Amy Evans interviews Susan Kaye Quinn for #NAlitChat
[...]Ce n'est pas qu'il était impossible à un télépathe de garder un secret, juste que c'était très, très difficile.
Une sorte de secret de polichinelle vraiment énorme. Plus le secret est important, plus il est difficile de ne pas y penser et Simon et moi possédions un secret qui était éléphantesque.
I have come to the conclusion that truly, in your heart, you are a Romantic (…) one who believes there can be true and equal love between men and women. (…) I think you will not settle for a sham marriage of convenience, or even companionship, because you know there is something far superior. I believe you have been deeply and completely in love. (…) You are the sort of man who would move heaven and earth to make her your wifeif she were obtainable.
- As I looked at her, I realized we were becoming part of one other. It was like…
- … seeing your own reflection looking back at you in the mirror. It is not your face, not even your sexe. But it is you.
J'avais perdu Kestrel. J'avais perdu ma chance. J'aurais eu ma revanche sur toutes les horreurs qu'il avait déjà faites. La mort de Simon. Les expériences. Le camp. J'aurais pu en prévenir d'autres. Mais à présent il retournerait tout droit pratiquer ces tests sur les changelins que j'avais été obligée d'abandonner encore une fois !
– T'as pas idée. Parfois je me dis que tu as de la chance. C'est plus simple pour toi. Ne pas savoir ce que les
gens pensent en permanence.
– De la chance ?
J'été amère.
– Peut-être devrions-nous échanger nos places alors, et tu verrais le plaisir que c'est d'être un zéro.
Il s'agit de notre commencement à nous ! Le début de notre futur, où nous n'aurons plus à cacher ce que
nous sommes. Ni à vivre dans le noir, ni à fuir devant des insectes de métal et du gaz orange. Un futur où vous pourrez vivre la vie que vous méritez.
Il grimaça légèrement et je savais ce qu'il était en train de penser sans avoir à lire dans son esprit. Je l'avais déjà blessé. Quand j'avais choisi Simon, quand je ne lui avais pas fait confiance. Quand j'étais partie.
Si tout ceci n'était qu'une erreur, Sénateur, il serait peut-être bon que vous y remédiez tout de suite, suggéra Maria. Faites libérer les prisonniers à l'instant. Un geste de bonne volonté qui rassurera le grand public.
– Nous ne serons jamais comme eux, Kira. Sans compter que nous ne sommes là pour le moment uniquement pour passer le temps. Il y a deux plus grandes choses qui nous attendent.
S'il il y avait une justice dans ce monde, nous retrouverions Raf sain et sauf. Mais quelle que soit la manière dont cela se passerait, je devrais m'en aller à nouveau.