Shôgo Imamura

Ce manga est vraiment addictif au plus haut point. Plus on avance dans les tomes et plus il se passe de chose. J’ai du mal à me dire qu’il ne reste qu’un seul tome, j’ai l’impression qu’il reste des tonnes de choses à voir, à régler. Quand je vois ça, je me dis que le dernier tome, il va être explosif sur tous les niveaux! Sans surprise, c’était encore une fois une lecture tout bonnement incroyable, vraiment ce manga m’a énormément surprise, je ne m’attendais pas du tout à autant apprécier ma lecture et pourtant!



Dans ce troisième tome, déterminé à réaliser le rêve que Tamonmaru lui a confié, créer un pays en paix, Kuhé parvient miraculeusement à rencontrer le seigneur Motonaga Miyoshi, qui partage les mêmes aspirations. Au travers de cette rencontre, il prend conscience de ses propres faiblesses, son manque de force et d’expérience. Il part dès lors, toujours accompagné de son frère, Jinsuke,et l’apprenti médecin, Ikkeï, rejoindre le front d’une bataille en cours. Au pied du château de Kagamiyama, ils sont pris sous les ailes de deux grands guerriers, le général et stratège Tsunehisa Amago et le capitaine Tajihi Motonari. Malgré cet illustre patronage, ils sont rapidement confrontés à la cruauté de la guerre…



J4adore voir l’évolution des personnages. Ces deux frères ont vachement grandis et mûris depuis le premier tome. Ils ont appris des tas de choses, ils continuent d’en apprendre et mettent à profit toutes les connaissances qu’ils ont accumulés depuis tout ce temps. Jinsuke est celui qui m’impression le plus. On passe du jeune frère sensible et un brin pleurnichard à un jeune garçon prêt pour la guerre et qui se bat de manière remarquable! Kuhé, je toruve qu’il se méfie de plus en plus désormais. Déjà qu’il se méfiait énormément, avec tout ce qu’il a vécu depuis, sa méfiance s’accentue de plus en plus. En même temps, on ne peut que le comprendre! J’adore le personnage de Ikkei, il amène un peu d’humour dans cette histoire, c’est très plaisant. Dans ce tome, on se retrouve en plein coeur du champ de bataille. La guerre est violente, sanglante et cruelle, là bas tous les coups sont permis et il ne faut pas trop avoir de principes… Kuhé va d’ailleurs avoir un petit aperçu de ça et ça va pas mal le chambouler pour le coup!



Oh comme j’ai hâte de découvrir le dernier tome! Je sens qu’il va être exceptionnel et je meurs d’impatience de le dévorer. J’ai pris énormément de plaisir pendant ma lecture, j’ai passé un si bon moment à dévorer les tomes les uns après les autres. Surtout qu’elle prend de sacrées proportions. J’adore l’intrigue, j’adore les personnages, bref cette histoire est vraiment incroyable!




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Après avoir dévoré le premier tome et surtout, vu comme il se terminait, il était hors de question que je ne me jette pas immédiatement sur le second tome. Et c’était tout aussi génial que le premier d’ailleurs! Une des choses qui me plaît le plus avec ce manga c’est qu’au final, le rythme est super soutenu, il est tout de même assez rare d’avoir des moments calmes, quand ça arrive ils sont nécessaires ou ne durent pas très longtemps. L’ennui n’a vraiment pas sa place ici, il se passe toujours quelque chose et c’est tout simplement addictif!



Dans ce second tome, Tamonmaru, jeune orphelin, rêve de créer un pays où le vol ne sera plus une nécessité, mais il disparaît aux prémices de sa grande oeuvre, victime de chasseurs de brigands. Kuhé, Jinsuke et Hinata, seuls survivants du clan Matsunaga créé par Tamonmaru, héritent de sa volonté. Ils trouvent refuges dans un temple qui semble être un véritable havre de paix. Malheureusement, les troubles de la guerre ne sont jamais loin et en ces temps tumultueux, il ne faut faire confiance à personne.



