Critiques de Shun Matsuena (31)
Grâce aux éditions Kurokawa, je me suis remis dans un shônen qui débute en France en 2021, en l’occurrence 008 Apprenti espion, de Shun Matsuena !
Initiation à l’espionnage
Eight Akashi est un adolescent japonais victime d’une espèce de Parcoursup pour lycées, puisqu’aucune de ses candidatures n’a été retenue ! Orphelin de père, mais très entouré par sa mère et ses deux frères et sœurs, il reçoit en dernier ressort une invitation au lycée national de Nakano, alors qu’il n’y avait pas du tout postulé (évidemment, puisqu’il ne le connaît même pas). Il s’y rend tout de même, en désespoir de cause, et découvre qu’il s’agit d’une école secrète qui enseigne l’espionnage. Tout étonné, et même affolé par toutes ces révélations, il est tout de même guidé par Ayame Kido, qui semble très au fait des règles en vigueur dans cet établissement si particulier et, apparemment, si élitiste. Un dilemme s’impose donc à lui : refuser cette inscription et ne pas savoir de quoi son avenir sera fait ou bien accepter la proposition de formation au métier d’espion et se faire franchement violence…
Un scénario immersif
Le système éducatif japonais est connu pour ses multiples niveaux de sélection, créant une intense concurrence entre citoyens et le stress social qui va avec. Ici, Eight doit avoir une quinzaine d’années et côté immersion, cela ne démarre pas trop mal, puisque le lecteur est confronté à des enjeux scolaires qui se développent de plus en plus en France avec les contre-réformes néolibérales sur le collège, le lycée et le baccalauréat. Ici, il y adonc un intérêt sur l’enjeu social considérable en lequel consiste la réussite scolaire dès l’équivalent de notre collège : « l’orientation » est devenue la seule variable d’ajustement, heureusement que nous ne sommes pas du tout sur cette voie-là en France depuis de nombreuses années. Face à cette sélection drastique, le scénario s’appuie sur l’éternel tropisme du héros-héritier qui accède à un destin particulier uniquement parce qu’il y ait prédestiné par son ascendance ; toutefois, l’adolescent est bien écrit comme un ado : ses réactions ne sont pas forcément les plus cohérentes au premier abord, on pourrait même dire que la logique est oublié si d’autres priorités adolescentes surviennent. Ainsi, l’humour est bien présent dans ces premiers chapitres, avec ces moments de décalage où un personnage est caricaturé dans une réaction déjantée, ce qui nourrit un certain second degré. Ce décalage se constate aussi dans l’enchaînement des premiers chapitres, qui donne parfois l’impression d’appuyer chaque épisode sur un style différent (épisode d’initiation, épisode de romance, épisode d’action, etc.). En tout cas, on a envie de lire la suite, notamment (enfin) quelques missions d’espionnage puisque cela s’appelle « 008 », on veut de l’espionnage, du vrai ! Dans ce premier tome, tous les ingrédients sont mis en place pour de sérieux drames à venir : des collègues aguerris qui sont autant de concurrents, des idylles naissantes, des mystères qui planent sur la direction de l’établissement, ainsi que le profil d’Ayame Kido et sur la destinée manifeste du héros.
Du conservatisme social et sociétal
Toutefois, assez vite, un certain nombre de réflexes liés au genre shônen prennent le dessus : personnellement, cela fait bizarre mais plaisir de relire du shônen, mais c’est assez triste aussi d’y retrouver une vision aussi conservatrice sans contrepoint ni allusion aux mouvements sociétaux de ces dernières années. Dès la couverture et régulièrement dans ces premiers chapitres, nous assistons à la sempiternelle contre-plongée sur une jeune femme à poitrine bonnet G avec dos cambré, jupette d’écolière et culotte apparente : Ayame Kido est le seul personnage féminin et adopte toutes les positions et scènes classiques d’un manga sexiste puisqu’en premier lieu, elle ne se positionne que vis-à-vis des personnages masculins ; c’est donc juste gênant de voir que chaque choix scénaristique concernant Ayame Kido est constamment sexiste. Cela peut rester de l’ordre du stéréotype persistant (à l’image des « pin-up girls » anglo-saxonnes) lors des cinq premiers chapitres ; toutefois, le sixième chapitre bat tous les records avec une scène de femmes nues totalement gratuite, résumée par l’assertion d’un collègue masculin : « la beauté fait partie de l’arsenal des agents féminins »… Voilà, voilà. Après, bien sûr, tout cela intervient dans un cadre qui est globalement conservateur avec une société uniformisée, particulièrement contraignante sur les corps et les esprits (avec le directeur Araragi comme prototype du directeur autoritaire, voire totalitaire), vision sociétale qui est peut-être bien celle du Japon contemporain, je ne saurais le dire.
C’est toujours intéressant de débuter une nouvelle série ; ici, 008 Apprenti espion propose un scénario immersif, mais dans lequel il faut faire abstraction de toutes les allusions conservatrices qui parsèment le récit.
Initiation à l’espionnage
Eight Akashi est un adolescent japonais victime d’une espèce de Parcoursup pour lycées, puisqu’aucune de ses candidatures n’a été retenue ! Orphelin de père, mais très entouré par sa mère et ses deux frères et sœurs, il reçoit en dernier ressort une invitation au lycée national de Nakano, alors qu’il n’y avait pas du tout postulé (évidemment, puisqu’il ne le connaît même pas). Il s’y rend tout de même, en désespoir de cause, et découvre qu’il s’agit d’une école secrète qui enseigne l’espionnage. Tout étonné, et même affolé par toutes ces révélations, il est tout de même guidé par Ayame Kido, qui semble très au fait des règles en vigueur dans cet établissement si particulier et, apparemment, si élitiste. Un dilemme s’impose donc à lui : refuser cette inscription et ne pas savoir de quoi son avenir sera fait ou bien accepter la proposition de formation au métier d’espion et se faire franchement violence…
Un scénario immersif
Le système éducatif japonais est connu pour ses multiples niveaux de sélection, créant une intense concurrence entre citoyens et le stress social qui va avec. Ici, Eight doit avoir une quinzaine d’années et côté immersion, cela ne démarre pas trop mal, puisque le lecteur est confronté à des enjeux scolaires qui se développent de plus en plus en France avec les contre-réformes néolibérales sur le collège, le lycée et le baccalauréat. Ici, il y adonc un intérêt sur l’enjeu social considérable en lequel consiste la réussite scolaire dès l’équivalent de notre collège : « l’orientation » est devenue la seule variable d’ajustement, heureusement que nous ne sommes pas du tout sur cette voie-là en France depuis de nombreuses années. Face à cette sélection drastique, le scénario s’appuie sur l’éternel tropisme du héros-héritier qui accède à un destin particulier uniquement parce qu’il y ait prédestiné par son ascendance ; toutefois, l’adolescent est bien écrit comme un ado : ses réactions ne sont pas forcément les plus cohérentes au premier abord, on pourrait même dire que la logique est oublié si d’autres priorités adolescentes surviennent. Ainsi, l’humour est bien présent dans ces premiers chapitres, avec ces moments de décalage où un personnage est caricaturé dans une réaction déjantée, ce qui nourrit un certain second degré. Ce décalage se constate aussi dans l’enchaînement des premiers chapitres, qui donne parfois l’impression d’appuyer chaque épisode sur un style différent (épisode d’initiation, épisode de romance, épisode d’action, etc.). En tout cas, on a envie de lire la suite, notamment (enfin) quelques missions d’espionnage puisque cela s’appelle « 008 », on veut de l’espionnage, du vrai ! Dans ce premier tome, tous les ingrédients sont mis en place pour de sérieux drames à venir : des collègues aguerris qui sont autant de concurrents, des idylles naissantes, des mystères qui planent sur la direction de l’établissement, ainsi que le profil d’Ayame Kido et sur la destinée manifeste du héros.
Du conservatisme social et sociétal
Toutefois, assez vite, un certain nombre de réflexes liés au genre shônen prennent le dessus : personnellement, cela fait bizarre mais plaisir de relire du shônen, mais c’est assez triste aussi d’y retrouver une vision aussi conservatrice sans contrepoint ni allusion aux mouvements sociétaux de ces dernières années. Dès la couverture et régulièrement dans ces premiers chapitres, nous assistons à la sempiternelle contre-plongée sur une jeune femme à poitrine bonnet G avec dos cambré, jupette d’écolière et culotte apparente : Ayame Kido est le seul personnage féminin et adopte toutes les positions et scènes classiques d’un manga sexiste puisqu’en premier lieu, elle ne se positionne que vis-à-vis des personnages masculins ; c’est donc juste gênant de voir que chaque choix scénaristique concernant Ayame Kido est constamment sexiste. Cela peut rester de l’ordre du stéréotype persistant (à l’image des « pin-up girls » anglo-saxonnes) lors des cinq premiers chapitres ; toutefois, le sixième chapitre bat tous les records avec une scène de femmes nues totalement gratuite, résumée par l’assertion d’un collègue masculin : « la beauté fait partie de l’arsenal des agents féminins »… Voilà, voilà. Après, bien sûr, tout cela intervient dans un cadre qui est globalement conservateur avec une société uniformisée, particulièrement contraignante sur les corps et les esprits (avec le directeur Araragi comme prototype du directeur autoritaire, voire totalitaire), vision sociétale qui est peut-être bien celle du Japon contemporain, je ne saurais le dire.
C’est toujours intéressant de débuter une nouvelle série ; ici, 008 Apprenti espion propose un scénario immersif, mais dans lequel il faut faire abstraction de toutes les allusions conservatrices qui parsèment le récit.
Dès la vu du titre du manga, j'ai tout de suite pensé à un clin d'oeil à James Bond.
Eight, lycéen est attribué malgré lui dans un lycée où il forme des agents secrets.
Courageux mais pas téméraire, le héros découvre tant bien que mal ce lycée hors du commun. Il fait également la connaissance de Ayame Kido, une camarade déjà plus expérimentée dans le domaine.
Ce premier tome est une belle découverte. Plein d'action et d' humour, même si le héros peut être agaçant au début de l'histoire, le jeune homme devient plus attachant au fil des pages.
Même si il est le personnage principal, c'est plutôt Ayame qui en impose le plus et ce n'est pas pour rien qu'elle est au premier plan sur la couverture du manga. Il faut dire que la demoiselle ne manque pas de charme, et Eight ne reste pas indifférent envers la jeune fille où certaines situations laissent supposer qu'ils finiront par se rapprocher.
De l'humour, de l'action à revendre et une touche de fan service ce premier tome offre de bonnes choses et on en redemande.
Eight, lycéen est attribué malgré lui dans un lycée où il forme des agents secrets.
Courageux mais pas téméraire, le héros découvre tant bien que mal ce lycée hors du commun. Il fait également la connaissance de Ayame Kido, une camarade déjà plus expérimentée dans le domaine.
Ce premier tome est une belle découverte. Plein d'action et d' humour, même si le héros peut être agaçant au début de l'histoire, le jeune homme devient plus attachant au fil des pages.
Même si il est le personnage principal, c'est plutôt Ayame qui en impose le plus et ce n'est pas pour rien qu'elle est au premier plan sur la couverture du manga. Il faut dire que la demoiselle ne manque pas de charme, et Eight ne reste pas indifférent envers la jeune fille où certaines situations laissent supposer qu'ils finiront par se rapprocher.
De l'humour, de l'action à revendre et une touche de fan service ce premier tome offre de bonnes choses et on en redemande.
Belle découvert avec le premier tome. J'ai donc voulu poursuivre l'aventure avec le second.
Le premier tome posait les bases avec la présentation de chaque personnages. Celui-ci apporte plus d'épaisseur au niveau de l'histoire et sur l'évolution des protagonistes.
Le héros Eight reste égale à lui même cependant je l'ai trouvé plus sur de lui, il n'hésite pas à braver le danger pour secourir ses camarades.
