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Critiques de Stephen R. Lawhead (116)
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Le Roi Corbeau, tome 1 : Robin

C'est un livre qui me fait vraiment envie depuis sa sortie en grand format alors vous imaginez aisément ma joie quand je l'ai enfin eu entre les mains. Cependant je lui ai trouvé quelques "défauts".

L'histoire est un peu longue à démarrer et il y a même une feinte - pas des moindres - vers la centième page je pensais, en toute sincérité, que le "vrai" récit commençait enfin mais non ... il faut encore attendre 200 pages supplémentaires où le gentil est dans le doute et où le méchant est très méchant, en d'autres mots ça stagne. Je dois donc avouer que ça m'a un peu empêché de rentrer totalement dans l'univers de ce roman et j'en suis bien peinée. Heureusement, je me suis vraiment régalée avec la deuxième "moitié". L’action est enfin là, on retrouve un peu ses repères (j’ai été déstabilisée par les noms : Bran, Iwan, Merian – et encore ce ne sont que ceux qui sont mémorisables !) bref la lecture devient vraiment beaucoup plus agréable et c’est un délice. Je pense aussi qu’il est préférable, mais pas indispensable, de connaître ou d’avoir déjà lu la « vraie » légende de Robin des Bois. Ne pas la connaître ne gène en rien la compréhension, mais moi personnellement, j’aurais bien aimé la connaître pour pouvoir comparer un peu, savoir ce qui a été rajouté par exemple.



Il n’y a rien à redire du style bien entendu, sauf peut-être certaines digressions de l’auteur auquelles je n’ai pas forcément accroché et que je lisais sans grand enthousiasme. Mais cela tient peut-être au fait que je n’étais pas totalement rentrée dans le roman à ce moment là. En tout cas vers la fin, cet aspect là m’a beaucoup moins gêné !



J’ai beaucoup aimé partager cette lecture avec les personnages, même si j’ai trouvé le milieu de l’histoire un peu long, la foison de personnages m’a donné envie de continuer ma lecture. Tant les « méchants » que les « gentils » car ils ont tous leur propre personnalité ce qui fait que même si on ne les aime pas forcément, ils sont tout de même intéressants, on se pose des questions sur eux. Et puis, ils ne sont pas forcément que gentils ou que méchants (même si je vous rassure, il y a vraiment des méchants irrécupérables), il y a des personnages un peu plus complexes que ça, plus ambigüs.



En conclusion, ce que je retiens de cette lecture : une histoire intéressante, qui même si elle met du temps à démarrer, est vraiment passionnante et dont j’ai hâte de lire la suite ! De plus, les personnages sont recherchés et ne sont pas simplement là « pour être là ». C’est un peu compliqué à expliquer comme concept mais parfois on a l’impression qu’un personnage n’est là que pour faire avancer l’histoire, ici ce n’est absolument pas le cas, ils se fondent très bien dans le récit. En découle donc une fluidité très appréciable ! Un livre à lire :)
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Le Roi Corbeau, tome 1 : Robin

Je suis très mitigé et cela va être dur de départager car c'est moyennement moyen.



D'un côté cette relecture de la légende de Robin des Bois est originale car l'intrigue est replacée 1 siècle en amont : le Pays de Galles remplace le Comté de Nottingham, les Gallois remplacent les Saxons, la rivalité entre Guillaume le Roux et Robert Courteheuse (parti à la 1ère croisade) remplace celle entre le Prince Jean et Richard Coeur de Lion (parti à la 3e croisade)… de plus il s'agit d'une modernisation du mythe : c'est très fluide et sans lenteur ou langueurs (même s'il ne se passe pas grand-chose de palpitant dans ce tome d'exposition). Cela se lit vite et bien avec des chapitres courts donc cela sait se rendre accessible aux easy readers et au grand public.



D'un autre côté c'est censé être la renaissance de la Légende, et niveau souffle de l'aventure ce n'est pas terrible. 5/6 scènes d'action pour un total de 20 pages dans un roman qui en comporte 400… C'est pauvre voire plat. Un auteur plus tonique nous aurait condensé tout cela en quelques chapitres et la trilogie devenait 1 seul livre !

