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Critiques de Stefano Raffaele (254)
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Tarzan, tome 2 : Au centre de la Terre

Voici la suite des aventures de Tarzan initiée par Christophe Bec mais d'après l’œuvre d'Edgar Rice Burroughs.



On l'avait laissé un peu dépité par le mariage prochain de la belle Jane avec qui il avait un peu flirté dans la jungle. Nous avons un Tarzan métamorphosé en Lord Greystoke qui va un peu à l'encontre de sa vraie nature à savoir le sauvage qui sommeille en lui.



On va suivre plusieurs petites histoires distinctes dans ce second volume bien qu'il n'y ait pas de partie ou de chapitre séparé. On suit une seule aventure : celle de Tarzan mais avec de multiples péripéties qui s'accumulent.



Il y a d'abord les amourettes de Tarzan avec une comtesse française qui l'entraînera dans un piège avec son mari un peu jaloux et prompt au duel. En toile de fond, il y a l'espoir de son amour perdu avec Jane mais également une forme de résilience qui est tout à son honneur. Tarzan noie son chagrin à paris mais cela ne lui réussit pas.



Il y a également une partie consacrée au cycle de la cité perdue d'Opar dont l'écrivain avait fait le lieu de plusieurs des aventures de Tarzan. Je dois dire que ce fut expédié en un rien de temps alors que la scène d'introduction commençait avec un Tarzan en bon mauvaise posture dans cet cité où il était attiré par l'or alors qu'il crache son venin sur le capitalisme occidental, un peu à la manière des russes je dois dire.



Enfin, il y a cette expédition de secours pour venir en aide à son ami le capitaine d'Arnot qui s'est mis en tête d'explorer le centre de la terre pour y découvrir un nouveau monde façon Jules Verne ou encore Arthur Conan Doyle. Les dinosaures seront également de la partie !



J'avoue que je n'ai pas trop aimé que cela parte un peu dans tous les sens. Cependant, on va passer quand même un agréable moment de lecture teintée d'exotisme et d'aventure dans la découverte avec des accents clairement fantastiques. On s'éloigne un peu des thèmes du premier volume qui avait fait fort et dont on sent le décalage. C'est l'action qui prédomine sur tout le reste à savoir la réflexion.



Comme dit, le divertissement façon blockbuster hollywoodien sera quand même assuré. Il faut aimer !

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Pandemonium, tome 3 : Mort blanche

Un tome 3 absolument effroyable.

Une bande-dessinée qui monte crescendo vers l'horreur, puisque le tome 1 place ses pions, le tome 2 où l'on commence à se dire, que quelque chose cloche assurément et le tome 3 qui confirme l'épouvante vérité. C'est donc très bien mené.

Il me rappelera un peu la série American Horror Story Asylum, même si l'histoire ne se passe pas dans un hôpital psychiatrique, à cause des méthodes de guérison à l'ancienne.

Et le Dieu Argent, toujours responsable des pires vices...



Attention spoiler :

Stop !

Alors j'ai regardé un peu l'histoire de Waverly Hills Sanatorium. Si les rumeurs de lieu hanté persiste, rien n'atteste les éventuelles expériences scientifiques, ni les économies faites au profit de la santé des patients. Donc imagination des auteurs ou ce sont les fantômes qui ont discuté avec les scénaristes???
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Pandemonium, tome 2 : Le tunnel

Un tunnel dans lequel on transporte des cadavres, des rumeurs d'expériences scientifiques douteuses, des traitements à l'ancienne considérés comme barbare... Ce sanatorium n'inspire pas confiance... Cora voit de plus en plus de fantômes et dans des états qui donnent la chair de poule... Et pire encore, Doris semble avoir attrapé la tuberculose. Il me semble que ce sera compliqué de protéger sa fille si elle est malade.

J'étais surprise de ne pas voir les infirmières et les docteurs avec des masques, en me disant que peut-être cela ne se faisait pas vraiment dans les années 50, or un nouveau personnage vient soulever cette interrogation, ce qui donne encore plus de mystère sur les pratiques de ce sanatorium...
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Aurora, tome 1 : Phénomène

Les séries de Christophe Bec se suivent et se ressemblent parfois. Celle-ci a été imaginé au saut du lit par l'auteur comme il nous l'explique dans la préface. On ne peut pas faire plus efficace.