Nos apprenti agents sont confrontés à de nouvelles épreuves tout aussi surprenantes les unes que les autres. D'autres personnages entre en scène et nous font découvrir leurs capacités.
Confirmant la très bonne entrée en matière du premier tome, ce tome 2 est plus explosif, plus rythmé possédant toujours son coté fan service et une bonne dose d'humour. Ce qui nous amène à un troisième tome bien prometteur.
Le premier tome posait les bases avec la présentation de chaque personnages. Celui-ci apporte plus d'épaisseur au niveau de l'histoire et sur l'évolution des protagonistes.
Le héros Eight reste égale à lui même cependant je l'ai trouvé plus sur de lui, il n'hésite pas à braver le danger pour secourir ses camarades.
Nos apprenti agents sont confrontés à de nouvelles épreuves tout aussi surprenantes les unes que les autres. D'autres personnages entre en scène et nous font découvrir leurs capacités.
Confirmant la très bonne entrée en matière du premier tome, ce tome 2 est plus explosif, plus rythmé possédant toujours son coté fan service et une bonne dose d'humour. Ce qui nous amène à un troisième tome bien prometteur.
Dans le précédent opus, nous avons laissé nos joyeux pervers de compagnons sur la quête du meilleur point d'observation de la salle de bain du dortoir des filles. Cette quête est en réalité une véritable épreuve de parcours concoctée par l'ultra-plantureuse Miss Lady. Ce gag de mater les filles en douce dans les vestiaires, communs à pas mal de shonen , se transforme ici en véritable mission d'espionnage accompagné de tout l'humour fanservicieux de Shun Matsuena.
Nous ne serons donc pas surpris de ces premiers chapitres qui ont quand même le mérite d'offrir un dessin généreux qui ravira les amateurs de fan service parmi nous mais surtout de développer certains personnages tels que le charismatique Sans-Nom qui refuse de donner son nom à notre héros Eight qui est bien déterminé à lui faire cracher le morceau. En restant dans la simplicité, Shun Matsuena donne un coup de projecteur sur ce personnage intéressant qui a été élevé en laboratoire. On lui est également gréé de ne pas enfoncer le clou du personnage ténébreux et tourmenté. Sans-nom est un être talentueux qui cache justement ses faiblesses derrière une personnalité tout en retenu sauf qu'Eight est évidemment là pour lui faire tomber un peu le masque. En contraste avec cette fausse froideur, ce cinquième volume présente aussi un autre protagoniste plutôt déjanté en la personne du fantôme de l'école, un agent secret brisé et isolé qui a travaillé avec le père de notre héros. L'occasion d'en savoir plus sur la figure du paternel tout en assistant à quelques bonnes sessions de combats entre mitrailleuse et tie-blade... Le quotidien d'Eight est toujours animé même si on peut regretter l'absence d'une mission un peu sérieux histoire de donner un peu plus de force à une intrigue qui continue à progresser tout doucement.
Ainsi ce volume 5 reste , selon moi, un volume d'exposition qui ne fait pas avancer l'intrigue générale si ce n'est pour présenter quelques nouveaux personnages. Il n'y a pas de réels sentiments de progression dans cette intrigue qui aurait pu être comparable à un My Hero Academia mais version James Bond. La progression des personnages pour devenir des espions manque d'un peu d'entrain, le mangaka préférant pour l'heure nous présenter de nouvelles têtes tout en proposant du fan service déjanté même si ce n'est qu'une partie du manga.
Il est dommage de faire une rupture avec l'organisation Dogramagra apparue dans le précédent tome qui apparaissait comme un intéressant antagoniste même si leur nom finit par ressurgir.
En espérant que le volume 6 redonne un peu d'envol à ce titre... volume qui sera d'ailleurs centré sur la belle et fatale Kido.
Bien qu'il reste porté par un dessin toujours aussi vivace, ce tome confirme aussi que Shun Matsuena reste pour l'heure dans des volumes de présentations ce qui se révèle un peu frustrant suite à la première mission accompli par la team. Même si les nouveaux personnages sont intéressants, il est temps que la série se donne un petit coup d'accélérateur et dévoile davantage la progression de nos futurs agents plutôt que de faire du surplace à coup de sous-intrigues graveleuses et flash-backs classiques.
Nous ne serons donc pas surpris de ces premiers chapitres qui ont quand même le mérite d'offrir un dessin généreux qui ravira les amateurs de fan service parmi nous mais surtout de développer certains personnages tels que le charismatique Sans-Nom qui refuse de donner son nom à notre héros Eight qui est bien déterminé à lui faire cracher le morceau. En restant dans la simplicité, Shun Matsuena donne un coup de projecteur sur ce personnage intéressant qui a été élevé en laboratoire. On lui est également gréé de ne pas enfoncer le clou du personnage ténébreux et tourmenté. Sans-nom est un être talentueux qui cache justement ses faiblesses derrière une personnalité tout en retenu sauf qu'Eight est évidemment là pour lui faire tomber un peu le masque. En contraste avec cette fausse froideur, ce cinquième volume présente aussi un autre protagoniste plutôt déjanté en la personne du fantôme de l'école, un agent secret brisé et isolé qui a travaillé avec le père de notre héros. L'occasion d'en savoir plus sur la figure du paternel tout en assistant à quelques bonnes sessions de combats entre mitrailleuse et tie-blade... Le quotidien d'Eight est toujours animé même si on peut regretter l'absence d'une mission un peu sérieux histoire de donner un peu plus de force à une intrigue qui continue à progresser tout doucement.
Ainsi ce volume 5 reste , selon moi, un volume d'exposition qui ne fait pas avancer l'intrigue générale si ce n'est pour présenter quelques nouveaux personnages. Il n'y a pas de réels sentiments de progression dans cette intrigue qui aurait pu être comparable à un My Hero Academia mais version James Bond. La progression des personnages pour devenir des espions manque d'un peu d'entrain, le mangaka préférant pour l'heure nous présenter de nouvelles têtes tout en proposant du fan service déjanté même si ce n'est qu'une partie du manga.
Il est dommage de faire une rupture avec l'organisation Dogramagra apparue dans le précédent tome qui apparaissait comme un intéressant antagoniste même si leur nom finit par ressurgir.
En espérant que le volume 6 redonne un peu d'envol à ce titre... volume qui sera d'ailleurs centré sur la belle et fatale Kido.
Bien qu'il reste porté par un dessin toujours aussi vivace, ce tome confirme aussi que Shun Matsuena reste pour l'heure dans des volumes de présentations ce qui se révèle un peu frustrant suite à la première mission accompli par la team. Même si les nouveaux personnages sont intéressants, il est temps que la série se donne un petit coup d'accélérateur et dévoile davantage la progression de nos futurs agents plutôt que de faire du surplace à coup de sous-intrigues graveleuses et flash-backs classiques.
Celles et ceux qui aiment le manga de baston ont plutôt bien apprécié Kenichi- Le Disciple Ultime de Shun Matsuena, son précédent titre publié en 61 volumes (avec quelques confusions tout de même pour l'édition française chez Kurokawa...) Je ne suis pas du tout familier avec l'œuvre de Matsuena bien que j'ai lu grand bien de Kenichi, c'est donc avec un regard innocent et vierge de tout préjugés que je démarre la nouvelle série de ce mangaka (qui compte déjà 13 volumes au Japon) et qui répond au doux titre parodique de 008 : apprenti espion.
A l'instar de Mission: Yozakura Family chez Kana ou de l'excellentissime Spy Family chez Kurokawa , 008 : Apprenti espion promet un titre fun, décalé, tout en action placé dans le monde mystérieux des espions et autre agents secrets.. Décidément, le thème de l'espionnage semble avoir le vent en poupe cette année. Dans tout les cas, ce 008 ne devrait pas prendre au dépourvu le lectorat de Kenichi si j'en crois les quelques critiques de ce dernier titre.
Au menu, c'est simple et réconfortant : un shonen mené par Eight Akashi un héros un petit peu looser mais fort sympathique, des situations périlleuses, un humour très présent qui n'occulte pas quelques moments de tensions et surtout une belle point de sexytittude représentée ici par une sculpturale lycéenne du nom de Kido. Une belle touche de fan service glissée jusqu'au revers de la jaquette ( je vous laisserai vérifier ). Ce côté sexy évoque d'ailleurs Kenichi dont les protagonistes féminines étaient dessinées de manière très généreuses. Je m'attendais, il faut bien l'avouer, à pas mal de gags graveleux dans ce premier volume mais au final , j'ai été agréablement surpris par une série qui n'oublie pas de nous raconter une histoire et de nous plonger immédiatement dans un shonen périlleux et plus tendue qu'il n'en a l'air...
Alors qu'il n'a été admis dans aucun lycée, le jeune Eight Akechi, désemparé, découvre avec bonheur que sa candidature a été retenu pour un établissement inattendu pour lequel il n'avait pas postulé... Un établissement dans lequel des élèves doivent traverser un champ de mines, se battre avec des cravates-épées ou encore déjouer les pièges imposés par leurs redoutables professeurs, un établissement dans lequel on ne forme ni plus ni moins que les agents secrets de demain. Un peu chétif, sans compétences particulières mais doté du fameux sens de la justice dont font preuve tout les héros shonen, Eight Akechi pourra compter sur l'aide de la belle et impassible , Kido, une lycéenne qui semble déjà aguerrie au boulot d'agent secret.
Avec l'aisance du mangaka qui sait parfaitement nous conter son histoire, Shun Matsuena nous entraine dans ce lycée redoutable qui réserve son lot de surprises : une rentrée fracassante dans un champs de mine, une classe piégée, l'apparition d'un imposteur... Tout s'enchaine dans une mécanique créative frénétique comme si chaque jour passée dans ce lycée dissimulait une épreuve pour les futurs agents secrets. On ne s'ennuie pas avec 008 et il faut souligner l'imaginaire entourant cet univers d'espionnage assez sympa avec notamment l'utilisation de la Tie-blade, plutôt original et classe. Ce n'est qu'un premier volume mais on devine que Shun Matsuena va nous réserver un long fleuve de surprises.
Côté dessin, le style de Matsuena se manifeste par un chara-design assez généreux, du shonen énergique avec une bonne touche de sexy. Fort de son expérience longue durée sur Kenichi, Matsuena souligne un titre qui laisse la part belle à l'action tout en assurant côté personnages. Notre héros, bien qu'il incarne l'archétype du shonen, s'avère plutôt intéressant par son tempérament instinctif et par son objectif beaucoup plus personnel. De même, plutôt que de n'être uniquement qu'un personnage de fan-service, Ayame Kido est une héroïne charismatique dont le magnétisme éclipse facilement notre héros. Un personnage qui respire la classe et la détermination...
En somme, ce premier volume de 008 : Apprenti Espion promet, d'une certaine manière, le penchant complètement shonen du manga porté sur l'espionnage. Moins raffiné que Spy x Family, autre titre de manga d'espionnage chez Kurokawa également, 008 : Apprenti espion se démarque un peu par son énergie, sa touche sexy et son univers d'espionnage déjanté, drôle et tendue. On espère tout de même que le mangaka ne va pas trop succomber au fan service facile au détriment de son histoire mais Matsuena a tout de même fait ses preuves sur Kenichi donc on a le droit de se montrer optimiste.
A l'instar de Mission: Yozakura Family chez Kana ou de l'excellentissime Spy Family chez Kurokawa , 008 : Apprenti espion promet un titre fun, décalé, tout en action placé dans le monde mystérieux des espions et autre agents secrets.. Décidément, le thème de l'espionnage semble avoir le vent en poupe cette année. Dans tout les cas, ce 008 ne devrait pas prendre au dépourvu le lectorat de Kenichi si j'en crois les quelques critiques de ce dernier titre.