Et puis c'est manichéen au possible, presque jusqu'au ridicule si on est exigent :

- Marianne devient Merian, une cagole celtique tiraillée entre sentiments inavouables et angoisses vestimentaires

- Petit Jean ne sert à rien, Frère Tuck ne sert à rien

- le grand peuple celte se résume à quelques dizaines de pécores braconnant dans la « vaste forêt primaire »

- Angharad triclassée guérisseuse / druidesse / barde sort d'on ne sait où, et un est un peu WTFuckesque…

- tous les Normands sont très très méchants, sauf un qui en plus est très très fourbe

- tous les Gallois sont très loyaux et très courageux, sauf un qui est très collabo car très peureux

L'emploi du vocabulaire français ne sert pas à grand chose à part donner une impression de french bashing. L'emploi du vocabulaire gaélique ne sert pas à grand-chose à part donner l'impression de celtique cheering. Après tout l'usage des mots cantrefs, marchogis et Ffreins n'apporte pas grand-chose à la prose. Pire le naming gaélique peut parfois horripiler car les noms sont plus ou moins imprononçables… Et pour faire bonne mesure on insiste bien sur la stupidité des hommes orgueilleux et des femmes frivoles



Quant au classement en Fantasy, il est hautement fantaisiste. le merveilleux dans ce roman se limite à Robin qui se renomme Rhi Bran le Hud et qui se sent l'âme d'un Jim Ellison dans "The Sentinel" après avoir ingurgité une mixture d'Angharad. Et ensuite, il se déguise en homme-corbeau pour aller accrocher de petits animaux morts dans les branches dans le but d'effrayer les soldats normands…

Les lecteurs se posent 2 questions :

1) Qu'est-ce qu'il a pris ? 2) Est-ce qu'il lui en reste ?



Le background s'étoffe dans les derniers chapitres avec la guerre civile normande, mais c'était un peu tard pour amener de la profondeur… Un roman quand même plutôt satisfaisant pour les easy readers, mais la Légende méritait bien mieux que cela : rendez-nous Sir Walter Scott !
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Le Roi Corbeau, tome 1 : Robin

Ce premier tome de la trilogie du Roi Corbeau nous présente un Robin des Bois d'une nouvelle mouture. Un nouveau nom, une nouvelle époque et un lieu différent sont bien expliqués dans la postface de l'auteur. Son écriture est fort plaisante, précise mais sans fioritures. L'histoire bien menée nous tient en haleine sans toutefois nous bousculer mais en posant parfaitement l'ambiance historique.
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Le roi Corbeau, tome 2 : Will

Nous découvrons Will Écarlate dans ce deuxième tome de la trilogie du Roi Corbeau. C'est lui qui depuis le fond de sa geôle va nous conter le récit de la guerre de libération des Gallois. Plutôt une guérilla, faite de coup de main très audacieux menés par Bran, le roi déchu. Alors que dans le premier tome, ce dernier hésitait à s'engager dans un combat qu'il n'osait même pas envisager. Désormais ce sont ses compagnons qui doivent le raisonner, tellement il est révolté par la cruauté des envahisseurs normands.
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Le roi Corbeau, tome 2 : Will

Après un premier tome en demi-teinte, ce second volume de la trilogie du "Roi corbeau" consacré à la légende de Robin des bois se révèle bien meilleur que le précédent mais ne m'a malgré tout pas vraiment convaincue. L'idée de prendre le personnage de Will l'Ecarlate comme narrateur est pourtant originale et permet au récit d'habillement se renouveler en nous faisant découvrir Bran sous un autre angle. L'action est également davantage au rendez-vous que dans le précédent volume, aussi les amateurs d'embuscades en tout genre, de sauvetages désespérées ou de supercheries des plus culottées (dont je fais partie) ne manqueront pas d'être ravis.



