#harlequin #summerreading #bookrecommendations
In this video:
Love, Hate and Clickbait by Liz Bowery
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Here for the Drama by Kate Bromley
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Fool Me Once by Ashley Winstead
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Talk Bookish to Me by Kate Bromley
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Welcome to Serenity by Sherryl Woods
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Temptation Ridge by Robyn Carr
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Sweet Home Alaska by Jennifer Snow
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Alaska Dreams by Jennifer Snow
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Ruthless by Gena Showalter
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The Perfect Murder by Kat Martin
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Country Born by Linda Lael Miller
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When Justice Rides by B.J. Daniels
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Thief of Fate by Jude Deveraux
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Long Past Summer by Noué Kirwan
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The Sister Effect by Susan Mallery
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C'était une femme traditionnelle qui ne serait pas sortie de chez elle sans maquillage, apportait toujours un plat cuisiné quand il y avait eu un décès dans une famille et qui, jamais au grand jamais, n'aurait pris un apéritif avant 17 heures.
Pour moi, elle est intelligente, directe, elle a de l’humour… En outre, elle joue un rôle prépondérant dans notre petite communauté, ce que j’admire tout particulièrement. J’ajouterai qu’elle est courageuse, qu’elle ne tolère aucune faiblesse, ce qui me plaît encore davantage. Bref, c’est le genre de femme dont on ne se détache pas facilement.
Dans son esprit, il fallait être particulièrement superficiel pour juger les gens sur leur apparence. La beauté pouvait être intérieure. Une belle plastique était loin de garantir la grandeur d’âme.
De tout temps, la colère avait été plus salvatrice que les larmes. En plus d’exécrer la tristesse, elle détestait se trouver en position de faiblesse et avait les larmes en horreur. Cela ne lui ressemblait tellement pas, à elle qui se targuait d’être forte !
Piège pour une héritière :
— Vous m’aimez beaucoup?
— Assez.
— Combien signifie « assez »? Beaucoup? Plus que la crème glacée?
Un sourire s’esquissa au coin de ses lèvres.
— Oui. Plus que la crème glacée.
— Plus qu’un fusil à laser?
— Je n’ai pas de fusil à laser.
— Mais si vous pouviez en avoir un? Si vous pouviez avoir le seul fusil à laser de l’univers, vous m’aimeriez plus que ça?
Il réfléchit à la question, puis secoua la tête.
— Non. Pas plus que ça.
Peut-être était-elle censée être sérieuse, mais elle ne put s’empêcher de rire.
— Donc, je suis entre la glace et un fusil à laser?
— C’est plus ou moins ça.
Ce n’était pas si mal.
L'inconnu de Crystal Creek :
Buchanan était pire qu’un cauchemar, il était réel…
Notre vie quotidienne étant de plus en plus souvent régie par les nouvelles technologies, un grand nombre d’entre nous cherche à renouer avec des plaisirs plus simples. Depuis quelques années, on assiste à un retour aux sources, de la part des vacanciers. C’est pourquoi Natur’Vacances proposera aux familles de se retrouver, dans un cadre agréable, tout en découvrant l’art de vivre d’une époque aujourd’hui révolue. L’idée est de travailler dans une ferme, de se rapprocher de la nature et d’oublier le quotidien.

Finn était bien résolu à se montrer raisonnable. De toute façon, il n’obtiendrait rien en élevant la voix ; légalement, ses deux frères étaient libres de leurs choix. Reste que, majeurs ou non, ils faisaient une belle paire d’imbéciles.
— Joli, dit-il en jetant un regard circulaire au mobilier fatigué. J’adore la décoration.
Sasha avait pâli en le voyant, mais il riposta avec énergie :
— Ce n’est pas la peine de faire de l’ironie. Qu’est-ce que tu fiches ici ?
— Je viens vous chercher.
En voyant les jumeaux échanger un regard stupéfait, Finn secoua la tête.
— Vous avez vraiment cru qu’un e-mail serait suffisant ? Que j’allais juste dire « Pas de problème, amusez-vous bien, on s’en fiche si vous laissez tomber vos études au dernier semestre » ?
— On ne voulait pas disparaître sans un mot, maugréa Sasha d’un ton boudeur.
— Oui, et j’ai apprécié, figure-toi. C’est d’ailleurs pour vous remercier de votre attention que je suis venu.
Ses frères ne trouvèrent rien à répliquer. Il les contempla quelques instants sans rien dire. Furieux, Sasha le défiait du regard mais Stephen se contentait de le fixer, les yeux sans expression particulière — il avait toujours été le moins expansif des deux. Si ses jeunes frères se ressemblaient comme deux gouttes d’eau, ils avaient des personnalités très différentes. Sasha se montrait chaleureux, impulsif, instable ; Stephen, lui, ne s’exprimait guère mais était beaucoup plus réfléchi. Finn comprenait que Sasha soit venu en Californie sur un coup de tête, mais Stephen ?
« Reste calme, se sermonna-t-il. Ne crie pas, discute. » Il ouvrit la bouche et hurla :
— Mais à quoi pensiez-vous, bon sang ! Il ne vous restait qu’un semestre à tenir, un seul ! Vous n’aviez qu’à terminer vos cours et vous aviez un diplôme, une qualification sur laquelle vous pouviez compter, quoi qu’il arrive. Mais non, c’était trop simple ! Vous avez préféré tout laisser tomber, et pour quoi ? Pour vous dandiner devant les caméras d’une émission parfaitement débile !
Les jumeaux échangèrent un regard. Sasha se redressa, respira à fond et lança :
— L’émission n’est pas débile. Pas pour nous.
— Oui, bien sûr, vous êtes tout à fait capables de faire la différence ! Vous êtes des professionnels, vous savez exactement dans quoi vous vous lancez ! J’aimerais vous enfermer tous deux dans cette fichue chambre jusqu’à ce que vous mesuriez l’ampleur de la bêtise que vous êtes en train de faire !
Stephen hocha la tête.
— On s’en doute. C’est pour cela qu’on ne t’a pas dit ce que l’on comptait faire avant d’être arrivés ici. Ecoute, Finn, nous ne voulons pas te faire de peine, ni te causer du souci, mais tu t’accroches trop à nous.
C’était la première fois qu’un de ses frères exprimait son désir d’indépendance avec autant de tact mais, ce détail mis à part, il n’était pas question d’indépendance pour l’instant.
— Vous devez terminer vos études ! lança-t-il. Je ne vous demande rien de plus, juste de décrocher votre licence.
— Tu parles ! répliqua Sasha, hors de lui. Tu jurais qu’on n’avait qu’à décrocher notre diplôme de fin d’études et tu nous lâcherais la bride. Mais tu nous as tout de suite remis la pression pour que l’on aille à l’université, et tu n’as jamais cessé de nous tanner pour nos résultats !
Finn vit rouge, mais il s’efforça de se contrôler.
— C’est un reproche que tu me fais ? C’est un crime de vouloir que vous ayez votre chance dans la vie ?
Ainsi, penser à Matt ne lui donnait plus envie de pleurer à chaudes larmes. Elle arrivait même à prendre assez de recul pour admettre son erreur et en analyser le processus. Pour Matt, elle avait représenté la cible idéale sur laquelle exercer sa séduction, et si, à présent, grâce à la sagesse acquise après cette amère expérience, elle n'avait aucun mal à voir clair dans son jeu, à l'époque, elle n'était malheureusement qu'une oie blanche.
Bien que le temps soit cruel, vieillir a du bon, parfois.