ses bottes, fils de chasseur de sorcières, et choisissant son camp. Alors oui, il a des circonstances atténuantes, surtout quand il découvre qui est responsable de la mort de son frère bien aimé. Disons qu’une des décisions qu’il prend m’a vraiment semblé trop facile.

Quant aux sorcières, l’accent est mis sur Prudence. Si les sorcières, dans l’imaginaire, font peur parce qu’elles sont des femmes libres, qui n’en ont rien à faire des règles imposées par les hommes, rien de tout cela pour Prudence, qui ne rêve que d’être reconnue officiellement par son père, qui la considère au mieux comme une bonne d’enfants presque pas compétente pour son précieux rejeton – un garçon, vous l’aurez compris. Il est un si bon père que l’une des tantes de Sabrina a enlevé son autre fille, pour qu’elle soit plus heureuse que ne l’a été Prudence. Sa vie, ses choix, ce qui entraîne ses décisions sont tout sauf simples, elle qui est habituée à vivre dans un monde infernal dans lequel aucune trace de faiblesse n’est possible.

Si Sabrina a une place de choix, si certains chapitres se focalisent sur Harvey, sur Prudence, il est deux autres personnages que j’aurai aimés voir davantage développés, Roz, qui souffre physiquement et moralement à cause des sorcières (et de manière aussi injuste que dans la grande tradition des contes de fée) et Susie Putnam, bien plus forte qu’elle n’y paraît. Si un tome 3 paraît, j’aimerai vraiment retrouver ces deux personnages et les suivre – en plus de Sabrina, bien entendu.

Il est coutume de dire que l’enfer est pavé de bonnes intention : Sabrina, Nick et les autres s’y dirigent tout droit.

Note : j’aurai bien vu un peu plus de Salem aussi !
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Ce livre est un roman plutôt sympathique et nous offre un préquel à la série de Netflix, en nous présentant les personnages et en nous offrant une aventure inédite de Sabrina.

L'histoire est assez simple, avec l'héroïne, jeune sorcière doutant d'elle même qui va lancer un sort à son amoureux. Mais évidemment, il va y avoir un hic.

Le livre, plutôt à destination des ado, offre une intrigue un brin convenu et légère, et un style plutôt simple. Pourtant, avec sa galerie de personnage attachant et bien croqués, le livre vaut la peine d'être lu. Un bon point supplémentaire est d'offrir à chaque personnage son chapitre, celui qui nous permet de connaitre ses envies, ses désirs et ses pensées.

Merci à Netgalley et aux éditions Hachettes pour cette chouette lecture.

Avant tout, je n'aime pas du tout les nouvelles, je trouve toujours ça trèèèèès frustrant. Et The Bane Chronicles m'ont beaucoup frustrée ! J'aime beaucoup ce personnage et c'est vraiment dommage qu'en français ses aventures ne soient qu'en version numérique.

Magnus Bane, dit le grand sorcier de Brooklyn, à plusieurs siècles d'existence donc forcément une vie riche en aventures et il décide d'en partager quelques une des plus savoureuses avec nous. Ce qu'on peut dire sans peur de se tromper c'est que c'est son cœur qui le mène. Il a un cœur tendre et une grosse faiblesse pour les belles personnes surtout si elles sont brunes aux yeux bleu !
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Dans ce roman, nous allons suivre Nick, un jeune homme qui vie avec son frère et sa mère à moitié folle. Chassé depuis l'enfance par des magiciens qui souhaitent récupérer une chose que leur mère a volé, ils doivent déménager régulièrement afin de ne pas ce faire tuer. Jusqu'au jour, ou deux camarades du lycée de Nick viennent leur demander de l'aide.



Un des deux, a été marqué par un démon et souhaite retirer la marque avant de mourir. Nick refuse de les aider. Les problèmes des autres il s'en lave, il en a assez avec leurs propre problème à eux. Mais c'est sans compter Alan, son frère au grand coeur, qui connais un des deux demandeur d'aide. Une belle jeune fille qui fait chavirer son coeur. Il accepte donc de les aider, quitte à ce mettre encore plus en danger.



