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Critiques de Stephen Dobyns (18)
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Les Deux Morts de la Senora Puccini

Qu'ai-je lu? Je ne le sais toujours pas.

Dans une ville inconnue d'un pays inconnu qui ressemble à une nation d'Amérique Latine en proie à la répression militaire, des amis quinquagénaires qui se réunissent deux fois par an, se retrouvent un soir chez leur hôte le docteur Pacheco. Certains manquent à l'appel. Dans les rues, les militaires patrouillent, les balles fusent, et à l'intérieur de la somptueuse demeure, le danger peu à peu grandit.

Les invités, tous masculins, évoquent leurs vies, parlent des femmes, pendant que la gouvernante leur sert les mets les plus fins. Antonia Puccini, c'est son nom, obsède depuis toujours le docteur Pacheco. Il en a fait par le chantage et un accord douteux, une sorte d'esclave.

La nuit agitée est narrée par Batterby, un modeste journaliste littéraire diabétique (cela aura son importance) qui est fasciné depuis l'adolescence par son amphitryon.



Je ne m'attarderais pas plus longtemps sur l'intrigue, pour ne pas trop la dévoiler, mais le malaise fut grandissant. Difficile d'éprouver de l'empathie pour ces hommes, menteurs invétérés, médiocres, dont les relations sentimentales et sexuelles avec les femmes sont assez étranges. J'avais de Stephen Dobyns l'image d'un romancier versant dans le polar humoristique, mais Les Deux morts de la señora Puccini n'a vraiment rien d'amusant. C'est un huis-clos oppressant dans lequel des personnages détestables s'épanchent sur leurs fantasmes tout aussi détestables, face à une femme en apparence soumise depuis des années. Cluedo malsain, ce roman est une réussite si on prend en compte le talent de Dobyns, la manière dont il fait du lecteur un voyeur malgré lui, croyant être à l'abri de l'insurrection qui se déroule à l'extérieur, alors que le véritable danger se trouve à l'intérieur des murs de la résidence cossue de Pacheco. On termine cette lecture assez désarçonnée, oppressée, mécontente d'avoir été obligée d'assister au triste spectacle donné par ces quinquagénaires veules soumis à un manipulateur. Vite, de l'air…

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Un chien dans la soupe

Comment et quand ce « chien dans la soupe » s’est retrouvé dans ma PAL ? Je n’en ai aucun souvenir. Je sais seulement qu’il dort dans ma bibliothèque depuis plusieurs années. Ne sachant rien de ce roman ni de son auteur, totalement inconnu au bataillon, je n’étais pas impatiente du tout de m’y attaquer mais comme il correspondait à un item du multi-défis je me suis dit que c’était l’occasion de le lire et de m’en débarrasser. J’ai donc entamé ma lecture sans rien savoir de ce roman et je dois admettre que j’ai passé un bon moment, pas inoubliable, très anecdotique mais marrant.



Mais de quoi s’agit-il ? « Un chien dans la soupe est un périple nocturne trash, noir et déjanté. On suit Latchmer, un type lambda pas spécialement intéressant ni attachant, déambuler avec un vrai-faux chauffeur de taxi un brin givré et un chien mort dans un New-York aux allures d’antichambre de l’enfer. Comment il s’est retrouvé avec ce cadavre de chien et ce qu’il compte en faire, je laisse les futurs lecteurs le découvrir.

Le récit est vraiment ludique, ça se lit tout seul et très vite, on ne s’ennuie pas une seconde. Une chose est certaine, pour apprécier cette lecture, il ne faut pas être allergique à l’humour noir. « Un chien dans la soupe » est souvent drôle mais le roman ne joue pas sur le registre de l’humour subtil mais plutôt sur le noir, le trash et le politiquement incorrect. Le roman date de 1985 et je me demande s’il pourrait être publié tel quel aujourd’hui. En effet, Dobyns s’amuse régulièrement avec certains clichés autour de certaines communautés. Au cours de leur périple les personnages vont se retrouver aux prises avec, entre autres, des fourreurs juifs, des restaurateurs chinois, des clients d’un club SM… A chaque fois, l’auteur joue sur le ressort comique du cliché rattaché à cette communauté. Par exemple, dans le restaurant chinois dans lequel les protagonistes se rendent, on cuisine de la viande de chien. En 85 ce genre d’humour impoli et inapproprié passait, à notre époque où il faut veiller à ne plus blesser personne je ne suis pas certaine que ce serait le cas et le roman serait sans doute vilipendé. Moi, ça m’a fait marrer, ça finit même par être rafraîchissant ce ton inconvenant et pourtant, je le répète, le roman ne joue pas du tout sur un humour fin et subtil.