Ce tome commence fort avec la confrontation entre Kuhé et Le Hibou.. Ça c’est terminé comme je le pensais. Pour une fois que j’ai trouvé la vérité avant qu’on me la mette sous le nez! Ensuite on retrouve nos survivants qui essayent de trouver un endroit où se réfugier. Ils finissent par trouver un temps qui les acceptent sans broncher. Les mois passent et Kuhé reste toujours autant sur ses gardes, il a eu sa dose avec les temples.. L’histoire prend une tournure intéressante lorsqu’il découvre le secret de ce temple! J’aime le fait qu’il y a toujours de l’action, ça dynamise tellement l’histoire. Mais surtout on n’a pas de l’action dans le but de voir les choses bouger. Non, chaque fois qu’il y a de l’action c’est réfléchi, c’est utile. Le personnage de Kuhé me plaît de plus en plus. Ce jeune homme est tellement réfléchi, il observe toujours tout ce qu’il y a autour de lui, il observe les personnes, leurs comportement etc. Il fait attention au moindre détails et j’en passe. Il fera toujours tout pour protéger son petit frère en tout cas. J’ai beaucoup aimé découvrir ce nouveau personnage, celui de Ikkei. Je trouve qu’il apporte un peu de fraîcheur à l’histoire parce qu’il est assez drôle finalement! J’ai hâte de découvrir la suite!



Un second tome dans la lignée du premier, palpitant, plein d’action, addictif, qui se dévore en un rien de temps. Tout est bien travailler dans cette histoire et ça, je trouve ça vraiment cool. C’est hyper plaisant à lire et on ne voit pas les pages défiler. Les personnages, l’intrigue, tout est superbement bien maîtrisé. Et maintenant, je m’en vais de ce pas me jeter sur le prochain tome!
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Un tome qui m’attend depuis un bon moment dans ma PAL et comme en plus j’ai les deux suivants, je me suis dis qu’il était peut être temps de les sortir et de les dévorer les uns après les autres. Surtout qu’il s’agit d’une série en quatre tomes, au moins une fois à jour, il ne me restera que le dernier à découvrir. Je me suis donc jetée sur le premier tome qui m’a complètement emballé dès les premières pages pour le coup. Ça faisait longtemps que je n’avais pas lu une histoire dans ce genre et qu’est ce que ça fait du bien. C’est un premier tome palpitant de la première à la dernière page!



Dans ce premier tome, au Japon, époque Sengoku, l’ère des provinces en guerre où la cruauté et la famine font des ravages. Kuhé est un orphelin de quatorze ans, en charge de son frère cadet. Capturés par des marchands d’esclaves, ils sont sauvés au détour d’un chemin par un groupe d’enfants voleurs. Le chef de la bande, Tamonmaru, a un rêve : construire un pays où le vol n’existera plus, un havre de paix dans ce monde turbulent. Kuhé, frappé par l’audace et la grandeur de cet idéal, décide de le suivre !



Ce que j’ai aimé dans ce premier tome c’est le côté prenant de l’histoire. On ne tergiverse pas et on rentre directement dans le bain. On ne s’ennuie pas une seule seconde tant on est embarqué par l’histoire. J’adore ce genre de lecture, tu sais que tu vas passer un bon moment rien qu’en lisant les premières pages. C’est une histoire assez violente, en même temps quand on y pense, on est en période de guerre et le groupe que l’on va suivre volent pour pouvoir survivre.. Alors évidemment, nous ne sommes pas au pays des Bisounours quoi. Il y a de la violence, du sang, des combats et j’en passe. Les personnages sont hyper intéressants pour le coup et j’ai beaucoup aimé les découvrir. Certains sont plus mystérieux que d’autres, ils ont tous leurs petites secrets en quelque sorte. Ils forment un groupe particulier mais tellement bien organisé, chaque membre du groupe a un rôle bien défini, franchement ils sont super bien rodés pour le coup! Pour une fois, j’ai vu venir la chose et la fin de ce tome ne me fait que confirmer, du moins pour le moment, à voir ce qu’il se passe dans le second tome. Je suis très curieuse de découvrir la vérité sur tout cette histoire, ça m’intrigue beaucoup trop!



Un premier tome qui nous donne vraiment envie de découvrir les autres tomes. Il nous laisse sur un sacré suspense clairement, je compte bien dévorer les autres tomes les uns après les autres. J’ai des tas de questions en tête et j’ai très hâte d’avoir des réponses. Si les autres tomes sont aussi addictifs et palpitant que celui là, on va avoir droit à une série tout simplement incroyable!
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Le premier tome m’avait bien plu alors c’est avec plaisir et confiance que j’ai entamé le deuxième dès qu’il est sorti. Les dessins continuent de me ravir et je dois admettre que le coup de crayon de Kouji Megumi me fait toujours un certain effet. Quant à l’histoire, je la trouve aussi prenante que pour le premier tome. Sans vous spoiler (je n’oserais pas), sachez que nos héros vont continuer à se battre pour un Japon meilleur et une justice plus… juste. Malheureusement, les traitres et les embuches sont légion à cette époque du Japon.