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Mon résumé est totalement foireux, mais, il met en exemple le début du roman qui est brouillons à souhait et mal agencé. Par chance, la suite vas beaucoup mieux. L'intrigue se pose, les personnages deviennent plus agréable (même si j'ai eu énormément de mal avec Alan...) et l'action est au rendez-vous. Nick est totalement attachant, malgré son manque d'empathie et de sentiments autre que la colère. Il est droit, franc et sincère dans toutes ses paroles. Mentir? Une perte de temps et d'énergie pour que ça en valent la peine.



L'auteur a une plume simple mais efficace, nous plaçant correctement les scènes avec assez de détails pour visualiser les décors.



C'est un roman idéal pour la période. Certaines scènes peuvent choquer les plus sensible, mais rien de bien horrible

Dans ce prequel de la série, c’est l’heure des choix pour Sabrina, cette sorcière pas comme les autres. A l’aube de son 16eme anniversaire elle sait que sa vie va changer, mais elle a du mal faire un choix entre sa vie « normale » et sa vie de sorcière. Sabrina veut savoir quels sont les sentiments d’Harvey à son égard, mais parfois la magie peut se retourner contre vous et vous mettre dans une situation des plus délicates. Sabrina choisira-t-elle la lumière ou les ténèbres?



Ayant bien aimé la série, je suis ravie d’avoir découvert ce prequel, en plus c’est la période idéale pour se plonger dans les histoires de sorcières dont je raffole.



Nous retrouvons ici tous les protagonistes de la série, Sabrina, ses tantes Zelda et Hilda un peu loufoques, son cousin Ambrose, mais aussi les « humains », Harvey, et son frère Tommy, Susie et Roz… j’ai beaucoup aimé en apprendre plus sur les personnages et découvrir leur histoire.



Le personnage de Sabrina mi-sorcière, mi-humaine est très fidèle à celui de la série, elle est pleine de doute et de questionnement sur son avenir en tant que sorcière, elle se demande si elle doit renoncer à sa vie « humaine », ou si elle a la possibilité de concilier les deux… Ici elle va devoir faire face au côté obscur de la magie… et trouver la bonne voie.



J’ai bien le cousin Ambrose, et ici nous en apprenons plus sur son passé, et nous découvrons l’ambiguïté de sa personnalité.



Si vous avez apprécié la série je ne peux que vous le conseiller.



J’ai dévoré ce livre, qui se lit très vite et vous plonge dans l’ambiance dès les premières pages, l’écriture est simple est fluide, les chapitres sont courts et dynamiques on sent bien qu’il s’adresse à un jeune public, mais si vous aimez les histoires de sorcières il permet de passer un agréable moment.

Je tiens à remercier les éditions Hachette Romans et le site Netgalley de m'avoir permis de lire cette préquelle à la série Netflix.



On y retrouve la jeune Samantha qui à seize ans se doute que sa vie pourrait voire même basculer. Elle étudie la magie avec ses tante Hilda et Zelda tout en ayant une vie de lycéenne comme les autres. Sauf que ses jours sont comptés dans le monde normal. Elle va devoir quitter ses amis Susie et Roz ainsi que son petit ami, et c'est difficile pour elle.



Son cousin Ambrose va lui dire de lancer un sort à Harvey pour voir si il est fiable sauf que ce sort va se retourner contre elle.



Un livre lu d'une traite tellement j'ai accroché à l'histoire si captivante, addictive, remplie de suspens et de rebondissements avec des personnages attachants comme dans la série. Hâte de lire la suite.
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Sabrina continue de provoquer des catastrophes dans cette histoire où elle s'entoure de Nick et Prudence pour combattre une créature démoniaque. Evidemment, les choses tournent mal et les sorciers se retrouvent en prise avec les humains inspirés par la chasse aux sorcières de Salem.



Je n'ai pas lu le premier tome, mais j'ai vu tous les épisodes de la série. Le style d'écriture de ce roman est très visuel et on peut parfaitement imaginer les personnages vivre la situation. J'ai aimé l'écriture de Sarah Rees Brennan.



L'histoire est vraiment sympa et j'ai beaucoup apprécié qu'Harvey soit mis en valeur. C'est un personnage qui m'énerve parfois et cette lecture m'a fait l'apprécier. En particulier, j'ai beaucoup aimé découvrir ses relations avec les sorciers après sa rupture avec Sabrina. J'ai aussi apprécié de voir Prudence exploitée, les rapports avec la famille sont particulièrement intèressants. Sabrina fait des apparitions plus anecdotiques et laisse la vedette aux personnages secondaires, bien qu'elle provoque comme toujours les évènements.