Le concept ressemble à celui de la longue série « Prométhée » à savoir une future catastrophe planétaire que pourront peut-être déjouée des enfants qui ont la particularité d'être né pendant un phénomène rare d'aurore planétaire.



Cela leur confère une intelligence et une force hors du commun comme des super-héros à moins d'être des super-vilains qui mettront K.O toute l'humanité. On ne sait jamais. Il faut dire qu'on a de nombreux indices pour voir qu'ils se comportent de manière assez horrifique comme des enfants maudits.



Le procédé est toujours le même à savoir des petites séquences assez spectaculaires pour nous donner l'envie de continuer. On voit bien que c'est un tome purement introductif qui ne livre pas tous ses mystères d'un coup pour faire monter progressivement la pression sur plusieurs volumes.



Certes, le concept est intéressant mais cette fois-ci, je ne me ferai plus avoir dans un investissement massif. Désolé d'être aussi cash avec vous. Je préfère prévenir que guérir. Pour autant, je suis très admiratif du travail de Christophe Bec que je suis depuis ses débuts. Je possède également une belle panoplie de ses séries. Je commence à connaître les procédés addictifs.



Les autres pourront toujours se lancer dans l'aventure sachant qu'il faudra tenir bon sur de nombreux volumes. On ne pourra juger que sur la globalité de la série.
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Deepwater Prison - Intégrale

Je ne suis pas coutumier du fait, mais pour une fois je fais faire un tir groupé pour la série toute entière...



La série "Deepwater Prison" suit de prime abord les mésaventures IRL de la station pétrolière « Deepwater Horizon ». Sans surprise nous découvrons donc une firme multinationale pété de thunes prête à tout et au reste pour faire un peu plus de pognon que d'habitude (pognon dont elle ne saura pas quoi faire à part jouer à qui a la plus grosse avec les autres firmes multinationales de mes couilles), et qui roule des mécaniques en réalisant un forage record conduisant tout logiquement à une marée noire record. Car bien évidemment on se torche le cul du principe de précaution puisqu'on n'en a rien a faire des lois divines et humaines et puisqu'on envoie chier les normes sociales et environnementales, et c'est donc tout naturellement qu'on aboutit en fiction comme IRL à une catastrophe hors norme saccageant le Golfe du Mexique… (IRL 9 ans après les faits le procès de British Petroleum est toujours en cours : une fois de plus la justice prouve qu'elle est de classe en étant lente ou rapide en fonction des situations, puisqu'elle est très lente quand le prévenu est riche et très rapide il est pauvre, et vice et versa bien évidemment)

Alors on a d'un côté l'envoyée gouvernementale Elaine Rosenberg, belle-gosse strong independant woman, qui est chargée d'enquêter sur la catastrophe pour établir les responsabilités des uns et des autres, et qui va devoir faire face aux obstructions d'une firme multinationale qui va tout faire pour l'empêcher de découvrir le pot aux roses (quitte à multiplier les plans foireux pour l'éliminer ^⁾. Et d'un autre côté nous avons un remake de "Prison Break" ayant lieu dans l'équivalent de l'Aquatraz de la série Dark SF "Judge Dredd", et nous suivons les efforts d'un groupe pour s'échapper de l'enfer : le lieutenant Stewart trahi par sa hiérarchie pour couvrir les crimes de guerres de nababs hauts placés, le mafieux malchanceux Richter, le golgoth dénommé Terminator, des dénommés Karim Ghelloussi et Ted Cofey, et le psychopathe matricide Johnny-Belle-Gueule… (rien que dans le dramatis personae ça coince, puisque dans la caractérisation on ne sait rien de rien de 2 des membres de la Team Grande Évasion) Christophe Bec rajoute une histoire de machélodon et de créatures sous-marines préhistoriques comme dans sa série "Carthago", et une histoire d'écowarrior sur le retour hésitant entre les deux côtés de la Force… Mais au final, le côté enquête anticapitaliste est téléphoné, le côté thriller carcéral est escamoté, le côté écowarrior on aurait pu s'en passer, et le côté cryptozoologie n'amène rien niveau action et tension (et pourtant l'auteur est meilleur sur les séries courtes que sur les séries longues dans lesquelles il s'éparpille encore plus)… Je suis bien conscient d'être sévère, mais la mayonnaise ne prend pas vraiment car ce qui aurait dû être le centre de la BD finalement ne sert que de toile de fond, et les mind games géniaux de la série de Paul Scheuring sont remplacés par les viols à répétition de Johnny-Belle-Gueule (l'auteur manifestation influé par les dégueulasseries de "Blast" en rajoutant plusieurs couches dans le sordide en cours de route, surtout dans le troisième et dernier tome d'ailleurs), en plus de ramener tout le monde à la case départ… C'est d'autant plus dommage que Christophe Bec est un excellente dialoguiste et que les phylactères qu'il a mitonné sont de qualité en plus d'être de véritables mines à citations !