Au menu, c'est simple et réconfortant : un shonen mené par Eight Akashi un héros un petit peu looser mais fort sympathique, des situations périlleuses, un humour très présent qui n'occulte pas quelques moments de tensions et surtout une belle point de sexytittude représentée ici par une sculpturale lycéenne du nom de Kido. Une belle touche de fan service glissée jusqu'au revers de la jaquette ( je vous laisserai vérifier ). Ce côté sexy évoque d'ailleurs Kenichi dont les protagonistes féminines étaient dessinées de manière très généreuses. Je m'attendais, il faut bien l'avouer, à pas mal de gags graveleux dans ce premier volume mais au final , j'ai été agréablement surpris par une série qui n'oublie pas de nous raconter une histoire et de nous plonger immédiatement dans un shonen périlleux et plus tendue qu'il n'en a l'air...
Alors qu'il n'a été admis dans aucun lycée, le jeune Eight Akechi, désemparé, découvre avec bonheur que sa candidature a été retenu pour un établissement inattendu pour lequel il n'avait pas postulé... Un établissement dans lequel des élèves doivent traverser un champ de mines, se battre avec des cravates-épées ou encore déjouer les pièges imposés par leurs redoutables professeurs, un établissement dans lequel on ne forme ni plus ni moins que les agents secrets de demain. Un peu chétif, sans compétences particulières mais doté du fameux sens de la justice dont font preuve tout les héros shonen, Eight Akechi pourra compter sur l'aide de la belle et impassible , Kido, une lycéenne qui semble déjà aguerrie au boulot d'agent secret.
Avec l'aisance du mangaka qui sait parfaitement nous conter son histoire, Shun Matsuena nous entraine dans ce lycée redoutable qui réserve son lot de surprises : une rentrée fracassante dans un champs de mine, une classe piégée, l'apparition d'un imposteur... Tout s'enchaine dans une mécanique créative frénétique comme si chaque jour passée dans ce lycée dissimulait une épreuve pour les futurs agents secrets. On ne s'ennuie pas avec 008 et il faut souligner l'imaginaire entourant cet univers d'espionnage assez sympa avec notamment l'utilisation de la Tie-blade, plutôt original et classe. Ce n'est qu'un premier volume mais on devine que Shun Matsuena va nous réserver un long fleuve de surprises.
Côté dessin, le style de Matsuena se manifeste par un chara-design assez généreux, du shonen énergique avec une bonne touche de sexy. Fort de son expérience longue durée sur Kenichi, Matsuena souligne un titre qui laisse la part belle à l'action tout en assurant côté personnages. Notre héros, bien qu'il incarne l'archétype du shonen, s'avère plutôt intéressant par son tempérament instinctif et par son objectif beaucoup plus personnel. De même, plutôt que de n'être uniquement qu'un personnage de fan-service, Ayame Kido est une héroïne charismatique dont le magnétisme éclipse facilement notre héros. Un personnage qui respire la classe et la détermination...
En somme, ce premier volume de 008 : Apprenti Espion promet, d'une certaine manière, le penchant complètement shonen du manga porté sur l'espionnage. Moins raffiné que Spy x Family, autre titre de manga d'espionnage chez Kurokawa également, 008 : Apprenti espion se démarque un peu par son énergie, sa touche sexy et son univers d'espionnage déjanté, drôle et tendue. On espère tout de même que le mangaka ne va pas trop succomber au fan service facile au détriment de son histoire mais Matsuena a tout de même fait ses preuves sur Kenichi donc on a le droit de se montrer optimiste.
Connu en France pour sa série "Ken-ichi", Shun Matsuena est enfin de retour avec sa toute nouvelle série "008 Apprenti espion". Dès la première page, on reconnait le style si caractéristique du mangaka avec des héros loosers qui ont des fulgurances charismatiques et des demoiselles plantureuses qui ont du caractère à revendre.
Eight est un adolescent lambda comme tant d'autres, sauf peut-être pour sa soif de justice, qui se retrouve malheureusement sans admission au lycée, sauf dans un établissement très étrange, luxueux... qui dès le jour d'entrée fait traversé un champs de mine à ses élèves. Le destin (ou pas) lui a fait intégré un centre de formation de futurs agents secrets. Malgré sa simplicité et son manque de dons visibles pour ce genre de métier, il va très vite trouvé ses marques.
Ayame Kido est tout l'opposé d'Eight, charismatique, douée pour le combat et froide, elle a déjà participé à des missions sur le terrain, gagnant le respect de tous les élèves. Accompagnée d'une chouette adorable qui semble apprécié Eight, en plus d'être la touche sexy de la série, son passé mystérieux et sa volonté à tuer dans l'œuf ses émotions, la rendent très intrigante.
Ce premier tome est avant tout une introduction, on découvre un monde secret et violent, où l'égoïsme, la solitude et la rivalité semble être de mise. On se demande comment Eight va bien pouvoir s'en sortir avec sa bonhomie naturelle, mais mon petit doigt me dit que ses dons vont finir par se révéler aux yeux de tous en subjuguant sa belle camarade de classe en chemin.
Eight est un adolescent lambda comme tant d'autres, sauf peut-être pour sa soif de justice, qui se retrouve malheureusement sans admission au lycée, sauf dans un établissement très étrange, luxueux... qui dès le jour d'entrée fait traversé un champs de mine à ses élèves. Le destin (ou pas) lui a fait intégré un centre de formation de futurs agents secrets. Malgré sa simplicité et son manque de dons visibles pour ce genre de métier, il va très vite trouvé ses marques.
Ayame Kido est tout l'opposé d'Eight, charismatique, douée pour le combat et froide, elle a déjà participé à des missions sur le terrain, gagnant le respect de tous les élèves. Accompagnée d'une chouette adorable qui semble apprécié Eight, en plus d'être la touche sexy de la série, son passé mystérieux et sa volonté à tuer dans l'œuf ses émotions, la rendent très intrigante.
Ce premier tome est avant tout une introduction, on découvre un monde secret et violent, où l'égoïsme, la solitude et la rivalité semble être de mise. On se demande comment Eight va bien pouvoir s'en sortir avec sa bonhomie naturelle, mais mon petit doigt me dit que ses dons vont finir par se révéler aux yeux de tous en subjuguant sa belle camarade de classe en chemin.
Fans d'agents secrets, d'espions et de school manga ?!
Ce titre est fait pour vous !!!
On va suivre la rentrée scolaire mouvementée de Eigth, un jeune lycéen qui va intégrer sans le savoir un lycée de formation aux techniques d'espionnage ! C'était le seul lycée qui voulait bien de lui, mais après une première journée explosive pas sûr qu'il ait envie d'y rester...
Un manga prometteur avec un seul bémol le côté super sexualisé de l'héroïne (vous pouvez le constater en couverture), ceci mis de côté j'ai été embarquée dans cette école où les personnages ne vont jamais avoir le temps de s'ennuyer !!!
Plus d'info sur le titre dans ma vidéo What's New de mai (lui aussi je l'ai présenté) !!!
Lien : https://www.youtube.com/watc..
Ce titre est fait pour vous !!!
On va suivre la rentrée scolaire mouvementée de Eigth, un jeune lycéen qui va intégrer sans le savoir un lycée de formation aux techniques d'espionnage ! C'était le seul lycée qui voulait bien de lui, mais après une première journée explosive pas sûr qu'il ait envie d'y rester...
Un manga prometteur avec un seul bémol le côté super sexualisé de l'héroïne (vous pouvez le constater en couverture), ceci mis de côté j'ai été embarquée dans cette école où les personnages ne vont jamais avoir le temps de s'ennuyer !!!
Plus d'info sur le titre dans ma vidéo What's New de mai (lui aussi je l'ai présenté) !!!
Lien : https://www.youtube.com/watc..
Le premier tome de cet amusant manga nous a présenté Eight Akashi (notre apprenti espion 008) refusé par tous les lycées après avoir échoué au concours d'entrée. Désespéré, il se voyait toutefois admis dans une école spéciale visant à former l'élite des services secrets. Le pauvre a subi une série d'épreuves pas piquées des hannetons qui occupaient quasiment les deux cents pages du tome 1. La fin du premier volume accordait à Akashi et ses amis le plaisir de partager un repas revigorant dans le réfectoire de l'école. Après ce court moment de calme les lycéens, drogués, se réveillaient au milieu de l'océan. Ce deuxième tome enchaine sur cette situation problématique et entre immédiatement dans le vif du sujet. Nos gamins échouent sur une île où ils vont devoir faire leurs preuves pour survivre.
008 APPRENTI ESPION poursuit dans la veine du premier opus, sur un ton assez décalé, parfois réaliste et violent, parfois complètement délirant comme en témoigne ce curieux prof à tête de lapin. Incongru mais fun. Inutile donc de chercher une intrigue réellement cohérente, le manga part dans tous les sens et assume ses références (James Bond bien sûr mais ici également BATTLE ROYALE). L'ambition de l'auteur est surtout d'amuser le lecteur et il y parvient assez joyeusement bien qu'il recourt à de grosses ficelles. Le récit, un poil prévisible, aligne les cours, souvent dangereux, que subissent nos apprentis espions, ce qui permet à l'auteur de développer les personnages et de nous les rendre sympathiques. Bien sûr ils restent assez clichés (le ninja porté sur l'honneur, le héros neuneu, l'espionne méga bonne, les profs tous frappés du bocal) mais sans que ce soit préjudiciable à cette histoire trépidante. La recette, sans réelle surprise, fonctionne pourtant plaisamment en mêlant des ingrédients ayant démontrés leur efficacité : de l'action, des héros attachants, des notes d'humour grasses, du délire plus ou moins contrôlé et des gadgets rigolos. Afin de contenter les fans, l'auteur y ajoute une bonne rasade d'érotisme, certes gentillet mais agréable, avec notamment une prof chaudasse experte dans la manipulation mentale des élèves en rut. Les plans culottes et nichons (plus ou moins dévoilés) abondent eux-aussi mais dans une ambiance légère et détendue. Bref, mignonne.
Finalement, ce second tome confirme la bonne humeur et le côté divertissant d'une série sans prétention mais agréable à suivre. La référence à James Bond, certes plaquée, reste acceptable tant le manga passe à la moulinette les fondamentaux de 007 (période pré-années 2000) avec un mélange pétillant de blagues lourdes, de sous-entendus osés, de pauses sexy, de gadgets improbables et d'action décomplexée. N'en attendons pas un classique ou un incontournable et sachons simplement apprécier ce mange pour ce qu'il est, à savoir un divertissement appréciable en ces temps moroses. On poursuivra donc avec le troisième tome en espérant, néanmoins, qu'une véritable intrigue se mette en place.
Lien : http://hellrick.over-blog.co..
008 APPRENTI ESPION poursuit dans la veine du premier opus, sur un ton assez décalé, parfois réaliste et violent, parfois complètement délirant comme en témoigne ce curieux prof à tête de lapin. Incongru mais fun. Inutile donc de chercher une intrigue réellement cohérente, le manga part dans tous les sens et assume ses références (James Bond bien sûr mais ici également BATTLE ROYALE). L'ambition de l'auteur est surtout d'amuser le lecteur et il y parvient assez joyeusement bien qu'il recourt à de grosses ficelles. Le récit, un poil prévisible, aligne les cours, souvent dangereux, que subissent nos apprentis espions, ce qui permet à l'auteur de développer les personnages et de nous les rendre sympathiques. Bien sûr ils restent assez clichés (le ninja porté sur l'honneur, le héros neuneu, l'espionne méga bonne, les profs tous frappés du bocal) mais sans que ce soit préjudiciable à cette histoire trépidante. La recette, sans réelle surprise, fonctionne pourtant plaisamment en mêlant des ingrédients ayant démontrés leur efficacité : de l'action, des héros attachants, des notes d'humour grasses, du délire plus ou moins contrôlé et des gadgets rigolos. Afin de contenter les fans, l'auteur y ajoute une bonne rasade d'érotisme, certes gentillet mais agréable, avec notamment une prof chaudasse experte dans la manipulation mentale des élèves en rut. Les plans culottes et nichons (plus ou moins dévoilés) abondent eux-aussi mais dans une ambiance légère et détendue. Bref, mignonne.