Ce titre s'intercale parfaitement entre deux épisodes et dévoile les prémices de futures relations qui sont abordées dans la série. Je le recommande pour tous les fans de la série. C'est une lecture qui se dévore rapidement.

Afin de sauver Greendale d’un terrible danger, Sabrina a accepté de signer le livre de le Bête et ainsi fait un pas de plus dans le monde ténébreux des sorciers. La jeune fille, séparée de ses amis dont Harvey avec lequel elle a rompu, doit s’adapter à sa nouvelle scolarité au sein de l’Académie des Arts Invisibles. Elle pourra heureusement compter sur le soutien du charismatique et énigmatique Nick loin d’être insensible à ses charmes, et dans une certaine mesure, de Prudence…



Prudence est déjà intéressante dans la série télé, mais elle l’est bien plus dans ce roman. Fière, ambitieuse et froide en apparence, son besoin quasi obsessionnel d’obtenir l’approbation d’un homme qui n’a pourtant que cure de son existence a quelque chose de touchant tout comme ses sentiments ambivalents envers ses « sœurs » d’adoption qui l’ont rejetée, mais qu’elle ressent encore le besoin de protéger. Ce personnage est un paradoxe en soi, fragile, mais dur, implacable, mais flexible quand les circonstances l’exigent… J’adorerais retrouver Prudence dans ses propres aventures !



Si l’univers est assez sombre, l’autrice apporte une touche de légèreté et d’humour grâce à la relation inattendue entre Harvey et Nick dont les échanges surréalistes soulignent à merveille l’énorme décalage entre le monde des mortels et le monde des sorciers. Et pourtant, unis par le même besoin de protéger Sabrina, ils arrivent à développer une relative entente, voire une étrange amitié, qui m’a bien souvent donné le sourire. Il faut dire qu’un humain qui donne des conseils pour séduire son ex-copine à un sorcier aguerri aux choses de l’amour a de quoi surprendre. Mais l’est-ce vraiment quand l’on considère à quel point la notion de séduction est différente entre les deux communautés… Ainsi quand un humain offre, par exemple, des fleurs pour séduire, un sorcier lui opte pour une projection astrale dénudée ! Chacun son truc, vous me direz.



Mais humains et sorciers n’ont pas vocation à se côtoyer comme l’a découvert douloureusement Sabrina et comme vont en faire l’expérience les deux jeunes hommes. Le danger rôde et une nouvelle menace sévit dans les rues de Greendale où la méfiance et la haine envers les sorcières et les sorciers prennent des proportions inquiétantes. Quel impact cela aura-t-il pour Sabrina et ses amis humains, mais surtout sur Harvey dont le sang de chasseur de sorciers coule dans les veines ? Sa douleur devant la mort de son frère qu’il a dû abattre lui-même après que Sabrina l’a ressuscité, et son désœuvrement face à un père qui le méprise, vont-ils avoir raison de sa légendaire gentillesse ?



Je vous laisserai le soin de le découvrir, mais force est de constater que l’autrice a réussi à rendre un personnage que j’ai toujours trouvé fade, intéressant et plus complexe qu’il n’y paraît. Je l’ai d’ailleurs trouvé ici assez touchant que ce soit dans son affection pour Sabrina ou la manière dont il essaie de faire face à une situation familiale difficile. Je lui préfère néanmoins Nick qui tente de faire de son mieux pour entrer dans le monde et la vie de Sabrina, s’approprier les codes des humains, et surtout, s’ouvrir à des sentiments d’habitude réservés aux mortels. Le mystère entourant son passé rend également le personnage assez énigmatique et intrigant !



Si on peut regretter que Sabrina ne soit pas plus présente dans ce tome puisqu’une large place est accordée à Harvey, Prudence et Nick, on appréciera l’évolution de la jeune fille qui assume de plus en plus son côté sorcière tout en veillant à ne pas perdre ce qui fait sa force : sa gentillesse, son sens de la justice, son humanité… L’adolescente, prise entre deux mondes que tout oppose, devrait donc vous toucher même si parfois sa naïveté tend à la mettre, ainsi que son entourage, dans des situations quelque peu hasardeuses. Mais c’est aussi ce qui fait le charme de Sabrina, moitié mortelle, moitié sorcière… pour le meilleur et pour le pire !