Suite à une mission ratée à cause de la traitrise de certains, Kuhe, son frère et Hinastu sont recueillis par des moines. Kuhe n’a pas confiance en eux après ce qu’il a vécu par le passé et ces derniers semblent d’ailleurs louches. Notre héros, malgré tout, va continuer à se battre pour ses convictions et réaliser le rêve de Tamonmaru.



Savoir que cette série est en cinq tomes m’attriste un peu parce que je trouve quand même le scénario sympa bien que peut-être un brin superficiel sur certains aspects (mais je pinaille un peu).L’ambiance médiévale est prenante et j’aime voyager avec nos héros dans ce Japon d’un autre temps si violent et sombre à la fois. Et comme je le disais un peu plus tôt, le graphisme et sa mise en page savent parfaitement mettre en valeur l’histoire de Kuhe et son frère !



Bref. J’ai une nouvelle fois passé un bon moment de lecture avec ce nouveau tome.
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Ce qui m’a avant tout attirée avec ce nouveau manga, ce sont ses magnifiques dessins. J’admets volontiers avoir choisi ce titre sans vraiment lire le résumé juste parce que j’ai aimé le personnage sur la couverture (oui, je suis faible). Tout de même, je savais que l’histoire se passait à l’époque Sengoku et que le récit s’appuierait donc sur des faits historiques.



Le manga débute fort avec deux enfants capturés par des hommes prêts à les vendre comme esclaves. Sur le chemin, ils vont être sauvés par une bande de gamins orphelins dirigés par un certain Tamonmaru au charisme palpable. Celui-ci a un rêve, il veut faire de leur pays un endroit sûr et paisible pour tout le monde. Kuhé et son petit frère décident donc de rester avec sa bande et de l’aider à réaliser son idéal.



Le coup des gamins qui rêvent d’un monde meilleur, d’un autre Japon, ça me rappelle d’autres mangas où la trame se situe à notre époque. Mais finalement il n’y a pas de monde plus juste, que ce soit avant ou après.



Dans l’ensemble, j’ai aimé ce début d’histoire qui se déroule à l’époque dans laquelle ont vécu Nobunaga et Matsunaga. L’histoire y est plutôt romancée et d’ailleurs elle est tirée du roman de Shogo Imamura. De plus, on ne va pas se mentir, les dessins de Megumi Kouji sont superbes, bien travaillés que ce soit dans les détails ou les expressions des personnages. Son style me plait beaucoup (je sais, je me répète).



Concernant le récit, j’ai été happée du début jusqu’à la fin de ce premier tome, même si certains évènements m’ont quand même déçue. Je ne m’attendais pas à ça. Malgré tout, cela me donne envie de lire la suite pour voir comment ça va avancer.



Un premier volume bien sympathique qui se lit très bien avec une histoire intéressante et un graphisme léché qui selon moi est un vrai plus à ce manga !
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Vous aimez les mangas historiques ?

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Celui-ci nous emmène tout droit au Japon à l’air Sengoku, une période trouble pour le pays qui va voir son territoire ravagé par les guerres et les conflits.

C’est aussi une époque très connue grâce à un personnage : Oda Nobunaga que l’on va apercevoir brièvement au début du premier tome avant de faire un saut dans le passé et de croiser la route de 2 frères orphelins Kuhé et Jinsuke.



Malgré leur jeune âge, ils ont eu une vie difficile puisque qu’après la mort de leurs parents, ils ont été hébergés dans un temple où des moines peu recommandables pratiquaient la traite d’êtres humains et aussi des abus...



Leur calvaire va prendre fin quand des bandits vont venir piller les lieux, mais une fois encore ils vont manquer de chance puisque les malfrats vont les prendre avec eux pour les vendre… Ils vont devoir leur salut à une bande d’orphelins qui a décidé de s’en sortir en pratiquent le vol mais uniquement sur des hors la loi.

À la tête de la bande il y a Tamonmaru, un jeune garçon au grand cœur qui va leur proposer de se joindre à eux et d’œuvrer pour réaliser son rêve le plus fou : monter toutes les strates de la société pour gouverner et apporter le bonheur.

Tous les enfants qui vivent avec lui ont épousé sa cause et ça va aussi être le cas des 2 garçons qui vont tout faire pour porter cet idéal aussi loin qu’ils vont le pouvoir…



C’est un titre très bien foutu et plein d’émotions qui nous est proposé. Dès le début de l’histoire, il y a des combats, de l’injustice, des trahisons et on va rapidement s’attacher aux différents personnages… Dans la suite, c’est pareil, c’est rythmé et on se prend à nous aussi avoir envie que le rêve de Tamonmaru voie le jour… Mais un grand rêve implique de grand sacrifice et on va voir que même s’ils sont jeunes nos héros sont prêts à tout !