Finalement, ce second tome confirme la bonne humeur et le côté divertissant d'une série sans prétention mais agréable à suivre. La référence à James Bond, certes plaquée, reste acceptable tant le manga passe à la moulinette les fondamentaux de 007 (période pré-années 2000) avec un mélange pétillant de blagues lourdes, de sous-entendus osés, de pauses sexy, de gadgets improbables et d'action décomplexée. N'en attendons pas un classique ou un incontournable et sachons simplement apprécier ce mange pour ce qu'il est, à savoir un divertissement appréciable en ces temps moroses. On poursuivra donc avec le troisième tome en espérant, néanmoins, qu'une véritable intrigue se mette en place.
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Eight et ses amis se voient confier dans ce tome une nouvelle mission : celle d'infiltrer un lycée en proie à des moments de crises redoutables mettant en péril la santé des élèves. L'occasion pour les futurs espions de se mettre dans la peau de lycéens normaux et l'occasion pour le mangaka Shun Matsuena de dessiner la généreuse Ayame Kido en petite tenue sportive;
Qu'apporte ce tome ? Malheureusement pas grand chose même si en terme d'action, 008 Apprenti Espion demeure tout juste sympathique, force est de reconnaître que le scénario ne propose aucune avancée et se noie dans un déluge de fan-service qui, certes, est la marque de fabrique du mangaka mais commence malgré tout à être sacrément gonflant en plus d'être gonflé. Surtout quand dessin sculpturale des personnages féminins commence à empiéter sur le peu d'intrigue décisive que possède cette série.
En effet, difficile de prendre ce shonen au sérieux face à une antagoniste revêtue d'une combinaison SM ultra-moulante qui semble être la marque de fabrique de l'organisation Dogramagra. Une antagoniste aussi vide que cet épisode d'infiltration dans un lycée qui s'achève en deux-trois chapitres et qui se contente d'aligner les plans sexy sur une Ayame Kido bien décidée à dévoiler tout son talent sportif.
Ayame Kido finit par devenir un personnage sous-exploité dans ce volume. Alors qu'au début de la série, la lycéenne s'illustrait par un certain charisme qui allait de pair avec son caractère froid et ses compétences martiales, la voilà reléguée à un pur rôle de bimbo dont chaque apparition tend à exacerber ses formes. Le passage, ultra-navrant , du sous-sol de l'école durant lequel elle vient en aide à Eight en est un exemple. Dans ce tome, nous découvrons un peu plus le passé de cette fille d'abord destinée à devenir une tueuse professionnelle avant d'avoir été recruté par l'agence. Un flash-back intéressant mais qui est vite éclipsé par les gags purement fan-servicieux entourant ce personnage. De la lourdeur qui prive 008 Apprenti Espion d'une véritable histoire.
Le mangaka Shun Matsuena semble incapable de donner vie à ses personnages féminins autrement que par leur plastique provoquant de nombreux gags débiles. De ce fait, ce tome est un tome de la régression éclipsant le peu d'enjeu de cette série au profit d'une vague de plans hautement suggestifs.
Les autres personnages ne sont pas plus intéressant que ce soit Eight le héros qui, malgré la révélation sur la mort de son père, ne gagne pas plus en profondeur ou l'insupportable Nohara, le geek-bizu de service qui demeure lui aussi une unique source de gags.
Les dernières pages de ce tome annoncent un inévitable examen entre nos futurs espions. Evènement incontournable de tout shonen, on espère que cet examen remettra un peu plus en valeur les quelques personnages secondaires apparus dans ce manga comme Sans-nom ce qui éclipsera un peu le trio dépourvu de promesse que représente Eight, Nohara et surtout la gonflée Ayame.
Un tome régressif qui démontre que Shun Matsuena préfère multiplier les tenues moulantes et exacerber les gros plans sur ses personnages féminins plutôt que de donner un semblant d'intrigue et donc de l'intérêt à ce shonen. Reste un dessin dynamique et un peu d'action qui pousse à lire la suite.
Qu'apporte ce tome ? Malheureusement pas grand chose même si en terme d'action, 008 Apprenti Espion demeure tout juste sympathique, force est de reconnaître que le scénario ne propose aucune avancée et se noie dans un déluge de fan-service qui, certes, est la marque de fabrique du mangaka mais commence malgré tout à être sacrément gonflant en plus d'être gonflé. Surtout quand dessin sculpturale des personnages féminins commence à empiéter sur le peu d'intrigue décisive que possède cette série.
En effet, difficile de prendre ce shonen au sérieux face à une antagoniste revêtue d'une combinaison SM ultra-moulante qui semble être la marque de fabrique de l'organisation Dogramagra. Une antagoniste aussi vide que cet épisode d'infiltration dans un lycée qui s'achève en deux-trois chapitres et qui se contente d'aligner les plans sexy sur une Ayame Kido bien décidée à dévoiler tout son talent sportif.
Ayame Kido finit par devenir un personnage sous-exploité dans ce volume. Alors qu'au début de la série, la lycéenne s'illustrait par un certain charisme qui allait de pair avec son caractère froid et ses compétences martiales, la voilà reléguée à un pur rôle de bimbo dont chaque apparition tend à exacerber ses formes. Le passage, ultra-navrant , du sous-sol de l'école durant lequel elle vient en aide à Eight en est un exemple. Dans ce tome, nous découvrons un peu plus le passé de cette fille d'abord destinée à devenir une tueuse professionnelle avant d'avoir été recruté par l'agence. Un flash-back intéressant mais qui est vite éclipsé par les gags purement fan-servicieux entourant ce personnage. De la lourdeur qui prive 008 Apprenti Espion d'une véritable histoire.
Le mangaka Shun Matsuena semble incapable de donner vie à ses personnages féminins autrement que par leur plastique provoquant de nombreux gags débiles. De ce fait, ce tome est un tome de la régression éclipsant le peu d'enjeu de cette série au profit d'une vague de plans hautement suggestifs.
Les autres personnages ne sont pas plus intéressant que ce soit Eight le héros qui, malgré la révélation sur la mort de son père, ne gagne pas plus en profondeur ou l'insupportable Nohara, le geek-bizu de service qui demeure lui aussi une unique source de gags.
Les dernières pages de ce tome annoncent un inévitable examen entre nos futurs espions. Evènement incontournable de tout shonen, on espère que cet examen remettra un peu plus en valeur les quelques personnages secondaires apparus dans ce manga comme Sans-nom ce qui éclipsera un peu le trio dépourvu de promesse que représente Eight, Nohara et surtout la gonflée Ayame.
Un tome régressif qui démontre que Shun Matsuena préfère multiplier les tenues moulantes et exacerber les gros plans sur ses personnages féminins plutôt que de donner un semblant d'intrigue et donc de l'intérêt à ce shonen. Reste un dessin dynamique et un peu d'action qui pousse à lire la suite.
La nouvelle série de Shun Matsuena (Ken-ichi) continue à exposer son intrigue à travers de nouveaux cours spécialement réservés aux agents secrets de demain. Nous restons clairement dans un volume d'exposition qui vise à étoffer le background de 008 : Apprenti Espion en introduisant quelques nouveaux enseignants. Tout d'abord, nous avons Lady, la professeure de manipulation "psychologique"...
Autant, commencer par un gros morceau, je ne voulais pas reparler du fanservice de cette série mais il est difficile de faire l'impasse devant cette prof qui est une véritable chaudière et dont le contenu du cours se résume essentiellement à se dandiner et à exposer toute sa générosité face au mâle en rut... Ca, c'est de la manipulation psychologique de premier ordre made in japan fan service ! C'est un personnage qui m'a passablement gonflé et qui donne lieu à des scènes humoristiques sans aucune subtilité témoignant de l'humour bien gras de Shun Matsuena qui prouve cependant son aisance à dessiner du sexy jusqu'à la pointe tout en donnant sa vision personnelle d'une manipulation "psychologique" ... On parlera plutôt de manipulation hormonale.
A cette enseignante généreuse mais peu étoffée, j'ai préféré quelques personnages plus intéressants comme Mother ou Okita... Ce dernier est plutôt sympa car c'est un analyste, donc un agent secret replié dans le QG mais qui est aussi un redoutable expert du combat. Le mangaka brise un peu la vision de l'analyste qui, même si il n'est pas sur le terrain, peut aussi être un agent de premier plan.
Ce volume offre pas mal d'actions avec une bonne séquence de combat à la tie-blade qui permet d'aiguiser la colère de notre gentil héros ou encore l'entrainement aux côtés de l'impitoyable agent 004 ce qui donne lieu à la découverte de nouveaux gadgets. Le mangaka étoffe progressivement cet imaginaire qui s'annonce des plus prometteurs. Chaque volume permet de nouvelles découvertes mais surtout ce troisième opus annonce enfin l'ombre d'un enjeu avec un attentat à la bombe et la première apparition d'un ennemi.
Nul doute que le volume 4 entraînera nos apprentis espions vers une confrontation mémorable face au premier antagoniste du titre.
Ce volume 3 continue d'explorer l'imaginaire de cet univers d'espionnage avec l'apparition de nouveaux enseignants plus ou moins intéressants (Lady... une simple caricature) , de nouveaux gadgets et surtout une première apparition explosive de l'ennemi.
Dans l'ensemble, un volume assez sympathique et bien rythmé qui promet une bonne première mission de terrain avec de potentiels enjeux à haut-risques.
Autant, commencer par un gros morceau, je ne voulais pas reparler du fanservice de cette série mais il est difficile de faire l'impasse devant cette prof qui est une véritable chaudière et dont le contenu du cours se résume essentiellement à se dandiner et à exposer toute sa générosité face au mâle en rut... Ca, c'est de la manipulation psychologique de premier ordre made in japan fan service ! C'est un personnage qui m'a passablement gonflé et qui donne lieu à des scènes humoristiques sans aucune subtilité témoignant de l'humour bien gras de Shun Matsuena qui prouve cependant son aisance à dessiner du sexy jusqu'à la pointe tout en donnant sa vision personnelle d'une manipulation "psychologique" ... On parlera plutôt de manipulation hormonale.
A cette enseignante généreuse mais peu étoffée, j'ai préféré quelques personnages plus intéressants comme Mother ou Okita... Ce dernier est plutôt sympa car c'est un analyste, donc un agent secret replié dans le QG mais qui est aussi un redoutable expert du combat. Le mangaka brise un peu la vision de l'analyste qui, même si il n'est pas sur le terrain, peut aussi être un agent de premier plan.
Ce volume offre pas mal d'actions avec une bonne séquence de combat à la tie-blade qui permet d'aiguiser la colère de notre gentil héros ou encore l'entrainement aux côtés de l'impitoyable agent 004 ce qui donne lieu à la découverte de nouveaux gadgets. Le mangaka étoffe progressivement cet imaginaire qui s'annonce des plus prometteurs. Chaque volume permet de nouvelles découvertes mais surtout ce troisième opus annonce enfin l'ombre d'un enjeu avec un attentat à la bombe et la première apparition d'un ennemi.
Nul doute que le volume 4 entraînera nos apprentis espions vers une confrontation mémorable face au premier antagoniste du titre.
Ce volume 3 continue d'explorer l'imaginaire de cet univers d'espionnage avec l'apparition de nouveaux enseignants plus ou moins intéressants (Lady... une simple caricature) , de nouveaux gadgets et surtout une première apparition explosive de l'ennemi.
Dans l'ensemble, un volume assez sympathique et bien rythmé qui promet une bonne première mission de terrain avec de potentiels enjeux à haut-risques.
008 Apprenti Espion continue sa voie avec la fameuse épreuve visant à séparer le bon grain de l'ivraie parmi les futurs talents. Le cheminement n'est pas des plus surprenants, il faut bien l'avouer, avec le cadre de l'île déserte sur laquelle échoue nos 007 en herbe.