Les couvertures du talentueux Eric Henninot sont très réussies, mais les dessins réalistes voire photoréalistes de Stefano Raffaele ne sont pas en reste et force est de constater que l'ensemble n'est pas mal non plus (même si de temps à autres j'ai confondu certains personnages secondaires se ressemblant). Après si c'est assez drôle que le traître de service ait la tronche de l'acteur Kevin Bacon habitué aux rôles de traîtres au cinéma, il faudra m'expliquer pourquoi l'exécuteur des basses œuvres de l'hypercapitalisme a la tronche d'Eric Besson ? Sinon comme souvent une intégrale soignée et d'un bon rapport qualité-prix de la part des éditions Soleil avec 3 albums réunis en 1 seul pour 25 euros...
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Deepwater Prison, tome 1 : Constellation

Je ne suis pas coutumier du fait, mais pour une fois je fais faire un tir groupé pour la série toute entière...



La série "Deepwater Prison" suit de prime abord les mésaventures IRL de la station pétrolière « Deepwater Horizon ». Sans surprise nous découvrons donc une firme multinationale pété de thunes prête à tout et au reste pour faire un peu plus de pognon que d'habitude (pognon dont elle ne saura pas quoi faire à part jouer à qui a la plus grosse avec les autres firmes multinationales de mes couilles), et qui roule des mécaniques en réalisant un forage record conduisant tout logiquement à une marée noire record. Car bien évidemment on se torche le cul du principe de précaution puisqu'on n'en a rien a faire des lois divines et humaines et puisqu'on envoie chier les normes sociales et environnementales, et c'est donc tout naturellement qu'on aboutit en fiction comme IRL à une catastrophe hors norme saccageant le Golfe du Mexique… (IRL 9 ans après les faits le procès de British Petroleum est toujours en cours : une fois de plus la justice prouve qu'elle est de classe en étant lente ou rapide en fonction des situations, puisqu'elle est très lente quand le prévenu est riche et très rapide il est pauvre, et vice et versa bien évidemment)

Alors on a d'un côté l'envoyée gouvernementale Elaine Rosenberg, belle-gosse strong independant woman, qui est chargée d'enquêter sur la catastrophe pour établir les responsabilités des uns et des autres, et qui va devoir faire face aux obstructions d'une firme multinationale qui va tout faire pour l'empêcher de découvrir le pot aux roses (quitte à multiplier les plans foireux pour l'éliminer). Et d'un autre côté nous avons un remake de "Prison Break" ayant lieu dans l'équivalent de l'Aquatraz de la série Dark SF "Judge Dredd", et nous suivons les efforts d'un groupe pour s'échapper de l'enfer : le lieutenant Stewart trahi par sa hiérarchie pour couvrir les crimes de guerres de nababs hauts placés, le mafieux malchanceux Richter, le golgoth dénommé Terminator, des dénommés Karim Ghelloussi et Ted Cofey, et le psychopathe matricide Johnny-Belle-Gueule… (rien que dans le dramatis personae ça coince, puisque dans la caractérisation on ne sait rien de rien de 2 des membres de la Team Grande Évasion) Christophe Bec rajoute une histoire de machélodon et de créatures sous-marines préhistoriques comme dans sa série "Carthago", et une histoire d'écowarrior sur le retour hésitant entre les deux côtés de la Force… Mais au final, le côté enquête anticapitaliste est téléphoné, le côté thriller carcéral est escamoté, le côté écowarrior on aurait pu s'en passer, et le côté cryptozoologie n'amène rien niveau action et tension (et pourtant l'auteur est meilleur sur les séries courtes que sur les séries longues dans lesquelles il s'éparpille encore plus)… Je suis bien conscient d'être sévère, mais la mayonnaise ne prend pas vraiment car ce qui aurait dû être le centre de la BD finalement ne sert que de toile de fond, et les mind games géniaux de la série de Paul Scheuring sont remplacés par les viols à répétition de Johnny-Belle-Gueule (l'auteur manifestation influé par les dégueulasseries de "Blast" en rajoutant plusieurs couches dans le sordide en cours de route, surtout dans le troisième et dernier tome d'ailleurs), en plus de ramener tout le monde à la case départ… C'est d'autant plus dommage que Christophe Bec est un excellente dialoguiste et que les phylactères qu'il a mitonné sont de qualité en plus d'être de véritables mines à citations !