Le défaut majeur du roman tient selon moi à son rythme qui, s'il s’accélère peu à peu au fil du récit, n'en pâtit pas moins des allers et retours constants de l'auteur entre le présent et le passé de Will. Les interruptions du moine chargé de retranscrire le témoignage du protagoniste surviennent ainsi presque toutes les pages dans la première partie du récit et rendent assez difficile l’immersion du lecteur dans le roman. J'ai également peiné à me sentir impliquée par le sort des personnages dont la psychologie aurait méritée d'être davantage fouillée à commencer par celle de Bran ou encore de Mérian, malheureusement trop effacée ici. Un bon roman d'aventure mais guère plus.
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Le roi Corbeau, tome 2 : Will

De longs passages narratifs malgré un bon roman d'aventures !
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Le roi Corbeau, tome 2 : Will

Stephen R. LAWHEAD poursuit avec Will sa relecture de la légende de Robin des Bois. Après avoir proposé une genèse de la résistance, il entre dans le vif du sujet sous l’oeil d’un compagnon de Bran ap Brychan et sur fond d’agitation politique, à une époque où le pape Clément à Rome et le pape Urbain en France luttent pour la suprématie sur l’Eglise catholique.

Comme le premier tome du cycle, le résultat est un roman qui ne marquera pas durablement les esprits. Il se contente d’être un divertissement facile dans lequel l’intrigue comme les personnages sont trop convenus pour être plus que cela.
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Le roi Corbeau, tome 2 : Will

Enfin.

Robin, premier tome de la présente trilogie avait quelque peu refroidie mon enthousiasme à accompagner le rusé hors-la-loi dans une nouvelle tentative de faire triompher le bon droit face aux vils envahisseurs Ffreincs. Car faut-il le rappeler ici point d'anglo-saxonnes querelles, mais des envahisseurs Normands face à des résistants Gallois.

Un de ces gallois en particulier retient ici l'attention. C'est du fond de sa geôle qu'il présente le combat qu'il mène au service de Rhi Bran ap Brychan, l'héritier du royaume d'Elfael. Cet homme, c'est Will Scatlocke que les Ffreincs rebaptisent Écarlate tant son patronyme écorche leur langue. Will est issu d'une famille de forestiers sous les ordres d'un autre roi gallois. Monarque mort d'avoir voulu protéger ses terres plutôt que de jurer allégeance au nouveau pouvoir comme d'autres. Ayant tout perdu et refusant de courber l'échine, c'est guidé d'une rumeur parlant d'un mystérieux Roi Corbeau l'Enchanteur – Rhy Bran ap Hud – qu'il s'enfonce dans la forêt inviolée de Coed Cadw. Il rejoint les Cymri misérables dans leur difficile combat.

Tout ceci, ainsi que les aventures exceptionnelles qu'il a vécu auprès de ses compagnons, c'est lui qui les raconte. Du fond de sa cellule, il se livre au scribe Odo – serviteur du vil Abbé Hugo. Un jeu s'engage entre les deux hommes : Will sait que sa confession tresse peu à peu la corde qui va le pendre. Mais trainer en longueur pourrait lasser l'écrivain et son maitre et le conduire tout aussi vite à être exécuté. Les enjeux de ce monologue : Connaitre toute l'histoire du Roi Corbeau et son implication dans le vol de précieux objets lors d'une embuscade. Objets si précieux qu'ils accentuent la lutte en Ffreincs et Cymri. Mais le réponse à de tels emportements ne jaillira-t-elle pas de cette complicité nouvelle qui née peu a peu au fond d'une prison entre un condamné et son " confesseur " ?



Enfin donc. Enfin Stephen Lawhaed choisi de prendre un point de vue particulier pour poursuivre son récit. Introduisant Will Écarlate in média res, racontant les péripéties qui ont conduit à sa capture. Ce procédé – qui alterne dans le récit avec la traditionnelle exposition extérieure du tome précédent – implique l'auteur et ainsi, implique le lecteur. Basculant de profondeurs des basses-fosses des aventures de nos rusés gallois aux hauteurs des méandres de la politique normande, le récit étend enfin ses ailes. Tel un Roi Corbeau. On peut cependant regretter parfois son manque d'envergure. Mais reconnaître que Lawhead a su relancer mon intérêt pour cette évocation originale de l'histoire de Robin des Bois et de ses compagnons. Car qu'advint-il de Will après qu'il eût livré ses aveux ? Ce sera à vous de le découvrir...