Cela, dans la droite lignée du premier tome, ce volume ne nous ennuie pas une seconde et permet de connaître les motivations de certains entre l'intello harcelé mais redoutable intellect et le ninja, dernier représentant d'un clan honorable. Les origines se dévoilent des élèves jusqu'aux professeurs qu'on découvre un peu plus dans ce second tome avec notamment le curieux Mr Lapin... 008 apprenti espion , c'est un peu le My hero academia de l'espionnage. La formation des agents secrets est toujours trépidante avec des épreuves sympathiques comme celle de l'île déserte ou des cours évalués telles que le combat avec les objets du quotidien. Le mangaka Shun Matsuena ne perd pas de temps et enchaîne vite les péripéties pour mieux nous faire découvrir certains personnages. On garde cette frénésie au niveau de l'action et cette efficacité narrative. L'auteur nous familiarise avec ses personnages. Côté intrigue, il serait peut-être judicieux d'intégrer une réelle menace dès le troisième opus, de présenter un peu plus d'enjeux ( ce qui sera sans doute le cas) mais l'idée de voir continuellement des jeunes espions assister à des cours dangereux et subir des épreuves de sélection aura quelque chose de lassant tel un shonen nekketsu qui rame un peu...
Dans tout les cas, le mangaka garde son efficacité avec ce second tome. Si vous aimez le début de 008 apprenti espion, vous ne serez pas déçus par les épreuves qui attendent notre héros.
Nous n'y reviendrons pas à chaque tome mais le fan service est toujours très présent. Il n'y a pas que ça mais le mangaka multiplie les poses et courbes généreuses et sexy de notre héroïne de manière encore plus présente dans ce volet. Mention spéciale à la scène où notre héros manque de se noyer... On ne va pas se mentir, qu'on apprécie ou qu'on trouve cela lourdingue, le côté fan service est très présent et cela risque de s'accentuer avec la présence d'une professeure rompue à la manipulation "psychologique".
En bref, un second tome toujours aussi bien rythmé avec la découverte des personnages et de leurs motivations. Les professeurs font également leur apparition et promettent, chacun à leurs manières, des épreuves stylés pour nos héros. . L'univers des futur agents secrets promet donc s'agrandir dans le prochain volet même si l'action surenchainée et le sex-appeal de Kido éclipsent un peu la surprise.
Cela, dans la droite lignée du premier tome, ce volume ne nous ennuie pas une seconde et permet de connaître les motivations de certains entre l'intello harcelé mais redoutable intellect et le ninja, dernier représentant d'un clan honorable. Les origines se dévoilent des élèves jusqu'aux professeurs qu'on découvre un peu plus dans ce second tome avec notamment le curieux Mr Lapin... 008 apprenti espion , c'est un peu le My hero academia de l'espionnage. La formation des agents secrets est toujours trépidante avec des épreuves sympathiques comme celle de l'île déserte ou des cours évalués telles que le combat avec les objets du quotidien. Le mangaka Shun Matsuena ne perd pas de temps et enchaîne vite les péripéties pour mieux nous faire découvrir certains personnages. On garde cette frénésie au niveau de l'action et cette efficacité narrative. L'auteur nous familiarise avec ses personnages. Côté intrigue, il serait peut-être judicieux d'intégrer une réelle menace dès le troisième opus, de présenter un peu plus d'enjeux ( ce qui sera sans doute le cas) mais l'idée de voir continuellement des jeunes espions assister à des cours dangereux et subir des épreuves de sélection aura quelque chose de lassant tel un shonen nekketsu qui rame un peu...
Dans tout les cas, le mangaka garde son efficacité avec ce second tome. Si vous aimez le début de 008 apprenti espion, vous ne serez pas déçus par les épreuves qui attendent notre héros.
Nous n'y reviendrons pas à chaque tome mais le fan service est toujours très présent. Il n'y a pas que ça mais le mangaka multiplie les poses et courbes généreuses et sexy de notre héroïne de manière encore plus présente dans ce volet. Mention spéciale à la scène où notre héros manque de se noyer... On ne va pas se mentir, qu'on apprécie ou qu'on trouve cela lourdingue, le côté fan service est très présent et cela risque de s'accentuer avec la présence d'une professeure rompue à la manipulation "psychologique".
En bref, un second tome toujours aussi bien rythmé avec la découverte des personnages et de leurs motivations. Les professeurs font également leur apparition et promettent, chacun à leurs manières, des épreuves stylés pour nos héros. . L'univers des futur agents secrets promet donc s'agrandir dans le prochain volet même si l'action surenchainée et le sex-appeal de Kido éclipsent un peu la surprise.
Voila un manga qui donne l'envie de se dépasser. Un ado un peu chétif qui se fait agresser régulièrement.
Là pas de super pouvoir ou de bonne marraine la fée.
Juste un ado qui se prend en main et qui grâce à des professeurs complétement tyrannique et déluré va apprendre progressivement à se débrouiller seul.
Ici ce serait l’apologie de la débrouaillardise un 4 mots:
"Prenez vous en main"
A lire avec plaisir même si comme moi vous n'êtes un mordu de combat
Là pas de super pouvoir ou de bonne marraine la fée.
Juste un ado qui se prend en main et qui grâce à des professeurs complétement tyrannique et déluré va apprendre progressivement à se débrouiller seul.
Ici ce serait l’apologie de la débrouaillardise un 4 mots:
"Prenez vous en main"
A lire avec plaisir même si comme moi vous n'êtes un mordu de combat
Ce vingt-cinquième tome fait donc encore une fois la part belle au combat mais sait ménager son récit en continuant d’y apporter une bonne touche d’humour grâce à quelques situations bien pensées et mise en scène.
Lien : http://www.mangagate.com/man..
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Encore un petit tome où nos héros vont bien s'entraîner pour devenir de vrais apprentis espions !!!
Pour Kido, aucun problème en vue pour tous les domaines excepté celui de la séduction où elle est la plus mauvaise pour user de ses charmes (c'est pas faute d'être dotée d'énormes atouts...)
Nohara quant à lui est plus là pour mater qu'autre chose... C'est clairement le petit pervers de la bande et clairement aussi un des plus nuls pour les activités physiques.
En ce qui concerne Eight, il s'agit d'un vrai débutant qui n'y connaît rien au milieu et en plus de ça il est clairement trop gentil pour être efficace. Ce n'est pourtant pas faute de s'entraîner durement chaque jour après les cours.
L'équipe va devoir s'entraîner et trouver un rythme pour bien travailler ensemble... Enfin ça c'est s'ils avaient le temps... Mais à la fin du tome plutôt que de s'entraîner ils vont déjà partir sur une vraie mission en compagnie d'un professeur qui préférerait clairement qu'Eight décide d'arrêter les cours....
Encore une fois ce tome est un mix de gadgets d'espionnage, d'entraînements et de fan service !
Je suis contente que le groupe parte en mission parce que ça sous-entend qu'on va avoir une petite intrigue et je suis curieuse de la découvrir !!!
Ça ne fera pas de mal à l'histoire qui a parfois tendance à trop partir sur le scabreux plutôt qu'à nous montrer des vrais espions en herbe !
Lien : https://www.instagram.com/my..
Pour Kido, aucun problème en vue pour tous les domaines excepté celui de la séduction où elle est la plus mauvaise pour user de ses charmes (c'est pas faute d'être dotée d'énormes atouts...)
Nohara quant à lui est plus là pour mater qu'autre chose... C'est clairement le petit pervers de la bande et clairement aussi un des plus nuls pour les activités physiques.
En ce qui concerne Eight, il s'agit d'un vrai débutant qui n'y connaît rien au milieu et en plus de ça il est clairement trop gentil pour être efficace. Ce n'est pourtant pas faute de s'entraîner durement chaque jour après les cours.
L'équipe va devoir s'entraîner et trouver un rythme pour bien travailler ensemble... Enfin ça c'est s'ils avaient le temps... Mais à la fin du tome plutôt que de s'entraîner ils vont déjà partir sur une vraie mission en compagnie d'un professeur qui préférerait clairement qu'Eight décide d'arrêter les cours....
Encore une fois ce tome est un mix de gadgets d'espionnage, d'entraînements et de fan service !
Je suis contente que le groupe parte en mission parce que ça sous-entend qu'on va avoir une petite intrigue et je suis curieuse de la découvrir !!!
Ça ne fera pas de mal à l'histoire qui a parfois tendance à trop partir sur le scabreux plutôt qu'à nous montrer des vrais espions en herbe !
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Petit rattrapage des tomes qui étaient dans ma PAL (7-8-9) et bien entendu je suis encore en retard sur la publication FR (c’est pas possible ça sort trop vite j’arrive plus du tout à suivre moi 😭).
Dans ces tomes, les élèves du lycée de Nakano vont subir un examen par équipe. Chaque groupe va se voir remettre 3 pièces qu’il va devoir garder jusqu’à la fin tout en essayant de voler celles des adversaires… Eight, Nohara et Ayame sont encore ensemble et ils forment la Team la plus faible sur le papier surtout qu’ils partent avec un handicap : ils ont seulement 2 pièces et Ayame n’a pas le droit de les avoir en sa possession car elle est considérée comme trop forte ! Cet examen est l’occasion de grimper dans le classement mais c’est aussi là qu’une sélection se fait et ceux qui ne sont pas à la hauteur doivent quitter l’école et se font effacer la mémoire. Chaque année, des morts sont à déplorer car peu de règles sont instaurées.
Un nouveau personnage va aussi faire son entrée, Lulus, une jeune fille accompagnée de son chat qui fait partie des terroristes !
La série suit son cours sur le même ton, de la baston, des gadgets, des techniques d’espion et du fan service. Je suis bien moins fan du dernier point qui n’apporte pas grand-chose à l’histoire à part de la lourdeur par moment. C’est un peu dommage parce que le reste de la série est très plaisant, notamment le fait qu’il y ait des nanas super fortes c’est chouette, je comprends pas l’intérêt de les réduire régulièrement à leur physique (mais je suis bien consciente que je suis pas la cible). Je suis curieuse de lire la suite pour voir la réaction d’Eight quand il va découvrir que Lulus est avec l’ennemi !!!
Lien : https://www.instagram.com/my..
Dans ces tomes, les élèves du lycée de Nakano vont subir un examen par équipe. Chaque groupe va se voir remettre 3 pièces qu’il va devoir garder jusqu’à la fin tout en essayant de voler celles des adversaires… Eight, Nohara et Ayame sont encore ensemble et ils forment la Team la plus faible sur le papier surtout qu’ils partent avec un handicap : ils ont seulement 2 pièces et Ayame n’a pas le droit de les avoir en sa possession car elle est considérée comme trop forte ! Cet examen est l’occasion de grimper dans le classement mais c’est aussi là qu’une sélection se fait et ceux qui ne sont pas à la hauteur doivent quitter l’école et se font effacer la mémoire. Chaque année, des morts sont à déplorer car peu de règles sont instaurées.
Un nouveau personnage va aussi faire son entrée, Lulus, une jeune fille accompagnée de son chat qui fait partie des terroristes !
La série suit son cours sur le même ton, de la baston, des gadgets, des techniques d’espion et du fan service. Je suis bien moins fan du dernier point qui n’apporte pas grand-chose à l’histoire à part de la lourdeur par moment. C’est un peu dommage parce que le reste de la série est très plaisant, notamment le fait qu’il y ait des nanas super fortes c’est chouette, je comprends pas l’intérêt de les réduire régulièrement à leur physique (mais je suis bien consciente que je suis pas la cible). Je suis curieuse de lire la suite pour voir la réaction d’Eight quand il va découvrir que Lulus est avec l’ennemi !!!
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L'examen des petites piépèces est enfin terminé pour nos chers apprentis espions, un final des plus difficiles en raison de l'intervention du Dogra Magra qui a poussé le valeureux Eight face à un choix cornélien entre la réussite de l'examen et le sauvetage de l'un de ses compagnons...