J’ai bien aimé le côté buddy-movie du récit. Le duo, quasiment un trio d’ailleurs, fonctionne bien. La dynamique des rapports entre Latchmer et Jean-Claude, le taxi, est efficace. Si je dis qu’il s’agit presque d’un trio c’est que Jasper, le chien décédé, occupe une place tellement centrale dans le récit qu’il en devient un protagoniste quasiment à part entière. S’il n’agit pas, il est tout de même un catalyseur de l’action. J’ai trouvé ce parti-pris bien trouvé.

Tout comme j’ai aimé aussi que des motifs se répètent tout au long du récit. En fait, chaque épisode de l’intrigue se déroule selon un schéma récurrent : Latchmer est introduit dans un milieu étrange au sein d’une communauté non moins étrange, la rencontre est cordiale, Latchmer fait une négociation qui n’aboutit pas, Latchmer raconte une histoire drôle au sujet d’un chien, l’histoire choque l’interlocuteur qui fout Latchmer à la porte. Ce choix narratif permet de créer une connivence avec le lecteur, une sorte de jeu entre l’auteur et son lecteur. Dobyns semble dire « tu sais les grandes lignes de ce que je vais raconter, mais attends de voir les détails, tu vas te marrer ». Et en effet, on se marre, notamment en attendant avec impatience le moment où Latchmer va raconter son histoire canine.



Il y a donc pas mal de choses que j’ai trouvées réussies mais « un chien dans la soupe » n’est pas pour autant un roman qui va me marquer. C’est une lecture plaisante mais un peu creuse. Il n’y a aucune profondeur dans ce roman, on éteint son cerveau et on se laisse porter. Ce n’est pas forcément un mal, c’est parfois agréable de s’offrir une lecture peu exigeante. Le souci c’est que le roman souffre de défauts qui l’empêche de se hisser au rang de divertissement de haut niveau. Tout d’abord, le roman n’est pas seulement creux intellectuellement, il l’est aussi émotionnellement. Au cours de la lecture, j’ai trouvé les situations amusantes mais à aucun moment je ne me suis attachée aux personnages. Ils peinent même à exister tant ils sont inconsistants. Ce sont des coquilles vides dont on se fiche bien qu’il leur arrive des malheurs. Pourtant, l’auteur semble chercher à donner une profondeur à son personnage principal. En effet, au fur et à mesure de ses tribulations nocturnes Latchmer se remémore des événements de son enfance. Cette promenade mémorielle aurait dû donner une consistance psychologique au personnage. Je n’ai pas trouvé que c’était le cas. J’ai trouvé ces passages longs, ennuyeux et prétentieux. Longs et ennuyeux car ils viennent casser le rythme du récit et ne racontent rien de bien passionnant. Prétentieux parce que ces passages m’ont donnée le sentiment qu’ils n’existaient que pour donner l’impression que le roman est plus profond que ce dont il a l’air, pour lui donner de la hauteur. Cela m’a semblé artificiel et j’ai eu l’impression que l’auteur voulait péter plus haut que son cul pour dire les choses crûment. Du coup, cette prétention nuit beaucoup à l’attrait du divertissement.



J’ai donc globalement passé un bon moment de lecture avec « un chien dans la soupe ». Je me suis bien marrée mais ce roman est loin d’être marquant. Je l’aurai sans doute oublié dans 2 mois.

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Un chien dans la soupe

Une nuit de chien à New-York..



La soirée avait pourtant bien commencée pour le timide Michael qui vient d'emménager à New-York , une invitation à diner ce soir chez Sarah, une grande asperge au sourire chevalin rencontrée au Nautilus, un club de remise en forme du coin...Tout deux bossent dans l'informatique...le courant passe...

Un petit détail, la mère sera aussi de la fête accompagnée de Jasper, son inséparable vieux chien rouge pétomane dont elle est follement gaga...

L'apéritif en cours, le canin affamé se jette sur le plat d'anchois.

Profitant d'un silence prolongé, Michael improvise une histoire de chien (l'histoire de Randy le Teckel et de la crotte en plastique) qui n'est pas du goût de la mère ni du chien. Jasper, la gueule pleine d'amuse-gueules, fait à ce moment un malaise cardiaque, et trépasse malgré une réanimation buccale de Michael .... Bonjour l'haleine..

Eplorée, la maîtresse supplie l'invité d'aller enterrer son amour de chien cette nuit même avec ses jouets et ses affaires personnelles.

Et Sarah, de son coté lui promet à son retour le fameux coup de la cocote minute...

Seul bémol, Micka ne connaît pas la grosse pomme, encore moins de nuit...Et avec le cadavre d'un chien de 35 kg sous le bras, ça complique les choses...La providence, l'arrêt d'un taxi piloté par Jean-Claude, un haïtien philosophe matérialiste, fan de Bob Marley qui connaît le New-York interlope comme sa poche et la valeur d'un chien mort... le service funéraire canin sera peut-être plus long que prévu...