Le roman s’insère naturellement dans la trame de la série télé, mais il peut néanmoins se lire de manière indépendante, l’autrice ayant veillé à le rendre accessible à tous. Pour ma part, j’ai trouvé l’intrigue bien ficelée et j’ai apprécié le subtil équilibre entre découverte de la psychologie des personnages, phases d’action et sorcellerie d’autant que le style de l’autrice a gagné en consistance et en maturité par rapport au premier livre. La lecture m’a donc paru encore plus plaisante et immersive !



En conclusion, La fille du chaos m’a fait passer un très bon moment de lecture auprès de personnages très différents, mais attachants, que l’on prend plaisir à suivre dans leurs questionnements et leurs péripéties. Sorcellerie, haine, amour, famille, amitié et quête d’identité sont au programme d’une histoire savamment orchestrée pour vous donner envie d’allumer la télé et de (re)trouver Sabrina dont on a hâte de découvrir tout le potentiel, la jeune fille étant loin d’être une sorcière ordinaire…
Lien : https://lightandsmell.wordpr..

Sarah Rees Brennan nous entraine dans le monde de la magie et des démons, accompagné de Nick et d’Allan.



Depuis, leur enfance Nick et Alan ne cessent de déménager pour échapper aux magiciens qui en ont après leur mère, ces derniers souhaitant récupérer un talisman qu’elle leur a volé. Et oui, dans la Nuit des Démons, ce sont les magiciens qui sont les méchants, vous pouvez donc oublier la vision qui vous avez d’Harry Potter ou de Merlin. Est-ce que Nick et Alan parviendront à conter les magiciens et à pouvoir retrouver un semblant de vie normale ?



J’ai eu du mal à me plonger dans l’histoire dès les premières pages, à cause d’un manque d’information s de la part de l’auteur. Par moment j’avais l’impression de lire un deuxième tome, tellement, tout allait vite. Mais petit à petit, on commence à avoir une meilleure vision de la mythologie et des enjeux. C’est à partir de là que j’ai commencé à être intriguée.



Dans la Nuit des Démons, on suit le point de vue de Nick. Tout comme Alan, il est un chasseur de démons, sauf qu’il a un caractère un peu plus taciturne que son demi-frère. Petit à petit, on comprend qu’Alan cache quelque chose à son frère. Avec les indices que Sarah Rees Brennan nous donne au long des pages, on commence à comprendre. Mais qui est vraiment Nick ?



Nick est la bad boy du roman. Outre son caractère taciturne, il a du mal à s’intégrer et quand son frère va vouloir aider des personnes, il va se sentir rejeter.



Alan est le gentil frère et on voit qu’il tient beaucoup à Nick. Mais est ce uniquement par amour fraternel ?



Outre les premières pages de la Nuit des Démons, Sarah Rees Brennan parvient à emporter le lecteur dans son univers. Sa plume est intéressante et distille petit à petit les informations qui sont nécessaires pour comprendre l’intrigue.



Si vous aimez les histoires de démons et de magiciens, je vous conseille de le lire.
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Très bon livre. Prequel de la série avec un intrigue sur Nick et sur prudence qu'il n'y a pas dans la série. J'ai bien aimé. Si vous avez aimé la série Netflix,vous aimerez ce livre.

Ce lit assez rapidement, il y est écrit gros et moins de 200 pages. Avec des chapitres sur d'autres personnages que Sabrina, notamment la futur Lilith, père blackwood, prudence,Nick, Ambrose et les tantes spellman. Dans ce prequel, Sabrina se prépare à son baptême obscur on est au mois de septembre avant ses 16 ans. Se demandant comment lié sa vie humaine et celle sorcière, et si elle n'était pas une bonne sorcière ?

Le début m'a laissé sceptique il est lent et part un peu dans tous les sens on change de point de vue à chaque chapitre sas arrêt c'est perturbant à suivre en plus on change complètement d'intrigue en changeant de personnage on revient vers une action qui s'est passé avant pour y revenir par la suite.