Heureusement, tout est bien qui finit bien puisque l'équipe se verra sauver la mise par les autres groupes qui récompenseront le sens de la justice du jeune héros, évitant de justesse le renvoi définitif du lycée.
Mais notre trio n'a pas le temps de se reposer puisque voila que les enseignants décident d'octroyer une licence d'espion provisoire aux élèves méritants, leur permettant de réaliser eux-mêmes des missions en toute autonomie. Et contre toute attente (non...) Eight et ses amis font parties de ces nouveaux licenciés. Les voilà engagés pour une mission risqué dont l'objectif est le sauvetage d'une jeune génie de la science dans un laboratoire d'armes.
Shun Matsuena signe et persiste dans l'irrégularité de son intrigue qui accumule à la fois les grosses ficelles et l'absence d'un réel fil conducteur. Décousu, voilà le terme qui pourrait résumer ce tome 10. Après avoir fait miroiter en deux tomes un examen shonen décisif, voilà que nos apprentis espions qui étaient considérés comme l'équipe la plus faible se voient octroyés sans explications une licence d'agent. Même si c'est "provisoire", ils sont donc lancés dans des premières missions en toute autonomie. L'intrigue enchaine donc avec une mission de sauvetage où l'art du déguisement est mise à l'épreuve. Une discrétion toute relative puisque la mission s'achève avec éclat à coups de tie-blade. Sans transition, ils enchainent avec une mission pour le compte de Lapin, le ridicule enseignant masqué et se retrouvent plongés dans une course-poursuite face à un énième bad guy stylé mais ô combien éphémère.
C'est sans passion aucune que les aventures du jeune 008 défilent devant nos yeux. L'intrigue est toujours aussi échevelée et décousue et continue d'enchainer des arcs inintéressants avec une quasi-absence d'enjeux. Le manga n'est en que plus lisse et frustrant. Nous en sommes au dixième tome, un volume important pour une série de manga quand même , et il est impressionnant de constater à quel point 008 apprenti espion continue à faire du surplace, peu important ses séquences d'actions ( de moins en moins marquantes) et son petit côté sexy et racoleur. La série donne l'impression de n'avoir rien à raconter, à commencer par sa menace latente, le Dogra Magra, une organisation qui est sous-exploitée et qui se contente de venir dire bonjour durant quelques missions. Nous avons l'impression d'avoir affaire à une Team Rocket cosplayé en mode SM dont les apparitions finissent par devenir des plus rébarbatives. On retient à peine son bâillement et même le dessin toujours aussi alerte de Matsuena ne réserve plus de surprises.
Allez, on tente d'y croire encore, le teaser du prochain tome laisse deviner la présence d'un sérieux traitre dans l'académie mais face au traitement aussi lisse de l'antagoniste principal, on ne peut qu'émettre un bref Ok... sans conviction.
On regrettera aussi le traitement toujours aussi abrupte des personnages secondaires. C'était le cas de la jeune et jolie agente des Dogra Magra fan de chat qu'on retrouvera sans doute dans cinq tomes (histoire de faire coucou). C'est aussi le cas dans ce tome 10 qui nous présente une doctorante de 11 ans, une petite polonaise au génie précoce qui ne demeurera qu'un simple souvenir de plus alors qu'il y avait matière à creuser l'impact de ces personnages dans l'intrigue. Ce traitement est d'autant plus faible que nous avons fini par faire le tour de notre trio de tête. Eight Akashi, Kido et Nohara n'ont plus grand chose à raconter alors que leur formation est loin d'être finie. On reporte donc notre attention ( en vain) sur les enseignants et les autres apprentis qui gravitent autour d'eux mais Shun Matsuena n'en fait qu'à sa tête et nous recycle toujours dans chaque tome la bravoure candide d'Eight, la plastique vaillante de Kido et les gags-geeks ambulants de Nohara qui s'improvise ici conducteur d'hélicoptère ... Nous sommes loin de l'esprit d'équipe et de la puissante structure d'un MHA à titre de comparaison qui parvient à mettre en valeurs différents élèves tout en solidifiant une intrigue pleine de tension.
Dans 008 apprenti espion, la cruauté et l'absence de pitié que peut avoir le monde des agents secrets est à peine soulevée. Elle est même brisée par l'idéalisme du jeune héros qui ne propose jamais un peu plus d'obscurité et de réflexion dans cet univers. Mais rappelons que ce n'est pas le but premier de Shun Matsuena qui se contente dans cette série de jouer comme un gamin avec ses personnages tout en se moquant de la dramaturgie de son manga... Son enthousiasme pourrait être contagieux, malheureusement, ce n'est pas le cas et on attend toujours qu'une véritable intrigue finisse par émerger.
Heureusement, tout est bien qui finit bien puisque l'équipe se verra sauver la mise par les autres groupes qui récompenseront le sens de la justice du jeune héros, évitant de justesse le renvoi définitif du lycée.
Mais notre trio n'a pas le temps de se reposer puisque voila que les enseignants décident d'octroyer une licence d'espion provisoire aux élèves méritants, leur permettant de réaliser eux-mêmes des missions en toute autonomie. Et contre toute attente (non...) Eight et ses amis font parties de ces nouveaux licenciés. Les voilà engagés pour une mission risqué dont l'objectif est le sauvetage d'une jeune génie de la science dans un laboratoire d'armes.
Shun Matsuena signe et persiste dans l'irrégularité de son intrigue qui accumule à la fois les grosses ficelles et l'absence d'un réel fil conducteur. Décousu, voilà le terme qui pourrait résumer ce tome 10. Après avoir fait miroiter en deux tomes un examen shonen décisif, voilà que nos apprentis espions qui étaient considérés comme l'équipe la plus faible se voient octroyés sans explications une licence d'agent. Même si c'est "provisoire", ils sont donc lancés dans des premières missions en toute autonomie. L'intrigue enchaine donc avec une mission de sauvetage où l'art du déguisement est mise à l'épreuve. Une discrétion toute relative puisque la mission s'achève avec éclat à coups de tie-blade. Sans transition, ils enchainent avec une mission pour le compte de Lapin, le ridicule enseignant masqué et se retrouvent plongés dans une course-poursuite face à un énième bad guy stylé mais ô combien éphémère.
C'est sans passion aucune que les aventures du jeune 008 défilent devant nos yeux. L'intrigue est toujours aussi échevelée et décousue et continue d'enchainer des arcs inintéressants avec une quasi-absence d'enjeux. Le manga n'est en que plus lisse et frustrant. Nous en sommes au dixième tome, un volume important pour une série de manga quand même , et il est impressionnant de constater à quel point 008 apprenti espion continue à faire du surplace, peu important ses séquences d'actions ( de moins en moins marquantes) et son petit côté sexy et racoleur. La série donne l'impression de n'avoir rien à raconter, à commencer par sa menace latente, le Dogra Magra, une organisation qui est sous-exploitée et qui se contente de venir dire bonjour durant quelques missions. Nous avons l'impression d'avoir affaire à une Team Rocket cosplayé en mode SM dont les apparitions finissent par devenir des plus rébarbatives. On retient à peine son bâillement et même le dessin toujours aussi alerte de Matsuena ne réserve plus de surprises.
Allez, on tente d'y croire encore, le teaser du prochain tome laisse deviner la présence d'un sérieux traitre dans l'académie mais face au traitement aussi lisse de l'antagoniste principal, on ne peut qu'émettre un bref Ok... sans conviction.
On regrettera aussi le traitement toujours aussi abrupte des personnages secondaires. C'était le cas de la jeune et jolie agente des Dogra Magra fan de chat qu'on retrouvera sans doute dans cinq tomes (histoire de faire coucou). C'est aussi le cas dans ce tome 10 qui nous présente une doctorante de 11 ans, une petite polonaise au génie précoce qui ne demeurera qu'un simple souvenir de plus alors qu'il y avait matière à creuser l'impact de ces personnages dans l'intrigue. Ce traitement est d'autant plus faible que nous avons fini par faire le tour de notre trio de tête. Eight Akashi, Kido et Nohara n'ont plus grand chose à raconter alors que leur formation est loin d'être finie. On reporte donc notre attention ( en vain) sur les enseignants et les autres apprentis qui gravitent autour d'eux mais Shun Matsuena n'en fait qu'à sa tête et nous recycle toujours dans chaque tome la bravoure candide d'Eight, la plastique vaillante de Kido et les gags-geeks ambulants de Nohara qui s'improvise ici conducteur d'hélicoptère ... Nous sommes loin de l'esprit d'équipe et de la puissante structure d'un MHA à titre de comparaison qui parvient à mettre en valeurs différents élèves tout en solidifiant une intrigue pleine de tension.
Dans 008 apprenti espion, la cruauté et l'absence de pitié que peut avoir le monde des agents secrets est à peine soulevée. Elle est même brisée par l'idéalisme du jeune héros qui ne propose jamais un peu plus d'obscurité et de réflexion dans cet univers. Mais rappelons que ce n'est pas le but premier de Shun Matsuena qui se contente dans cette série de jouer comme un gamin avec ses personnages tout en se moquant de la dramaturgie de son manga... Son enthousiasme pourrait être contagieux, malheureusement, ce n'est pas le cas et on attend toujours qu'une véritable intrigue finisse par émerger.
La fin de l'examen approche pour les futurs (ou pas) agents secrets du lycée Nakano, un examen décisif puisqu'éliminatoire.
Sans surprises, cette dernière partie de cet examen enchaine les combats sans temps morts. C'est l'action pur jus qui prime dans ce neuvième tome et le mangaka Shun Matsuena s'en donne à coeur joie avec force et vitesse. Les coups "d'épée-cravates" s'enchainent et les élèves, par peur de la disqualification définitive, deviennent toujours plus hargneux. Cependant, dans toute cette frénésie de bataille, un certain personnage évolue en la personne de Nohara, l'ex hikikomori, intelligent mais trouillard et inutile, décide de s'éclipser de l'équipe et de quitter la compétition avant de changer d'avis.
L'un des personnages les plus horripilants de la série trouve enfin son moment de gloire grâce à un gadget magistral... avant de redevenir pénible mais qu'importe, l'honneur est sauf pour ce personnage qui s'illustre enfin dans le combat ! Un autre apparté plutôt interessant avec le personnage de l'élève ninja dont l'impassibilité est une vraie comédie en soi. On notera aussi la hargne particulièrement relevée de Hijiri, le rival d'Eight dont le caractére explosif et susceptible donne lieu à un bon combat contre le héros...
Mise à part cela, cette fin d'examen demeure extrêmement prévisible avec l'habituelle intervention des bad guys en tournoi. Encore une fois, 008 apprenti espion ne brille par son scénario qui, malgré des personnages un petit peu sympathique, déroule son intrigue de manière très codée. Nous ne sommes pas surpris et force est de reconnaître que la nouvelle série de Shun Matsuena n'arrive pas à tirer son épingle du jeu et au bout de presque 10 tomes, c'est tout de même un peu ralant. Parmi ses faiblesses, on peut notamment citer les méchants du groupe terrorriste de Dogra Magra. Ce sont des antagonistes qui apparraissent ponctuellement dans la série et qui, malgré un design sympathique ( un mix entre la tenue SM et le super sentai) , demeurent évanescent . L'apparition de Lulus dans le tome précédent était marquante mais ici elle se contente de se balader dans les rues du quartier et de dévorer des friandises... Bref, face à aussi peu d'enjeux, la série manque de force et pourtant, ce n'est pas l'action qui manque... Un paradoxe qui peut s'expliquer par le fait que le mangaka ne tient pas forcément une feuille de route suivie quand à l'avancée de son manga et préfére nous concocter de l'action explosive à l'instant T sans se préoccuper plus avant de l'évolution de l'histoire.
