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Citations de Sun Tzu (224)


L’invincibilité réside en soi. La vulnérabilité réside en l’adversaire.
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Se rendre invincible signifie se connaître soi-même.
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Si vous connaissez les autres et vous connaissez vous-même, en 100 bataille vous ne courrez aucun danger. si vous ne connaissez pas les autres mais vous connaissez vous-même, vous perdrez une bataille et on gagnerait une autre. si vous ne connaissez ni les autres ni vous-même, vous courez un danger à chaque bataille.
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Si vos forces sont 10 fois supérieur à celle de l’adversaire, encerclé-le. si ils sont cinq fois supérieur, attaquer-le. si ils sont 10 fois supérieurs, diviser les points si vos forces sont égales, combattez et vous le pourrez. si vos forces sont inférieures, rester sur vos gardes car la moindre erreur pourrait vous causer les pires conséquences.
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Une armée et comme un feu, si vous ne l’éteignez pas elle se consumera d’elle-même.
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Si vous utilisez l’ennemi pour vaincre l’ennemi, vous serez puissant partout où vous irez
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Les habitants sont la base d’un pays, la nourriture et le bonheur du peuple.
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Faites en sorte de remporter la victoire, et non de prolonger la guerre.
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"Celui qui connaît son ennemi et se connaît lui-même mènera cent combats sans danger."
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A l’inverse, l’effondrement de l’URSS est interprété comme un succès des États-Unis, soupçonnés, avec l’Occident, de vouloir remporter le même type de victoire sur la République populaire de Chine, celle-ci étant définie comme le dernier bastion du communisme par Deng Xiaoping lui-même, grâce aux théories de « l’évolution pacifique » du régime. Face à ce type de menace, la sécurité de la Chine se conçoit de manière « globale ». Elle inclut un aspect militaire, économique et politique. Ce dernier aspect se traduit en termes de « stabilité » interne, la sécurité « idéologique » et culturelle se considérant particulièrement menacée à l’heure d’internet et de la mondialisation généralisée. Le facteur moral qui désigne, chez Sun Zi, la capacité du souverain à assurer l'union de tout le peuple autour des objectifs fixés n'est aujourd’hui interprété qu’en termes coercitifs. A contrario, les régimes démocratiques, au premier rang desquels la démocratie américaine, sont perçus comme faibles par le pouvoir chinois, dès lors que l’expression des désaccords y nuirait à l’application d’une volonté unique.

[postface]
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Ceux à qui l’on ne peut pas donner d’ordre bien que l’on soit généreux, ceux que l’on ne peut commander bien qu’on les aime, ceux que l’on ne peut gouverner, bien que l’on soit juste avec eux, sont comme des enfants mal élevés, on ne peut rien faire avec eux.
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Lorsque les arbres se mettent en mouvement, c’est que l’ennemi approche. Lorsque les herbes, trop nombreuses, font obstacle, c’est que l’ennemi en prend l’apparence. Lorsque les oiseaux s’envolent, c’est que l’ennemi est en embuscade ; lorsque les animaux sauvages ont l’air affolés, c’est que l’ennemi est caché. Lorsque la poussière reste en suspension haute et fine, c’est que l’armée ennemie approche ; lorsqu’elle est basse et lourde, c’est que l’infanterie ennemie approche. Lorsqu’elle s’éparpille en lambeaux, c’est que l’ennemi ramasse du bois ; lorsqu’il y a peu de poussière et qu’elle vole de-ci, de-là, c’est qu’il y a un camp militaire.
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Pour conclure une guerre, il ne faut pas espérer que l’ennemi n’approchera pas, mais compter sur le fait que l’on est prêt à se défendre. Il ne faut pas espérer que l’ennemi n’attaquera pas, mais compter sur le fait que l’on est dans une position inattaquable.
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Mystérieux et secret, il faut avancer sans laisser de traces ; semblable aux esprits, il faut progresser sans faire aucun bruit. C’est ainsi que l’on pourra se rendre maître du destin de l’ennemi. Pour avancer sans pouvoir être arrêté, il faut se précipiter dans les vides de l’ennemi. Pour fuir sans être poursuivi, il faut aller si vite qu’on ne peut être rattrapé.
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Celui qui arrive le premier sur le champ de bataille pour y attendre l’ennemi sera reposé avant l’action, celui qui arrive le dernier sur le champ de bataille et se précipite au combat sera épuisé avant l’action. C’est pourquoi le bon combattant doit attirer l’ennemi et ne pas être attiré par lui.
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Les forces du bon combattant doivent être comme des pierres rondes dévalant une montagne haute de mille pieds.
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[...] celui qui connaît son ennemi et se connaît lui-même mènera cent combats sans danger. Celui qui ne connaît pas son ennemi mais se connaît lui-même remportera une victoire pour une défaite. Celui qui ne connaît ni son ennemi ni lui-même sera en danger à chaque combat.
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Le mieux est de soumettre l’ennemi sans combattre. C’est pourquoi, à la guerre, le mieux est de s’attaquer aux plans de l’ennemi. Puis de s’attaquer à ses alliances. Puis de s’attaquer à ses armées.
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[...] le général avisé doit se nourrir sur l’ennemi : manger un zhong de céréales appartenant à l’ennemi équivaut à manger vingt zhong de ses propres céréales ; consommer un tan de fourrage pris à l’ennemi équivaut à consommer vingt tan de son propre fourrage. C’est pourquoi celui qui tue un ennemi doit être puni.
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La guerre, c’est l’art de duper. C’est pourquoi celui qui est capable doit faire croire qu’il est incapable ; celui qui est prêt au combat doit faire croire qu’il ne l’est pas. Celui qui est proche doit faire croire qu’il est loin. Celui qui est loin doit faire croire qu’il est proche. Il faut attirer l’ennemi en lui faisant miroiter un avantage ; lorsqu’il est en pleine confusion, il faut s’en emparer. Lorsqu’il est groupé, il faut s’en garder. Lorsqu’il est puissant, il faut le fuir. Il faut le troubler en l’obligeant à agir avec emportement. Il faut profiter des éléments négatifs de son caractère pour le rendre trop sûr de lui. Lorsqu’il se repose, il faut le harceler. Lorsqu’il est uni, il faut le diviser. Il faut l’attaquer lorsqu’il n’est pas prêt, avancer là où il ne s’y attend pas. C’est ce qui donne la victoire au stratège, on ne peut rien transmettre à l’avance.
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