Les couvertures du talentueux Eric Henninot sont très réussies, mais les dessins réalistes voire photoréalistes de Stefano Raffaele ne sont pas en reste et force est de constater que l'ensemble n'est pas mal non plus (même si de temps à autres j'ai confondu certains personnages secondaires se ressemblant). Après si c'est assez drôle que le traître de service ait la tronche de l'acteur Kevin Bacon habitué aux rôles de traîtres au cinéma, il faudra m'expliquer pourquoi l'exécuteur des basses œuvres de l'hypercapitalisme a la tronche d'Eric Besson ? ^^
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Deepwater Prison, tome 2 : Le Bloc

Je ne suis pas coutumier du fait, mais pour une fois je fais faire un tir groupé pour la série toute entière...



La série "Deepwater Prison" suit de prime abord les mésaventures IRL de la station pétrolière « Deepwater Horizon ». Sans surprise nous découvrons donc une firme multinationale pété de thunes prête à tout et au reste pour faire un peu plus de pognon que d'habitude (pognon dont elle ne saura pas quoi faire à part jouer à qui a la plus grosse avec les autres firmes multinationales de mes couilles), et qui roule des mécaniques en réalisant un forage record conduisant tout logiquement à une marée noire record. Car bien évidemment on se torche le cul du principe de précaution puisqu'on n'en a rien a faire des lois divines et humaines et puisqu'on envoie chier les normes sociales et environnementales, et c'est donc tout naturellement qu'on aboutit en fiction comme IRL à une catastrophe hors norme saccageant le Golfe du Mexique… (IRL 9 ans après les faits le procès de British Petroleum est toujours en cours : une fois de plus la justice prouve qu'elle est de classe en étant lente ou rapide en fonction des situations, puisqu'elle est très lente quand le prévenu est riche et très rapide il est pauvre, et vice et versa bien évidemment)

Alors on a d'un côté l'envoyée gouvernementale Elaine Rosenberg, belle-gosse strong independant woman, qui est chargée d'enquêter sur la catastrophe pour établir les responsabilités des uns et des autres, et qui va devoir faire face aux obstructions d'une firme multinationale qui va tout faire pour l'empêcher de découvrir le pot aux roses (quitte à multiplier les plans foireux pour l'éliminer ^⁾. Et d'un autre côté nous avons un remake de "Prison Break" ayant lieu dans l'équivalent de l'Aquatraz de la série Dark SF "Judge Dredd", et nous suivons les efforts d'un groupe pour s'échapper de l'enfer : le lieutenant Stewart trahi par sa hiérarchie pour couvrir les crimes de guerres de nababs hauts placés, le mafieux malchanceux Richter, le golgoth dénommé Terminator, des dénommés Karim Ghelloussi et Ted Cofey, et le psychopathe matricide Johnny-Belle-Gueule… (rien que dans le dramatis personae ça coince, puisque dans la caractérisation on ne sait rien de rien de 2 des membres de la Team Grande Évasion) Christophe Bec rajoute une histoire de machélodon et de créatures sous-marines préhistoriques comme dans sa série "Carthago", et une histoire d'écowarrior sur le retour hésitant entre les deux côtés de la Force… Mais au final, le côté enquête anticapitaliste est téléphoné, le côté thriller carcéral est escamoté, le côté écowarrior on aurait pu s'en passer, et le côté cryptozoologie n'amène rien niveau action et tension (et pourtant l'auteur est meilleur sur les séries courtes que sur les séries longues dans lesquelles il s'éparpille encore plus)… Je suis bien conscient d'être sévère, mais la mayonnaise ne prend pas vraiment car ce qui aurait dû être le centre de la BD finalement ne sert que de toile de fond, et les mind games géniaux de la série de Paul Scheuring sont remplacés par les viols à répétition de Johnny-Belle-Gueule (l'auteur manifestation influé par les dégueulasseries de "Blast" en rajoutant plusieurs couches dans le sordide en cours de route, surtout dans le troisième et dernier tome d'ailleurs), en plus de ramener tout le monde à la case départ… C'est d'autant plus dommage que Christophe Bec est un excellente dialoguiste et que les phylactères qu'il a mitonné sont de qualité en plus d'être de véritables mines à citations !