C'est un reproche continue , c'est vrai, mais en espérant très naivement que le tome 10 qui concluera enfin cet examen , propulsera la série dans une véritable confrontation avec le groupe terrorriste car, pour l'heure, les confrontations , les oeillades et les examens du lycée Nakano commencent à devenir lassantes et ce malgré un dessin toujours aussi multivitaminé.
Sans surprises, cette dernière partie de cet examen enchaine les combats sans temps morts. C'est l'action pur jus qui prime dans ce neuvième tome et le mangaka Shun Matsuena s'en donne à coeur joie avec force et vitesse. Les coups "d'épée-cravates" s'enchainent et les élèves, par peur de la disqualification définitive, deviennent toujours plus hargneux. Cependant, dans toute cette frénésie de bataille, un certain personnage évolue en la personne de Nohara, l'ex hikikomori, intelligent mais trouillard et inutile, décide de s'éclipser de l'équipe et de quitter la compétition avant de changer d'avis.
L'un des personnages les plus horripilants de la série trouve enfin son moment de gloire grâce à un gadget magistral... avant de redevenir pénible mais qu'importe, l'honneur est sauf pour ce personnage qui s'illustre enfin dans le combat ! Un autre apparté plutôt interessant avec le personnage de l'élève ninja dont l'impassibilité est une vraie comédie en soi. On notera aussi la hargne particulièrement relevée de Hijiri, le rival d'Eight dont le caractére explosif et susceptible donne lieu à un bon combat contre le héros...
Mise à part cela, cette fin d'examen demeure extrêmement prévisible avec l'habituelle intervention des bad guys en tournoi. Encore une fois, 008 apprenti espion ne brille par son scénario qui, malgré des personnages un petit peu sympathique, déroule son intrigue de manière très codée. Nous ne sommes pas surpris et force est de reconnaître que la nouvelle série de Shun Matsuena n'arrive pas à tirer son épingle du jeu et au bout de presque 10 tomes, c'est tout de même un peu ralant. Parmi ses faiblesses, on peut notamment citer les méchants du groupe terrorriste de Dogra Magra. Ce sont des antagonistes qui apparraissent ponctuellement dans la série et qui, malgré un design sympathique ( un mix entre la tenue SM et le super sentai) , demeurent évanescent . L'apparition de Lulus dans le tome précédent était marquante mais ici elle se contente de se balader dans les rues du quartier et de dévorer des friandises... Bref, face à aussi peu d'enjeux, la série manque de force et pourtant, ce n'est pas l'action qui manque... Un paradoxe qui peut s'expliquer par le fait que le mangaka ne tient pas forcément une feuille de route suivie quand à l'avancée de son manga et préfére nous concocter de l'action explosive à l'instant T sans se préoccuper plus avant de l'évolution de l'histoire.
C'est un reproche continue , c'est vrai, mais en espérant très naivement que le tome 10 qui concluera enfin cet examen , propulsera la série dans une véritable confrontation avec le groupe terrorriste car, pour l'heure, les confrontations , les oeillades et les examens du lycée Nakano commencent à devenir lassantes et ce malgré un dessin toujours aussi multivitaminé.
L'examen éliminatoire se poursuit dans ce tome 8 qui réhausse (enfin !) le niveau et nous balance une bonne dose de combats et d'humour ecchi totalement frappé.
Suite au début plutôt périlleux de l'examen qui verra une équipe se faire totalement virer du lycée spécial 007, Eight, Kido et (l'insupportable)Nohara s'en sortent plutôt bien avec un bon paquet de pièces déjà récoltées. De plus, notre trio de héros est plutôt bienveillant puisqu'il laisse toujours une petite piécette aux équipes battues histoire d'éviter leur possible future élimination mais dans ce tome 8, les choses se corsent avec une première attaque nocturne durant le repos de la team.
C'est l'occasion de découvrir la petite shinobi du lycée Benihi Mamiya qui va livrer un combat singulier contre Kido. C'est un passage plutôt délirant , d'autant plus que les deux guerrières combattent tout en silence afin de ne pas éveiller les autres ronfleurs. Le lendemain, suite à une séparation forcée avec le groupe, c'est au tour de Eight de livrer un combat continue à un redoutable apprenti agent féru d'explosion. Le jeune homme répondant au nom de Kai Nanaogi n'a aucun scrupule à mettre en péril la vie des innocents et cela par simple plaisir de destruction.
Ainsi donc même du côté des gentils, 008 apprenti espion met en valeur quelques esprits rebelles. Une bonne galerie de personnages vient donc étoffer ce volume et se clôt en beauté lorsque Kido et Nohara sont confrontés à l'équipe supervisée par Miss Lady aka la professeure de manipulation "pyschologique". Vous vous en doutez, l'humour ecchi de ce manga atteint ici son paroxysme à travers les techniques de séduction de ce trio d'aspirantes espionnes dont les techniques se résument à montrer leurs atouts ! Une nouvelle fois, on repassera pour le côté "Psychologique " de cette manipulation. Le mangaka s'en donne à coeur joie à travers un chara-design toujours plus pulpeux et dénudé. Une bonne note d'humour vulgaire qui ravira les amateurs du genre et crispera les autres mais en même temps, le côté ecchi est totalement assumé et au bout de huit tomes, nous en sommes à peine surpris.
Toujours est-il que ce tome 8 apporte une touche d'adrénaline plus que bienvenue à ce titre qui en avait bien besoin. Le goût de trop peu relevé dans le tome précédent est ici comblé pour faire place à de la baston qui s'étale sur plusieurs pages sans donner l'impression d'être bâclée. Cela est peut-être due à la présence de nouveaux personnages qui mènent la vie dure à nos héros, notamment le bombeur fou , plutôt sympathique avec faux mélange entre attitude cool et un caractère impitoyable.
Ce huitième tome promet une bonne suite d'évènements puisque la méchante organisation du dogra magra viendra pointer le bout de son nez masqué dans le tome suivant. Nous avons enfin un arc un peu plus épique qui, je l'espère, remettra la série sur de bons rails à la suite de cet examen décisif.
Suite au début plutôt périlleux de l'examen qui verra une équipe se faire totalement virer du lycée spécial 007, Eight, Kido et (l'insupportable)Nohara s'en sortent plutôt bien avec un bon paquet de pièces déjà récoltées. De plus, notre trio de héros est plutôt bienveillant puisqu'il laisse toujours une petite piécette aux équipes battues histoire d'éviter leur possible future élimination mais dans ce tome 8, les choses se corsent avec une première attaque nocturne durant le repos de la team.
C'est l'occasion de découvrir la petite shinobi du lycée Benihi Mamiya qui va livrer un combat singulier contre Kido. C'est un passage plutôt délirant , d'autant plus que les deux guerrières combattent tout en silence afin de ne pas éveiller les autres ronfleurs. Le lendemain, suite à une séparation forcée avec le groupe, c'est au tour de Eight de livrer un combat continue à un redoutable apprenti agent féru d'explosion. Le jeune homme répondant au nom de Kai Nanaogi n'a aucun scrupule à mettre en péril la vie des innocents et cela par simple plaisir de destruction.
Ainsi donc même du côté des gentils, 008 apprenti espion met en valeur quelques esprits rebelles. Une bonne galerie de personnages vient donc étoffer ce volume et se clôt en beauté lorsque Kido et Nohara sont confrontés à l'équipe supervisée par Miss Lady aka la professeure de manipulation "pyschologique". Vous vous en doutez, l'humour ecchi de ce manga atteint ici son paroxysme à travers les techniques de séduction de ce trio d'aspirantes espionnes dont les techniques se résument à montrer leurs atouts ! Une nouvelle fois, on repassera pour le côté "Psychologique " de cette manipulation. Le mangaka s'en donne à coeur joie à travers un chara-design toujours plus pulpeux et dénudé. Une bonne note d'humour vulgaire qui ravira les amateurs du genre et crispera les autres mais en même temps, le côté ecchi est totalement assumé et au bout de huit tomes, nous en sommes à peine surpris.
Toujours est-il que ce tome 8 apporte une touche d'adrénaline plus que bienvenue à ce titre qui en avait bien besoin. Le goût de trop peu relevé dans le tome précédent est ici comblé pour faire place à de la baston qui s'étale sur plusieurs pages sans donner l'impression d'être bâclée. Cela est peut-être due à la présence de nouveaux personnages qui mènent la vie dure à nos héros, notamment le bombeur fou , plutôt sympathique avec faux mélange entre attitude cool et un caractère impitoyable.
Ce huitième tome promet une bonne suite d'évènements puisque la méchante organisation du dogra magra viendra pointer le bout de son nez masqué dans le tome suivant. Nous avons enfin un arc un peu plus épique qui, je l'espère, remettra la série sur de bons rails à la suite de cet examen décisif.
La comédie ecchi de Shun Matsuena continue tranquillement son bonhomme de chemin au profit d'un dessin toujours aussi plantureux et au mépris d'un scénario qui bat de l'aile depuis quelques tomes déjà... Et ce n'est pas le sempiternel et fameux examen décisif de la mort qui tue qui va changer quelques choses malgrés petites éclaircies et une nouvelle héroine des plus charmantes...
Ainsi, pris au piège pour je ne sais plus quelle raison au sous-sol du lycée ( soyons honnête, l'auteur de ces lignes n'a pas eu envie de relire les tomes précédents), Eight et Kido sont pris en chasse par un espèce de gros robot gardien qu'ils arrivent à semer rapidement grâce au talent intuitif de Eight. De plus, quelques nouveaux élèves font leur apparition ou plutôt leur réapparitions. Il s'agit de deux survivants de l'épreuves de l'ile : un ersatz de rambo ( assez stylé et plutôt drôle dans le genre parodique) et un petit être rancunier et colérique à l'égard de notre héros ... Mais ne perdons pas de temps, voilà que le début d'un examen éliminatoire commence.
Le but : chopper des pièces de monnais aux autres équipes. Celle qui n'a plus de pièces à la fin du temps escompté, à savoir 7 jours, se verra renvoyée du lycée.
Gadgets, filles sexy et combats de cravates-épées vont fleurir pour un tome moyennement sympathique avec malheureusement un goût de trop peu qui freine toujours plus la série.
Nous pouvons certer nous contenter du style dynamique de Shun Matsuena qui multiplie ici les petites confrontations à coups de gagdets tels que les baskets adhésives jusqu'au camouflage optique mais cela suffit t-il à dynamiser ce titre qui donne l'impression de s'arrêter en bon chemin.
Deux nouveux élèves font leur apparition ? Quelques planches, un peu de magouille de la part de l'un d'eux et on s'arrête pour ne les revoir que briévement...
Des combats haletants ? Quelques coups de cravates-épées dont on devine à peine l'impact concluent les bastons tel un pétard mouillé.
Certes, l'avis est un peu blasé car le titre reste vivant et comblera facilement certains lecteurs mais encore une fois ce goût de trop peu et notamment dans l'exploitation des personnages secondaires finit par être frustrant. L'intrigue est trop focalisée sur notre trio de têtequi reste égal à lui-même et oublie de mettre en valeur certains personnages tel que Sans-Nom , l'un des plus interessants, qui aurait gagné à être plus important mais le temps d'un volume et on n'y revient pratiquement plus. A comparaison, My Hero Academia ou Naruto sont des titres qui tout en étant focalisés sur un trio de tête, mettait plutôt bien en valeur les autres personnages. Même si cette comparaison est un peu inégale, ce n'est pas le même niveau, 008 apprenti espion est assez déséquilibré dans sa galerie de personnages.
C'est encore une fois sans doute dûe au fait que le mangaka préfère s'attarder sur son humour ecchi au détriment du sérieux même si ce tome reste relativement soft comparés à d'autres (attends, tome 8, je t'ai remarqué...) mais le pire, sans doute, reste le personnage du geek hikikomori qui ne sert à rien ! Nohara est un cartoon qui accumule les problèmes et freine l'équipe. Un personnage crispant qui mis à part quelques remarques intelligentes , ne sert à rien si ce n'est apporter une bonne dose de pénible.