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On a là une lecture très classique du genre mais suffisamment prenante, mais surtout très inquiétante car, concrètement, on ne voit vraiment pas comment le récit pourrait se conclure convenablement dans le prochain volume...
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Préférant cacher à Jinsuke et à Hinatsu [...] la vérité sur la trahison du Hibou, Kuhé règle ses comptes avec ce dernier, en prenant sur lui ce qu'il a fait. Mais il reste que cette vengeance n'occulte pas le terrible drame qui vient d'avoir lieu.
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Le début du tome fait directement suite à la fin du précédent. Une ultime confrontation. Cela continue à trancher dans le vif dans une période obscure où il est compliqué de placer sa confiance. Le travail sur le graphisme, les expressions, les jeux d'ombre est magnifique et nous permet une pleine immersion ainsi que quelques frissons.

Kuhé est un jeune homme très fort, méfiant, observateur, très intelligent, ce qui peut autant l'aider que le mettre en danger. L'histoire se suit avec plaisir et entraîne totalement le lecteur. Elle ne perd pas de temps, ne fait dans la dentelle. Quand notre groupe, ceux qui restent, trouvent un nouvel endroit qui semble les accueillir, tandis que tant d'autres fermeront leurs portes, nous nous demandons si nous pouvons vraiment y croire, tout comme Kuhé, comment certaines choses sont possibles ?

Ils luttent pour leurs survies. Kuhé n'oublie pas son rêve, son but, ses ambitions. Même si parfois tout a l'air si lointain, la guerre est bien aux portes menaçante.

Nous allons vivre plusieurs évènements, faire de nouvelles rencontres, vivre des moments insolites, d'autres de doutes. Tout est bien mis en forme pour que le lecteur se prenne

au jeu et ne devine rien trop facilement.

Kuhé nous semble particulièrement fort et doué, voire même très impressionnant par moment. Et quand les deux frères forment une alliance : Kuhé et Jinsuke, ce n'est pas rien à voir.

Une lecture qui vaut le coup, sait trancher dans le vif et surprendre, attention à mettre uniquement dans les mains d'un public mûr et averti.

La série ne fait pas dans la dentelle, alors même qu'elle implique pas mal d'enfants. Elle est intéressante, immersive et superbement dessiné. Nous sommes au XVIème siècle, en pleine époque Sengoku, au Japon. La guerre y fait rage, le pays est en flammes, les plus faibles se font inlassablement attaqués, y risquent autant leurs biens que leurs vies.

Des enfants, voleurs pour survivre, ont un rêve et feront tout pour le réaliser.

Ce sont les éditions Pika qui nous propose ce titre, qui sera court et sans doute incisif, il est prévu en 4 tomes. C'est la mangaka MEGUMI Kôji qui assure le graphisme, un point fort titre, nous avons déjà pu la croiser sur "Bloody Monday". Elle adapte le roman de IMAMURA Shôgo.

Le début donne le ton de l'époque et des affrontements. Le dessin est immédiatement saisissant. Très vite, nous irons à la fin de l'ère Eishô, an 1521, au Mont Inari, aux alentours de Kyoto, la capitale. Les paysages sont un régal à observer, ils ont un côté réaliste qui participent à l'immersion. C'est alors que nous rencontrons Kuhé et Jinsuké, deux frères solidaires, mais orphelins et enchaînés. Ils sont sous le joug de marchands d'esclaves qui ont prévu de les vendre.

Kuhé est réaliste, a une capacité que tout le monde n'a pas, tente de préserver son frère et beaucoup de volontés mais que peut-il faire ?

Le destin va les faire rencontrer un groupe d'enfants autosuffisants, mais qui ont été obligés de devenir des voleurs. Les voir à l'œuvre a un côté jouissif. Eux considérés comme faibles, leur alliance fait des étincelles. Mais ces coups répétés ne seront pas sans danger et le rêve du chef qui a trouvé un nom à son groupe est bien plus grand : élever leur rang social, construire un pays où le vol n'existera pas.

Nous les voyons évoluer, rire ensemble, devoir rester sur leurs gardes. Le monde sera sans pitié avec eux. Chacun a son talent, son rôle, tous continuent à apprendre, à s'entraîner, à différentes choses. Des scènes peuvent être difficiles set cruelles.

La fin donne déjà très envie de connaître la suite.

Un peu à la manière de l'excellent manga Sidooh de Tsutomu Takahashi, le début de cette série nous plonge donc dans l'enfance particulièrement dure de deux frères dont la naïveté enfantine a d'ores et déjà volé en éclats face aux vicissitudes d'une époque très troublée et cruelle.
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