Les couvertures du talentueux Eric Henninot sont très réussies, mais les dessins réalistes voire photoréalistes de Stefano Raffaele ne sont pas en reste et force est de constater que l'ensemble n'est pas mal non plus (même si de temps à autres j'ai confondu certains personnages secondaires se ressemblant). Après si c'est assez drôle que le traître de service ait la tronche de l'acteur Kevin Bacon habitué aux rôles de traîtres au cinéma, il faudra m'expliquer pourquoi l'exécuteur des basses oeuvres de l'hypercapitalisme a la tronche d'Eric Besson ? ^^
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Aurora, tome 1 : Phénomène

Club N°51 : BD non sélectionnée mais achetée sur le budget classique

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220 000 gamins surdoués nés le même jour... complétement flippant !!!



Une histoire originale qui commence bien, vivement la suite.



Aaricia

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BD de science fiction.



Très violente par moment.



Plusieurs des personnages sont présentés dans ce tome 1.



Les 220 000 enfants nés le même jour, celui de l'aurore rouge, vont découvrir leur destin et leurs capacités.



Mel

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Tome 1 : mise en place de tous les ingrédients narratifs et visuels.



Se lit avec un réel plaisir.



A suivre.



Wild57

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Tarzan, tome 2 : Au centre de la Terre

BD HISTOIRE / SCIENCE-FICTION.

Chaque partie (historique, fantastique, science-fiction) aurait pu être développée pour faire un album entier, ce qui n’est pas le cas et aurait abouti à un nombre de pages différent. D’où le côté décousu de l’ensemble, avec cet événement déclencheur qui arrive au bout de 35 pages. Mais je me suis pris au jeu du revival pulpien. Car sur le fond comme sur la forme les auteurs se décarcassent pour faire revivre les récits d’aventure vintage dont Edgar Rice Burroughs fût pendant longtemps le paladin, inspirant tellement de lecteurs et parfois d’auteurs. Les dessinateurs Rob de la Torre et Stefano Raffaele tous les deux colorisés par Dave Stewart font merveilles dans ce voyage dans le temps artistique (même si ma préférence va sans doute au premier).
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Prométhée, tome 12 : Providence

Fini, c’est fini. Mais pourquoi avoir fait un tome 12 Monsieur Christophe Bec. C’est vrai que les dessins de Stefano Raffaele sont toujours magnifiques et d’un réalisme époustouflant. Mais malheureusement, c’est l’histoire qui s’enlise faute d’un scénario bien construit. C’est peut-être l’album de trop. Une série qui avait pourtant bien commencé mais qui finit lamentablement. Le lot de consolation nous est peut-être donné par l’explication du lien entre l’invasion extraterrestre et le mythe de Prométhée. On comprend ainsi que les progrès de l’humanité ont été faits par l’intervention des extraterrestres, tout comme l’humanité a pu bénéficier de l’aide de Prométhée.

On vient de me souffler dans l’oreillette qu’il y aurait encore une dizaine de tomes supplémentaires pour conclure définitivement la saga...Encore une suite ?

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Deepwater Prison, tome 3 : Evasion

Je ne suis pas coutumier du fait, mais pour une fois je fais faire un tir groupé pour la série toute entière...