... Avant de vérifier si ce récit tient ses promesses jusqu'à sa conclusion au tome trois...

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Le roi Corbeau, tome 2 : Will

Ne vous fiez pas trop à la 4ème de couverture qui à mon sens est assez éloignée de la réalité du récit. Il y a bien plus que ça. Will, le personnage principal, a en effet été capturé au cours d’une opération des hors-la-loi mais c’est presque secondaire. Le roman commence alors qu’il est enfermé dans les geôles du shérif, où il raconte son expérience sous les ordres du Roi Corbeau à un moine qui a pour mission de tout retranscrire. On a ainsi l’occasion d’en apprendre un peu plus sur ce nouveau personnage que nous n’avions jamais rencontré auparavant. Mais on retrouve également Bran - qui vit désormais dans la forêt en compagnie de sa « volée », la bande qui est sous ses ordres - dont le but n’a pas changé : récupérer le trône qui lui a été volé et faire payer aux envahisseurs normands. Cependant, rien n’est jamais simple.



La suite sur le blog :)
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Le roi Corbeau, tome 3 : Tuck

Dernier tome de la trilogie du Roi Corbeau, c'est au personnage de Frère Tuck qu'est confiée la lourde tâche d'apporter la conclusion à cette histoire. Frère Tuck est au même titre que Petit Jean entré dans la légende du talentueux archer luttant contre une injuste oppression. Mais tout comme les autres éléments de cette nouvelle variation sur le thème, il doit être examiné à l'aune de la vision de Stephen Lawhead.

Il est aux côtés de Rhi Bran ap Hut depuis les prémices de son combat pour reconquérir le trône de son père. Au XIe siècle, les descendants normands de Guillaume le Conquérant étendent leur domination au-delà le l'Angleterre sur les petits royaumes gallois. Aethelfrith, le moine mendiant est ici un personnage plus grave que le Frère Tuck de la légende. Il assiste presque impuissant à l'amoncellement de lourds nuages au-dessus du conflit entre Gallois et Ffreincs pour le royaume d'Elfael. Trahi après avoir fait appel à la justice du roi normand, Rhi Bran ne peut plus qu'aller chercher un soutien extérieur et tenter de rallier les derniers souverains gallois à son combat. Affaiblis par les audacieuses manœuvres menées par les acolytes du Roi Corbeau, ses adversaires n'ont plus qu'à faire appel au soutien de leur souverain et de ses armées. Avant tout homme de Dieu, Tuck essaye par tous les moyens de tempérer le caractère d'un Robin des Bois ombrageux et prie pour que le conflit ne s'envenime pas au point d'en arriver à de sanglantes extrémités. Mais Tuck est aussi homme de conviction qui suit son suzerain au travers de ses audacieux exploits. Il n’hésite pas à lever son gourdin contre les ennemis de la misérable communauté réfugiée dans les bois que gouverne le roi Bran. Saura-t-il faire entendre ses sages objections avant la fin ou n'y sera-t-il que pour donner l'extrême onction aux belligérants ?



Probablement cherchai-je en abordant cette nouvelle adaptation de la légende de Robin des Bois les thèmes familiers de l'affrontement entre le hors-la-loi juste et rusé contre de vils usurpateurs. Aussi n'ai-je pas totalement adhéré au point de vue de Stephen Lawhead. Mais l'auteur réussi ici par la conclusion qu'il donne à son histoire à me faire admettre un bon moment de lecture. Juste à regretter le style âpre et l'absence de souffle épique dans sa narration...

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Le roi Corbeau, tome 3 : Tuck

Cette troisième et dernière partie de la trilogie du Roi Corbeau décrit la contre-attaque de Bran pour libérer son royaume des envahisseurs normands. Pour l'occasion, c'est Frère Tuck qui est nommé personnage principal. Et effectivement, nous verrons qu'à la fin ce sera bien lui qui saura saisir l'opportunité de clore ce conflit dans les meilleurs conditions possibles pour les gallois. Mais auparavant, nous aurons droit à un florilège des incroyables ruses de Rhy Bran le Hud, le combattant pour la liberté du peuple gallois, qui deviendra au fil des chants des troubadours le fameux Robin Hood.
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Le roi Corbeau, tome 3 : Tuck

