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Citations de Steve Epting (21)


Pourquoi on se bat ? Pour rentrer. Pour se battre encore. Pour un monde meilleur, ou une chance d’en avoir un.
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On peut convaincre n’importe qui de n’importe quoi, tant qu’on a une histoire qui tient debout.
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Quelqu’un finira toujours par vous avoir. L’astuce, c’est d’avoir un coup d’avance.
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- Pour la mère patrie. Les autre continuent. Toutes des convaincues. Pour Irina, c’est une question de foi. Lydi avec la fougue de la jeunesse. Vera le grogne à voix haute à chaque tir. Pour la mère patrie. Je me rappelle la vague de réconfort que cette devise m’apportait, cette chaleur à chaque nouveau pas vers l’enfer. Mais ces jours appartiennent au passé. Les mots dont j’ai besoin, je ne peux pas le dire. Pour accompagner une balle que je pourrai jamais tirer.
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- Sur lequel tirer en premier ?
- Euh… L’officier ?
- Le sergent. Les officiers donnent les ordres, mais ce sont les sergents qui font bouger les choses. Les hommes se tournent vers eux.
- Alors l’officier ensuite.
- Non. Ensuite, celui à la mitrailleuse. Puis sont assistant. Et ensuite, vous tuez tous ceux qui s’approchent de cette arme. Ensuite l’officier, au cas où ils commencer à l’écouter. Si l’un d’entre eux a une radio, vous le descendez. Attention à ceux qui voudraient vous prendre à revers. Si quelqu’un s’enfuit, laissez-le partir… Sauf si vous manquez déjà de cibles. Changez de position tous les deux ou trois coups. Faites-leur penser qu’il n’y a aucun lieu sûr. Faites-leur croire qu’ils affrontent un fantôme.
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- Nous sommes au vingtième siècle, pas dans le Far West des Yankees. Je me fiche de savoir qui l’aura, que ce soit les pilotes de char, d’avion, qu’il se coupe la gorge en se rasant ou qu’il tombe dans un de vos pièges géniaux. Contentez-vous de le tuer… Ensuite les clowns de la propagande pourront faire ce qui leur chante.
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La guerre est un enchaînement d’horreurs. En élever une au-dessus des autres, c’est absurde.
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C’est une chose d’être prête. La question est de savoir à combien on est prête.
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- Je ne savais pas que je finirais comme ça. A me dire, c’est un nazi, pas un homme, avant de presser la gâchette.
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La bataille est une amante volage. Et elle peut changer d’avis en un clin d’œil.
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- Camarade major, nos hommes opèrent sur tous les fronts. Pourquoi cet homme vient subitement ici ?
- Je suis content que tu aies posé cette question. Il y a une rumeur d’une femme sniper avec trois cents victimes. Ils racontent des histoires sur elle. Personne ne sait vraiment s’il faut les croire. Les fascistes ont dû s’habituer à beaucoup depuis qu’ils nous ont envahis, mais des filles qui tuent leurs gars, c’est trop pour eux.
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- Ils nous font tout faire, maintenant. Équipage de char, soldat mitrailleur, personnel médical. Sans parler de ce que fabriquent les partisans. Les seuls postes qu’ils ne nous donnent pas sont dans l’infanterie… Parce que l’infanterie va au contact de l’ennemi. Elle se bat à coups de crosses, de baïonnettes, de rochers, de poings. De dents. Même si ça nous arrive quand même.
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- On s’est battus toute la nuit, on veut aller se coucher et je ne jamais nous réveiller, mas il faut qu’on écoute cette petite merde ? Nous dire qu’on a fait du bon travail, dans un bataille dont il ne s’est jamais approché. Nous dire de redoubler d’efforts. Je pense à ce capitaine au carrefour. Je devrais être immunisée aux héros condamnés, mais bon dieu, quel gâchis de soldat.
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- Quel genre de cinglé voudrait que la guerre se termine ?
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- Je ne jouerais pas trop avec eux, si j’étais toi, Lydi.
- Oh, ils ne mordent pas ! Bon toutou !
- Non, mais ils sont entraînés à courir sous les chars nazis avec des mines attachés sur leur dos. Ils ne vont pas le rester longtemps.
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- Qu’est-ce que cela change si je déteste les officiers politiques ? C’est comme si je détestais la peste bubonique. Ou le soleil qui se couche, ou la marée qui monte...
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- Hé hé hé. Minou-minou-minou.
- Qu’est-ce qu’il y a pour le dîner ?
- ‘sais pas. Ils sont en retard ce soir.
- Peut-être minou-minou-minou…
- Oh, Mari !
- C’est mieux que ce qu’ils mitonnent un peu plus loin à Leningrad.
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On ne peut jamais être trop prudent au service de la mère patrie !
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- Énerver notre officier politique, ce n’était pas la meilleure idée du monde. Il n’y a rien de drôle chez ces gens-là. Il y a bien, bien pire que Raisa, croyez-moi.
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- On déteste tous les Fritz, mais Vera adore détester les Fritz…
- Une technique d’interrogatoire extrêmement efficace.
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