La série "Deepwater Prison" suit de prime abord les mésaventures IRL de la station pétrolière « Deepwater Horizon ». Sans surprise nous découvrons donc une firme multinationale pété de thunes prête à tout et au reste pour faire un peu plus de pognon que d'habitude (pognon dont elle ne saura pas quoi faire à part jouer à qui a la plus grosse avec les autres firmes multinationales de mes couilles), et qui roule des mécaniques en réalisant un forage record conduisant tout logiquement à une marée noire record. Car bien évidemment on se torche le cul du principe de précaution puisqu'on n'en a rien a faire des lois divines et humaines et puisqu'on envoie chier les normes sociales et environnementales, et c'est donc tout naturellement qu'on aboutit en fiction comme IRL à une catastrophe hors norme saccageant le Golfe du Mexique… (IRL 9 ans après les faits le procès de British Petroleum est toujours en cours : une fois de plus la justice prouve qu'elle est de classe en étant lente ou rapide en fonction des situations, puisqu'elle est très lente quand le prévenu est riche et très rapide il est pauvre, et vice et versa bien évidemment)

Alors on a d'un côté l'envoyée gouvernementale Elaine Rosenberg, belle-gosse strong independant woman, qui est chargée d'enquêter sur la catastrophe pour établir les responsabilités des uns et des autres, et qui va devoir faire face aux obstructions d'une firme multinationale qui va tout faire pour l'empêcher de découvrir le pot aux roses (quitte à multiplier les plans foireux pour l'éliminer ^⁾. Et d'un autre côté nous avons un remake de "Prison Break" ayant lieu dans l'équivalent de l'Aquatraz de la série Dark SF "Judge Dredd", et nous suivons les efforts d'un groupe pour s'échapper de l'enfer : le lieutenant Stewart trahi par sa hiérarchie pour couvrir les crimes de guerres de nababs hauts placés, le mafieux malchanceux Richter, le golgoth dénommé Terminator, des dénommés Karim Ghelloussi et Ted Cofey, et le psychopathe matricide Johnny-Belle-Gueule… (rien que dans le dramatis personae ça coince, puisque dans la caractérisation on ne sait rien de rien de 2 des membres de la Team Grande Évasion) Christophe Bec rajoute une histoire de machélodon et de créatures sous-marines préhistoriques comme dans sa série "Carthago", et une histoire d'écowarrior sur le retour hésitant entre les deux côtés de la Force… Mais au final, le côté enquête anticapitaliste est téléphoné, le côté thriller carcéral est escamoté, le côté écowarrior on aurait pu s'en passer, et le côté cryptozoologie n'amène rien niveau action et tension (et pourtant l'auteur est meilleur sur les séries courtes que sur les séries longues dans lesquelles il s'éparpille encore plus)… Je suis bien conscient d'être sévère, mais la mayonnaise ne prend pas vraiment car ce qui aurait dû être le centre de la BD finalement ne sert que de toile de fond, et les mind games géniaux de la série de Paul Scheuring sont remplacés par les viols à répétition de Johnny-Belle-Gueule (l'auteur manifestation influé par les dégueulasseries de "Blast" en rajoutant plusieurs couches dans le sordide en cours de route, surtout dans le troisième et dernier tome d'ailleurs), en plus de ramener tout le monde à la case départ… C'est d'autant plus dommage que Christophe Bec est un excellente dialoguiste et que les phylactères qu'il a mitonné sont de qualité en plus d'être de véritables mines à citations !



Les couvertures du talentueux Eric Henninot sont très réussies, mais les dessins réalistes voire photoréalistes de Stefano Raffaele ne sont pas en reste et force est de constater que l'ensemble n'est pas mal non plus (même si de temps à autres j'ai confondu certains personnages secondaires se ressemblant). Après si c'est assez drôle que le traître de service ait la tronche de l'acteur Kevin Bacon habitué aux rôles de traîtres au cinéma, il faudra m'expliquer pourquoi l'exécuteur des basses oeuvres de l'hypercapitalisme a la tronche d'Eric Besson ? ^^
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Pandemonium, tome 1 : Sanatorium

Les années 50, un sanatorium où l'on traite les enfants et adultes atteints de tuberculose, un neurologue plus que douteux, des médecins qui ne me donnent pas confiance, des histoires du passé dont il ne faut pas parler... Et puis, quelques fantômes qui racontent des choses, des piscines ensanglantées, une étrange morte suicidée qui regarde par la fenêtre de sa chambre 502 mais que seuls certains enfants voient et écoutent... Voilà une BD bien mystérieuse dont on veut connaître la suite.
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Prométhée, tome 10 : Dans les ténèbres (2/2)