Troisième et dernier tome des aventures du Roi Corbeau, « Tuck » se révèle être une très agréable surprise après deux précédents tomes en demi-teinte. S. Lawhead semble avoir ici corrigé tout ce qui n'allait pas dans les autres volumes et c'est donc avec plaisir que l'on retrouve Bran, Iwan, Tuck, Will et les autres pour leurs dernières aventures. L'action se fait ainsi beaucoup plus présente et bien plus rythmée : enfin l'heure de la confrontation a sonnée entre les forces du Roi Corbeau et celles du shérif Glanville et de l'abbé Hugo. C'est l'occasion pour l'auteur de nous offrir de belles et prenantes scènes de batailles pour lesquelles S. Lawhead dispose d'un réel talent comme il nous l'avait déjà prouvé dans son « Cycle de Pendragon ».



Le départ de certains des protagonistes à l'occasion d'une mission dans le nord du pays offre également un dépaysement bienvenu et ravive l'intérêt du lecteur qui découvre de nouvelles têtes et de nouveaux enjeux. Les personnages quant à eux sont aussi attachants qu'avant, à commencer par le frère Tuck que l'on prend plaisir à suivre. Mérian revient de plus sur le devant de la scène tandis que l'on assiste à l'apparition d'une nouvelle figure, celle du fameux ménestrel Alan, qui s'était fait désirer dans les tomes précédents. L'auteur nous offre également un épilogue sympathique permettant de rattacher son histoire à la légende que l'on connait tous. Un final extrêmement bien réussi donc et qui rehausse de beaucoup la qualité de cette trilogie consacrée à Robin des bois et ses compagnons.
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Le voleur de rêves

Que sait-on exactement de nos rêves ? Ont-ils une signification ? Que se passe-t-il exactement quant on dort ? C'est ce que va tenter de découvrir le Dr Spencer lors de ses recherches sur la station spatiale Gotham qui est elle-même peuplée d'une colonie de scientifiques. Le Dr Spencer se porte volontaire pour être le cobaye de ses propres expériences. Cependant, il est loin de se douter qu'il va devoir affronter, au cours de son sommeil, qui se fait de plus en plus rare et difficile à trouver, une créature diabolique : le voleur de rêves. Ayant alors peur de s'endormir et manquant terriblement de sommeil, le Dr Spencer tombe peu à peu dans le dépression, à la limite de la folie.

Livre où se mêlent humains et extraterrestres et aux intrigues multiples et complexes, celui-ci est parfois difficile à suivre. Néanmoins, il est en même temps extrêmement prenant et nous tient en haleine jusqu'au bout. Alors, si vous n'avez pas peur de faire de cauchemars ou si vous êtes insomniaque, ce livre est fait pour vous...
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Le voleur de rêves

Histoire futuriste dans laquelle j'ai eu du mal à me plonger. J'ai persévéré et je ne l'ai pas regretté. En effet, l'histoire est prenante avec des personnages peut-être un peu stéréotypés mais attachants et nous emmène d'une station orbitale au fin fonds de l'Inde.
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Le voleur de rêves

J'avoue ne pas avoir accroché du tout. Si l'histoire au départ semble plutôt intéressante, je l'ai trouvé mal écrit, trop simpliste. Les personnages m'ont parus très superficiels et sans aucune profondeur, limite caricaturaux. La description du quotidien dans la station est intéressante, mais on a rapidement l'impression de tourner en rond sans que l'intrigue n'avance beaucoup.

Je suis sans doute passé à côté ...
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Les Croisades celtiques, tome 1 : La Lance ..

Le premier volet de cette trilogie allie histoire, croisades, mysticisme, fantasy et quête initiatique. Selon la légende, la lance de Fer que cherche le héros aurait percé le coeur de Jésus. A lire pour les amateurs de fantasy, histoires médiévales et croisades.
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De naissance mystérieuse je suis recueilli par Elphin, seigneur de Caer Cam. Je deviens le Grand Barde de Bretagne qui aura la vision du Royaume de l'Eté, salut de l'Ile des Forts. Mon nom signifie Front Clair, je suis :

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