Difficile de se débarrasser d'un chien mort à moins de le vendre mais à qui ? Jean Claude connaît la vie nocturne à NY qu'il va faire découvrir à son client déboussolé... laboratoires secrets de vivisection, tanneries clandestines, resto chinois, faune de Times square, Central Park "by night" et de joyeux bordels pas jojo...

Et pour se sortir des impasses de la nuit...Michael se découvre des superpouvoirs de raconteur d'histoires abracadabrantes de chien.



Un chien dans la soupe de Stephen Dobyns est roman inclassable paru en 1985. Une virée de nuit insolite et loufoque dans le New-York underground des années 80.



Les personnages sont très nouilles hors quais : un chien rouge moins rouge vif que mort, un chauffard de taxi genre Huggy les bons tuyaux, Jojo le roi du bordel, Dallas le travelo, Big Rosa et son collier de chien, Mamasan, une mémé chinoise qui fait de bonnes soupes de... et un drôle d'informatic(h)ien...



Ouaf ouaf, très drôle pour ceux qui aiment les blagues canines trash, l'humour décalé et une visite de nuit d'anthologie à la grosse pomme années Disco...Pour les autres, sérieux amis des bêtes, passez votre chemin...



Un chien dans la soupe, un roman noir jubilatoire qui a vraiment du chien.

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Sépulture

Il faut que je me calme avec Tanguy Viel !

Non, je ne l'idolâtre pas mais malgré moi "La disparition de Jim Sullivan" me trotte systématiquement dans la tête dès que j'aborde un auteur nord-américain.



Pour le coup, la chasse aux trucs du "roman américain" fut fructueuse mais ne carbonise pas le bouquin.

Stephen Dobyns parvient à reprendre nombre des caractéristiques singées par Tanguy Viel pour nous dresser le portrait caustique de l'envers du décor d'une bourgade américaine apparemment lisse.



Quoiqu'un rien excessif, l'enchainement des événements dramatiques suscités par la disparition d'une jeune fille est parfaitement mis en place, avec humour et un zest d'autodérision.

Dans ce contexte l'escalade collective de la peur et de la violence n'apparait, tout compte fait, pas si invraisemblable que ça.



Lecture tout à fait distrayante, bien joué monsieur Dobyns.





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Sépulture

Assez captivant bien que sans doute un peu trop long, Sépulture distille son angoisse avec un certain talent au fil des pages... Sur le thème assez classique d'une petite ville de province qui va progressivement basculer dans la folie, à la suite d'une série d'enlèvements de jeunes filles, l'ouvrage est assez angoissant... Tout le monde est suspect. le choix d'un narrateur assez énigmatique et transparent est troublant. Amateurs de joie de vivre, passez votre chemin...
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Sépulture

Un livre qui m'a bien tenu en haleine. Ce thriller ne bascule pas dans le gore, tout est dans le suspens. L'auteur force le trait sur cette petite bourgade et ses habitants, leur vie et surtout leur secret ! parce qu'on a forcément tous quelque chose à cacher, d'inavouable, la suspicion entre en jeu et voilà que le coupable peut être notre meilleur ami, notre père ou notre professeur ! personne ne sera épargné !

Parfois quelques longueurs mais ce livre a fait le job ! un moment appréciable de lecture.
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Sépulture

Un bon polar a qui il manque un peu de rythme et de rebondissements pour pouvoir rivaliser avec les grands du genre.Stephen Dobbyns nous offre néanmoins de tres bons passages litteraires et une histoire qui tient la route et garde un suspense de bout en bout du recit.
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Sépulture

Ce n'est pas pour l'intrigue que ce thriller m'a plu mais pour l'analyse fort bien menée de la montée d'une "panique colective" au sein d'une petite ville où tout le monde se connaît.

Cette panique collective conduit doucement l'ensemble de cette communauté paisible à se transformer en champs de bataille où la haine de l'autre, la stigmatisation de certaines minorités et la justice faite par soi-même deviennent la règle.
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Un chien dans la soupe

Un de mes livres préférés, on flotte dans la quatrième dimension à la lecture des aventures de Latchmer, des diverses rencontres et péripéties qui ponctueront cette nuit inoubliable... l'écriture est tellement fluide, et pourtant si touchante. Car si à la première lecture je me suis plus focalisé sur l'aspect humoristique, voire absurde, à la deuxième j'ai été bien plus touché par l'histoire elle-même... merci à Stephen Dobyns!
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Sépulture