Nous sommes enfin arrivés au douzième jour de notre saga c’est-à-dire à la veille de l’invasion extraterrestre. Une panne de courant c’est généralisée sur l’ensemble de notre bonne vieille planète. Tous les avions, les bateaux, les voitures, les télévisions, les téléphones, les ascenseurs, les pacemakers sont en panne. Le chaos règne sur l’ensemble de notre civilisation depuis 13h13 UTC. Christophe Bec frappe de nouveau fort dans ce tome 10. Les planches de Stefano Raffaele sont toujours aussi efficaces. Mais qu’est qu’on reste sur notre faim chef Bec, il va falloir sortir le grand jeu au tome 11 pour ce 13eme jour si vous voulez nous garder comme client !!! On veut y croire et on croise les doigts.
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Prométhée, Tome 6 : L'arche

Je suis devenu une victime collatérale des principes de la numérologie selon Christophe Bec. En effet, j'ai mis cette fois-ci 13 jours pour lire son tome 6 confirmant ainsi la suite des évènements catastrophiques qui se déroulent à 13h13 dans le monde depuis 9 jours et qui doivent se terminer au bout du treizième jour par une invasion extraterrestre ou par une fin du monde. Si l'histoire est toujours aussi passionnante, elle commence pourtant à trainer en longueur. On voudrait bien avoir des informations complémentaires, des révélations fracassantes… Mais rien de tout cela, on va devoir patienter encore et encore. On pourra se consoler par la qualité des planches de Stefano Raffaele qui signe là son grand retour et nous permet de tenir bon dans la lecture de ce « numéro ».

Monsieur Bec sait comment faire pour nous enchaîner à ses bandes dessinées comme Prométhée à son rocher. On restera donc comme « attacher » à l'obligation d'une septième lecture.

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Prométhée, tome 11 : Le treizième jour

Fin du compte à rebours, ils sont là et ça va faire mal. L'humanité vit ses dernières heures. Christophe Bec est de nouveau aux fourneaux avec son second Stefano Raffaele et le résultat est époustouflant. le scénario est digne des meilleurs romans d'invasions extraterrestres et les planches sont à la hauteur des meilleurs blockbusters hollywoodiens : Indépendance Day n'a qu'à bien se tenir. Si notre technologie est complètement dépassée, notre seul espoir semble désormais résider dans des actions de harcèlement, d'embuscades ou de coup de mains.

Christophe Bec nous a redonné faim !!! On a vraiment envie cette fois-ci de dévorer le tome 12.

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Prométhée, tome 9 : Dans les ténèbres (1/2)

Le soufflé de notre grand chef Christophe Bec semble être retombé avec ce tome 9. Si la mythologie est toujours là pour faire le lien avec les extraterrestres et le danger qu’ils représentent pour l’humanité, si l’ufologie et la théorie du complot suivent leur petit bonhomme de chemin, l’histoire elle, commence à trainer en longueur et l’invasion tant attendue se fait attendre. Heureusement les dessins de Stefano Raffaele sont toujours là pour nous faire patienter et surtout rester à cette table du 13h13. L’ensemble de notre tandem franco-italien a malgré tout tendance à sentir un peu le réchauffé.

Nous arrivons bientôt à la moitié de la saga et un début de satiété se fait sentir et engourdir nos papilles délicates. Il est temps de faire quelque chose Monsieur Christophe Bec si vous voulez qu’on se délecte à nouveau dans votre cuisine.

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Prométhée, tome 8 : Necromanteion

Christophe Bec continue comme un grand chef qu'il est, a chatouillé nos papilles. En effet dans ce tome 8, il sait nous maintenir en appétit tout au long de son scénario. Son second, le talentueux Stefano Raffaele, sait lui par contre exciter nos pupilles avec ses dessins toujours aussi précis et d'un réalisme bluffant. Le tandem fonctionne à merveille dans un épisode qui offre enfin des explications plus claires pour les pauvres clients/lecteurs que nous sommes. La théorie du complot associée à l'ufologie en fait un met explosif qui reste bien entendu toujours servi à 13h13 comme il se doit.

La présence du titan Prométhée s'explique enfin et un lien entre Mythologie et présence des extraterrestres commence à se faire jour. Si le premier a donné le feu aux hommes pour les sortir du néant, les seconds auraient permis à l'humanité de progresser dans l'échelle du vivant.