Heureusement au bout d'un moment on reste dans le même personnage et une suite logique permettant de mieux rentrer dans l'histoire.



Pour moi certain point de vue était inutile et le problème ayant vu toutes les saisons de sorties je savais déjà beaucoup de chose sur la suite m’empêchant d’être vraiment dans l'intrigue.



Ce tome m'a déçu il n'apporte pas vraiment grand chose hormis qu'on comprend mieux Ambrose.

Au milieu de tous les personnages des livres, Magnus est quelqu’un qui me plait particulièrement, de par sa relation assez unique avec Alec déjà, mais aussi parce qu’on sait très peu de choses sur son existence, du moins dans les premiers tomes, jusqu’à ce qu’il offre à Alec un petit recueil de son passé, publié ici sous forme de chroniques.



Parmi les quelques informations qu’on glane sur lui, on apprend au détour d’une conversation qu’il ne peut plus aller au Pérou parce qu’il en a été banni.

Ce premier tome des Chroniques de Bane est donc là pour nous en expliquer les raisons et on suit chronologiquement les aventures de Magnus dans ce pays, seul ou en compagnie de ses deux amis sorciers, Ragnor Fell et Catarina Loss.

C’est parfois amusant, saugrenu ou même touchant, à l’image de ce personnage en fait.



Bon, je m’y suis très mal prise puisque ces nouvelles sont en fait à lire après toutes les autres publications mais je ne boude pas mon plaisir parce que j’ai aimé retrouver Magnus tout au long de ces années.

La partie se déroulant en 1890, qui est la plus longue, est pour moi la plus représentative du personnage, oscillant entre excentricité et réflexions beaucoup plus profondes sur ses relations qui virent bien souvent au fiasco.



A l’arrivée, on n’en sait toujours pas plus sur ce qui a poussé le Haut Conseil des Sorciers Péruviens à le bannir, mais on en a découvert un peu plus sur Magnus, et c’est là le plus important.
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L’histoire est aussi alambiquée qu’elle le laisse deviner. Sarah REES BRENNAN a tenté de créer un univers peuplé de démons, de magie noire et blanche, de gentils et de méchants, mais semble avoir été dépassée par son histoire : trop compliquée, aux personnages peu crédibles. [...]
Lien : http://siletaitencoreunefois..

J’ai vraiment apprécié lire ce tome 2 des aventures de Sabrina ! On retrouve l’univers de Sabrina partager entre le monde des mortelle et celui des sorciers et les choix qu’elle doit faire entre les 2. L'histoire est vraiment sympa et j'ai bien aimé qu'Harvey soit mis en valeur. En particulier, j'ai beaucoup aimé découvrir ses relations avec les sorciers (Nick plus particulièrement) après sa rupture avec Sabrina. Ce que j’ai également trouvé d’intéressant dans ce roman c’est le fait que le personnage de Sabrina se retrouve plus en arrière-plan et qu’elle laisse la place à Nick, Prudence, Harvey et tout les autres. Avec ce recul de Sabrina, on accède plus facilement à l’évolution de tous les autres personnages, tout en aillant accès au sien sans qu’il soit au centre de l’histoire.

Futur(e)s élèves,

Bienvenue à Alféa, où toutes les possibilités s'ouvrent à vous.



Je suis Miss Dowling, directrice d'Alféa.

Durant cette journée d'orientation, vous allez faire la connaissance de nos élèves tel que Stella (fée de la lumière), Sky et Riven (des spécialistes). En suivant vos guides, vous allez découvrir un espace conçu pour apprendre, grandir et faire des choix.

Chaque fée où spécialiste, est unique et aucun ne doit chercher à s'affronter même si des tensions entre-vous peuvent naître.



Dans ce roman, Sarah Rees Brennan, nous accueille dans une partie du quotidien d'Alféa. Entre rivalité, amour, magie.... la féerie des Winx est présente.



Malheureusement, je reste un peu sur ma faim. L'écriture et les formulations employées me semblent trop légère. J'espérais être encore plus captivé. Étant fan des winx club depuis mon enfance, j'espérais plus de rebondissements et d'événements magiques.



Malgré tout, j'ai passé un bon moment de lecture.