Par contre, quelques petits points à relever dans ce tome qui détonnent un peu. La relation Kido et Eight qui s'éclaircit un peu et laisser échapper quelques petits moments de tendresse comme le passage réussi du cinéma. C'est léger, c'est fleur bleu mais cela fait aussi du bien dans un manga comme celui-ci. De même, j'avoue avoir été sous le charme du nouveau et mystérieux personnage féminin qui fait son apparition dans ce tome et vient en aide à Eight. Il faut dire ce qui est , Shun Matsuena est tout de même doué pour introduire de vrais bombes dans ce manga comme en témoigne cette nouvelle venue qu'on espére revoir très vite.
Mais, encore une fois, cet espoir doit aussi aller de pair avec un peu plus de profondeur et moins de relief. Le mangaka nous introduit une foule de personnages mais sans jamais s'y attarder et sans afficher un véritable esprit d'équipe comme dans d'autres titres qui se déroulent aussi en milieu scolaire.
Enfin, je ne m'attarde pas plus sur l'examen. Là aussi un nouveau goût de trop peu où les lycéens doivent juste chaparder des pièces de monnaies aux autres. Bon, les règles ne sont pas terribles et les combats demeurent assez lisses mais soyons indulgent ce n'est que le début de l'épreuve...
En somme, 008 Apprenti Espion s'attaque ici au début d'un nouvel examen, décisif car éliminatoire, mais le lmanga continue de laisser un goût de trop peu entre personnage inssupportable (Nohara), rôles secondaires peu mises en valeurs et des scènes d'actions plus ou moins fades. Mais le titre reste sauvé du carnage par un ton toujours aussi rythmé, un chara-design toujours aussi magnétique comme en témoigne le nouveau personnage féminin et le début de la tendresse entre Kido et Eight qui continue d'apporter une petite dose de fleur bleue bienvenue.
Ainsi, pris au piège pour je ne sais plus quelle raison au sous-sol du lycée ( soyons honnête, l'auteur de ces lignes n'a pas eu envie de relire les tomes précédents), Eight et Kido sont pris en chasse par un espèce de gros robot gardien qu'ils arrivent à semer rapidement grâce au talent intuitif de Eight. De plus, quelques nouveaux élèves font leur apparition ou plutôt leur réapparitions. Il s'agit de deux survivants de l'épreuves de l'ile : un ersatz de rambo ( assez stylé et plutôt drôle dans le genre parodique) et un petit être rancunier et colérique à l'égard de notre héros ... Mais ne perdons pas de temps, voilà que le début d'un examen éliminatoire commence.
Le but : chopper des pièces de monnais aux autres équipes. Celle qui n'a plus de pièces à la fin du temps escompté, à savoir 7 jours, se verra renvoyée du lycée.
Gadgets, filles sexy et combats de cravates-épées vont fleurir pour un tome moyennement sympathique avec malheureusement un goût de trop peu qui freine toujours plus la série.
Nous pouvons certer nous contenter du style dynamique de Shun Matsuena qui multiplie ici les petites confrontations à coups de gagdets tels que les baskets adhésives jusqu'au camouflage optique mais cela suffit t-il à dynamiser ce titre qui donne l'impression de s'arrêter en bon chemin.
Deux nouveux élèves font leur apparition ? Quelques planches, un peu de magouille de la part de l'un d'eux et on s'arrête pour ne les revoir que briévement...
Des combats haletants ? Quelques coups de cravates-épées dont on devine à peine l'impact concluent les bastons tel un pétard mouillé.
Certes, l'avis est un peu blasé car le titre reste vivant et comblera facilement certains lecteurs mais encore une fois ce goût de trop peu et notamment dans l'exploitation des personnages secondaires finit par être frustrant. L'intrigue est trop focalisée sur notre trio de têtequi reste égal à lui-même et oublie de mettre en valeur certains personnages tel que Sans-Nom , l'un des plus interessants, qui aurait gagné à être plus important mais le temps d'un volume et on n'y revient pratiquement plus. A comparaison, My Hero Academia ou Naruto sont des titres qui tout en étant focalisés sur un trio de tête, mettait plutôt bien en valeur les autres personnages. Même si cette comparaison est un peu inégale, ce n'est pas le même niveau, 008 apprenti espion est assez déséquilibré dans sa galerie de personnages.
C'est encore une fois sans doute dûe au fait que le mangaka préfère s'attarder sur son humour ecchi au détriment du sérieux même si ce tome reste relativement soft comparés à d'autres (attends, tome 8, je t'ai remarqué...) mais le pire, sans doute, reste le personnage du geek hikikomori qui ne sert à rien ! Nohara est un cartoon qui accumule les problèmes et freine l'équipe. Un personnage crispant qui mis à part quelques remarques intelligentes , ne sert à rien si ce n'est apporter une bonne dose de pénible.
Par contre, quelques petits points à relever dans ce tome qui détonnent un peu. La relation Kido et Eight qui s'éclaircit un peu et laisser échapper quelques petits moments de tendresse comme le passage réussi du cinéma. C'est léger, c'est fleur bleu mais cela fait aussi du bien dans un manga comme celui-ci. De même, j'avoue avoir été sous le charme du nouveau et mystérieux personnage féminin qui fait son apparition dans ce tome et vient en aide à Eight. Il faut dire ce qui est , Shun Matsuena est tout de même doué pour introduire de vrais bombes dans ce manga comme en témoigne cette nouvelle venue qu'on espére revoir très vite.
Mais, encore une fois, cet espoir doit aussi aller de pair avec un peu plus de profondeur et moins de relief. Le mangaka nous introduit une foule de personnages mais sans jamais s'y attarder et sans afficher un véritable esprit d'équipe comme dans d'autres titres qui se déroulent aussi en milieu scolaire.
Enfin, je ne m'attarde pas plus sur l'examen. Là aussi un nouveau goût de trop peu où les lycéens doivent juste chaparder des pièces de monnaies aux autres. Bon, les règles ne sont pas terribles et les combats demeurent assez lisses mais soyons indulgent ce n'est que le début de l'épreuve...
En somme, 008 Apprenti Espion s'attaque ici au début d'un nouvel examen, décisif car éliminatoire, mais le lmanga continue de laisser un goût de trop peu entre personnage inssupportable (Nohara), rôles secondaires peu mises en valeurs et des scènes d'actions plus ou moins fades. Mais le titre reste sauvé du carnage par un ton toujours aussi rythmé, un chara-design toujours aussi magnétique comme en témoigne le nouveau personnage féminin et le début de la tendresse entre Kido et Eight qui continue d'apporter une petite dose de fleur bleue bienvenue.
Sans surprises mais avec toujours un bon sens de l'efficacité, Shun Matsuena explose un peu l'univers de 008 Apprenti Espion en soumettant nos héros à une première mission de terrain qui ne se déroulera pas forcément comme prévu.
Le déroulement de l'intrigue est des plus classiques et rappelle notamment un certain My hero academia , plus spécialement lorsque les élèves se heurtent à une véritable et inattendue menace durant un examen de terrain. Shun Matsuena ne révolutionne pas la formule et en profite pour introduire un anatagoniste digne de ce nom face à nos héros. Design de monstre, accrocs aux réseaux sociaux, cet ennemi du nom de Sickboy endosse parfaitement son rôle de bad guy tenace et un peu fun dont l'affrontement se déroule sur trois combats. Lorsque Shun Matsuena ne fait pas dans le fan-service ou l'humour tendance ecchi, il impose de bons moments de combats. C'est le cas ici avec cette confrontation face au premier boss dont le design et les mouvements le font apparaitre comme un ennemi vicieux et retors.
Derrière ce premier adversaire, se profile forcément l'ombre d'une organisation criminelle qu'on attend un peu au tournant et qui promet un manga un peu plus ambitieux.
Une première partie sur le terrain qui est plutôt réussie, très classique mais l'action est bien ficelée avec une bonne utilisation de certains gadgets. On appréciera l'évolution d' Eight qui n'est pas forcément en retrait par rapport à la sculpturale Kido durant ce combat. Le personnage d'Iceman est également classe en mode mentor mal luné.
Après cette première partie, 008 Apprenti espion promettait de décoller mais le mangaka retombe bien vite dans son humour hot lorsqu'Eight et ses amis découvre un plan qui permet d'accéder au meilleur point d'observation des dortoirs des filles et pour le lecteur de rester coincé dans une intrigue qui ferait passer cet arc pour un épisode filler d'anime ! On questionne l'intérêt de cet épisode ce qui n'empêche pas Shun Matsuena de continuer d'étoffer ses personnages avec notamment un Nohara plus sûr de lui ce qui donne. C'est la première fois où on voit les collègues de chambrée tous réunis et cela donne un aperçu intéressant de leur travail de groupe.
Ainsi donc, même si cette quête du dortoir des filles est moins " sérieuse" que la première partie de ce volume, elle contribue tout de même à provoquer un certain attachement pour les personnages et à jouer sur un bon fil d'équilibre entre action et humour de caractère.
Ce volume résume bien l'essence de ce nouveau manga de Shun Matsuena : un shonen hot porté par le sens de l'action, de la lourde sensualité (n'oubliez pas de regarder les jaquettes intérieures ! ) et une intrigue au déroulement classique mais toujours efficace grâce à la synergie entre ses personnages et un univers d'espionnage qui continue à s'agrandir doucement mais sûrement...
Le déroulement de l'intrigue est des plus classiques et rappelle notamment un certain My hero academia , plus spécialement lorsque les élèves se heurtent à une véritable et inattendue menace durant un examen de terrain. Shun Matsuena ne révolutionne pas la formule et en profite pour introduire un anatagoniste digne de ce nom face à nos héros. Design de monstre, accrocs aux réseaux sociaux, cet ennemi du nom de Sickboy endosse parfaitement son rôle de bad guy tenace et un peu fun dont l'affrontement se déroule sur trois combats. Lorsque Shun Matsuena ne fait pas dans le fan-service ou l'humour tendance ecchi, il impose de bons moments de combats. C'est le cas ici avec cette confrontation face au premier boss dont le design et les mouvements le font apparaitre comme un ennemi vicieux et retors.
Derrière ce premier adversaire, se profile forcément l'ombre d'une organisation criminelle qu'on attend un peu au tournant et qui promet un manga un peu plus ambitieux.
Une première partie sur le terrain qui est plutôt réussie, très classique mais l'action est bien ficelée avec une bonne utilisation de certains gadgets. On appréciera l'évolution d' Eight qui n'est pas forcément en retrait par rapport à la sculpturale Kido durant ce combat. Le personnage d'Iceman est également classe en mode mentor mal luné.
Après cette première partie, 008 Apprenti espion promettait de décoller mais le mangaka retombe bien vite dans son humour hot lorsqu'Eight et ses amis découvre un plan qui permet d'accéder au meilleur point d'observation des dortoirs des filles et pour le lecteur de rester coincé dans une intrigue qui ferait passer cet arc pour un épisode filler d'anime ! On questionne l'intérêt de cet épisode ce qui n'empêche pas Shun Matsuena de continuer d'étoffer ses personnages avec notamment un Nohara plus sûr de lui ce qui donne. C'est la première fois où on voit les collègues de chambrée tous réunis et cela donne un aperçu intéressant de leur travail de groupe.
Ainsi donc, même si cette quête du dortoir des filles est moins " sérieuse" que la première partie de ce volume, elle contribue tout de même à provoquer un certain attachement pour les personnages et à jouer sur un bon fil d'équilibre entre action et humour de caractère.
Ce volume résume bien l'essence de ce nouveau manga de Shun Matsuena : un shonen hot porté par le sens de l'action, de la lourde sensualité (n'oubliez pas de regarder les jaquettes intérieures ! ) et une intrigue au déroulement classique mais toujours efficace grâce à la synergie entre ses personnages et un univers d'espionnage qui continue à s'agrandir doucement mais sûrement...
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