Le meurtre d'une femme qu'on retrouve la main gauche tranchée. Puis une jeune fille est enlevée. La petite ville d'Aurélius est en émoi. Tout le monde est suspecté à tour de rôle. Les affaires de la victime sont déposées devant le bureau de Police. Puis une deuxième jeune fille est à son tour enlevée. L'histoire se répète mais qui en est l'auteur... Pour ma part, j'ai pas était passionné par ce roman.
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Persécution

J'ai lu ce livre, il y a plus de quinze ans , une relecture s'impose d'elle-même), et pourtant même si je ne suis pas spécialement porté vers les thrillers, je me souviens parfaitement du meurtre de ce bouquin. Persécution a le mérite de tenir le spectateur en haleine dans un huit clos sombre et angoissant (une école nichée dans les neiges en plein hiver), nous avons même là, un décors pour un film d'horreur. Toutefois, l'histoire va au delà de ça avec des personnages d'apparences normales mais cachant de véritables fêlures intérieures dont le froid et l'isolement accentuent le mal être intérieur. Je conseille ce livre et surtout si vous avez aimé les livres de Boris Starling qui sont de la même veine. Je reste un peu déçu que bon nombre des ouvrages de Dobyn n'aient pas été traduits en français.
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Un chien dans la soupe

Ceci n'est pas un polar!

C'est l'histoire d'un type, qui se retrouve avec un chien mort sur les bras, et qui n'a pas le cran d'aller juste l'enterrer dans un endroit potable. Je suis d'avis que de toute manière ce n'est pas son boulot, mais c'est une bonne poire, malgré le fait que ce ne soit pas vraiment un type gentil. C'est un peu un dégonflé, qui se souvient de son enfance, et qui en éprouve tout un tas de remords. Et pour accompagner son voyage afin de se débarrasser du chien, parce qu'il ne peut pas la faire courte, il aime à raconter des histoires de chiens qui ne finissent jamais bien, et mettent tout le monde mal à l'aise.

Lecture amusante mais décomplexée, sauce humour noir et grinçant, sur le gain financier poussé à l'absurde, et sur le trafic et la cruauté d'animaux, alors si vous êtes des défenseurs de la race canine, ce livre risque de vous ulcérer.
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Un chien dans la soupe

Un roman d'une haute portée philosophique qui répond à l'essentielle question: Comment se débarrasser d'un chien mort à New York en pleine nuit?

C'est l'initiatique épreuve à laquelle est confronté notre preux chevalier pour avoir le droit de conquérir sa belle. Formidablement sympathique !
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Un chien dans la soupe

Le titre annonce la couleur : on est dans un roman "décalé" ! Le fond de l'histoire est décalé. Les personnages sont décalés. Les anecdotes et récits du héros sont décalés. On adhère ou pas. Pour moi ce fut une lecture agréable : j'ai pris plaisir a découvrir ce texte très bien écrit. Mais ce type de roman ne pourrait constituer l'essentiel de mes lectures... car très éloigné de mon esprit sûrement trop cartésien.
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Un chien dans la soupe

Michael Latchmer est New-Yorkais depuis peu. Il arrive de Rochester, une petite ville. Pour se faire des amis, il fréquente une salle de sport, et ça marche, ce soir il est invité chez Sarah, une très belle jeune femme qui vit avec sa mère et leur chien Jasper. Malheureusement, lors de cette soirée qui annonce une fin en fanfare pour Michael, les propositions de Sarah étant sans équivoque, Jasper meurt d'une crise cardiaque. Trop gentil, Michael se propose d'aller l'enterrer dans un coin de campagne, comme le veut la mère de Sarah. Trois ou quatre heures aller-retour et le coup de la cocotte-minute promis par Sarah ! Evidemment, rien ne se passe comme prévu et Michael est pris en charge par Jean-Claude, un Haïtien, chauffeur de taxi qui va lui faire vivre une nuit inoubliable pendant laquelle lui comme nous allons rencontrer des personnages hauts en couleur. Une virée dans le New-York de la nuit, parfois drôle, parfois sordide, parfois déprimant.

Roman très drôle conseillé par Ys, certes pas philisophique (quoique ?), mais qui vous permettra de passer un bon moment. Une petite réflexion et le cheminement d'un homme, Michael, qui va comprendre beaucoup de choses pendant cette nuit ajoutent de la consistance à ce roman.
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Sépulture

Très soporifique, arrivé à la 150 ème page toujours rien ,une présentation des personnages qui n'en finit pas. Une intrigue peut-être mais si il faut arriver à la fin du livre pour la connaître. Le style est monocorde, pas de dialogues. Vraiment déçue alors qu'on m'en faisait les éloges.
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Persécution

Génial
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Un chien dans la soupe

Epique et humoristique.
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