Nous sommes à peine à la moitié de la saga qui comporte 21 tomes et pourtant on reste toujours aussi attaché à cette histoire. Rien que pour cela, on vous dit un grand bravo Monsieur Christophe Bec.

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Prométhée, tome 4 : Mantique

A la cantine de Christophe Bec, on y mange toujours bien et on y revient. Au menu de ce tome quatre, la mantique et la numérologie sont les principaux plats du Chef. Entre l'art de la divination et la science des nombres, l'ouvrage continue de nous entraîner dans une histoire palpitante et toujours pleine de rebondissements. Lorsque que toutes les catastrophes qui frappent notre bonne vieille Terre se produisent tous les jours et religieusement à 13h13 UTC et qu'on nous prédit une fin du monde (ou une invasion) dans les 13 jours à venir, on a envie d'en savoir plus et surtout de connaitre à quelle sauce on sera mangé. Enfin, pour les textes; ceux-ci sont plus denses et aident mieux à la compréhension de l'intrigue. Les dessins d'Alessandro Bocci, qui est accompagné cette fois-ci de Stefano Raffaele, sont pour leur part plus précis et d'une qualité presque photographique. Le questionnement c'est bien, les réponses c'est mieux. On espère enfin les voir servies à la table du tome cinq afin d'éviter qu'on se perde en chemin.
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Olympus Mons, tome 1 : Anomalie Un

1492, Gérard Depardieu, pardon Christophe Colomb (la ressemblance est troublante dans certaines cases) découvre le San Salvador… 2026, des chercheurs découvrent d'étranges objets au fond de la mer de Barents… de jeunes québécois cherchent à rendre leur émission sur l'archéologie moins virtuelle… Un médium s'interroge sur la pertinence de vider des lacs… Trois astronautes sur Mars se félicitent d'avoir tout oublié de leur formation…

Olympus Mons est la dernière création de Christophe Bec, auteur de Carthago ou encore Prométhée, portée, cette fois, par le dessin de Stefano Raffaele.

Anticipation, mystère archéologique, complotisme, extraterrestres… Des ingrédients qui ont déjà fait le succès de l'auteur. Et c'est certainement le principal écueil de l'album, le déjà vu. le lecteur passe sans cesse d'une scène à l'autre aux différents coins du globe, sous les mers et même sur Mars, l'intrigue lui est révélée par fragment. La narration est, sans surprise, ponctuée d'extraits de journaux de bord et de flashs télévisés. Un humour discret semble, malgré tout, poindre dans le choix de personnages, de situations originales, seuls espaces de nouveauté que Bec semblent s'être concédé pour ne pas sombrer dans l'ennui.

Un dessin réaliste, classique, à la limite du dépouillement mis en valeur par des couleurs maîtrisées, trop maîtrisées… les paysages sont vraiment réussis, quelques belles ambiances, malheureusement les visages restent trop plastiques à mon goût. Ce nouvel opus de Bec est de bonne facture mais ne bousculera pas ses lecteurs fidèles. En conclusion un album qui fera sans nul doute le bonheur des férus du genre, pour les autres… Quant à moi je m'interroge sur l'opportunité de vider l'océan mondial pour se débarrasser une bonne fois pour toute, des salopries qui se cachent au fond.

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Aurora, tome 1 : Phénomène

Stefano Raffaele et Christophe Bec avait déjà sévit ensemble inaugurant le premier des quinze opus de la splendide collection Les futurs de Liu Cixin, adaptation de nouvelles de l’auteur chinois de SF lauréat du prestigieux prix Hugo. Les voilà de nouveau réunis pour un projet sorti du fertile imaginaire de Bec.

Lors d’un phénomène étrange, une aurore boréale rouge ayant traversé la Terre sont nés 222000 enfants qui s’avéreront différents. Dans ce premier tome d’Aurora, nous en suivront certains et assisterons à de prometteuses capacités dont ils sont apparemment dotés.

Raffaele avec beaucoup de talent nous plonge dans ce monde dystopique mêlé de fantastique qui aiguise notre curiosité.

La lecture de ce premier volume nous laisse avec un énorme appétit qui ne se comblera qu’avec les prochains tomes. Une série à suivre.
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