Takuma Morishige

S’il ne révolutionne pas la série, ce 8ème tome des aventures de Séki réserve tout de même une petite nouveauté. En effet, dans ce volet, il arrive que le turbulent Séki se fasse surprendre par les profs. Petit changement sympathique. Pour le reste, la mécanique reste la même. Certaines histoires sont réussies, d’autres moins. Mes préférées du tome : le roman photo avec la famille de robots et surtout celle où Séki concocte un jeu de plateau qui fait furieusement penser à Mad Max.

Je crains toujours que ce genre d’histoire entièrement basé sur un concept ne tourne en rond très vite. J’étais donc plutôt sceptique en attaquant ce 2ème tome de « Séki, mon voisin de classe ». Et pour le moment, je dois dire que Morishige s’en sort très bien. Dans ce 2ème volet, la mécanique reste la même : un cours = un jeu de Séki sous les yeux de Rumi. Mais Morishige pousse tellement loin certaines situations qu’il est impossible de ne pas rire (le passage de l’art floral pratiqué avec les pieds est irrésistible). L’auteur a la bonne idée de parfois faire sortir le récit de la salle de classe, par exemple on a droit à une randonnée en forêt et à un chapitre à la cantine. Ces sorties permettent de renouveler le récit tout en conservant la même mécanique indispensable à l’efficacité du comique de répétition. Mais la grosse réussite de ce tome, c’est l’introduction d’un nouveau personnage. Alors que dans le 1er volet, tous les chapitres étaient vus du point de vue de Rumi, ici certains chapitres adoptent le point de vue de Goto, une camarade de classe de Rumi et Séki, ce qui permet de mettre en place un quiproquo bien rigolo.



La série compte à ce jour 10 tomes. Je ne sais pas si Morishige parvient à maintenir l’intérêt sur la durée, peut-être me lasserai-je avant. Pour le moment, je prends plaisir à lire cette série. Bien joué Morishige !

Ce 7ème tome, comme les précédents, est très anecdotique mais permet de passer un moment agréable. C’est la lecture idéale d’une fin de journée, juste avant de dormir, lorsque le cerveau est déjà bien fatigué. On se détend, on sourit et le lendemain c’est déjà oublié.

Séki est le voisin de classe de Yokoi. Alors que la jeune fille cherche à écouter le cours et à réussir, le jeune garçon laisse libre jeu à son imagination et passe son temps à développer des scénarios de jeux.



Si au départ Yokoi cherche vraiment à empêcher Séki de jouer en toute impunité afin de ramener son attention vers le scolaire et lui permettre d'écouter, au fil du temps, elle se prend elle-même à commenter et parfois à participer à ses lubies.



La plupart sont des variantes de jeux de société car il est bien difficile de jouer tout seul ! Séki semble avoir planifié chaque heure de cours comme un parcours d'amusement...



Peu à peu une certaine complicité se noue entre les deux élèves...



A chaque chapitre de ce manga correspond un cours. La plupart des scènes ont lieu au sein de la classe mais quelques unes nous amènent à l'extérieur, que ce soit lors d'une sortie scolaire ou encore plus simplement à la cantine.



La variation se fait aussi sur le cours qui sert de cadre à l'aventure avec par exemple une séance qui met en scène le cours d'arts.



Mais le point fort de ce manga est qu'il nous permet de découvrir une grande variété de jeux dont beaucoup s'ancrent dans la culture japonaise comme le jeu de go, le shogi ou bien l'art floral !



Leur adaptation par l'esprit sans limite du jeune garçon est toujours un vrai plaisir et une surprise pour le lecteur.



Une série à découvrir ! (deux tomes parus)
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..

Globalement, j'ai trouvé ce 9ème tome un peu faiblard. Les histoires sont amusantes sur le moment mais très vite oubliées. Mais, paradoxalement, c'est ce moins bon tome qui comporte, à mon avis, la meilleure histoire de la série. J'ai adoré l'histoire dans laquelle Séki donne vie à une marionnette à son image, marionnette qui elle-même joue aux mêmes genres de jeux que Séki. Audacieuse et originale mise en abyme pour un livre destiné à un jeune public...

Rien de nouveau dans ce 6ème tome. Séki est toujours aussi foufou et Rumi est elle aussi toujours aussi fofolle. La dynamique de leur duo fonctionne toujours bien et l’ensemble est toujours aussi amusant. Bien sûr il ne faut pas s’attendre à être surpris par autre chose que les jeux de Séki mais si on accepte l’idée ce 6ème volet, comme les précédents, permet de passer un bon moment. Vite lu, vite oublié mais décidément agréable.

On a tous eu au cours de notre scolarité un élève dans sa classe qui, au lieu d’écouter le cours, bricolait des trucs sur son bureau avec ses fournitures. En général, quand on se retrouvait à côté, il était difficile de suivre le cours, non pas que le bricoleur soit bruyant mais il y avait un côté fascinant, hypnotique. C’est ce genre de situation qui constitue le point de départ de « Séki, mon voisin de classe ». L’histoire est racontée du point de vue de Rumi, une jeune fille qui a pour voisin de classe Séki, qui passe son temps à bricoler ou à jouer pendant les cours. Du coup, Rumi a bien du mal à se concentrer.



Chaque chapitre correspond à un cours et donc à une loufoquerie de Séki. Le même schéma se répète donc de chapitre en chapitre. Il y a un côté répétitif mais qui participe pleinement à la réussite de ce manga. En effet, le comique de répétition fonctionne plutôt bien, d’autant plus que le concept est poussé assez loin, parfois jusqu’à l’absurde, Séki ne se contentant pas de faire des petits jeux discrets. A chaque début de chapitre, on se demande « qu’est-ce qu’il va encore nous inventer ? ».

Bien entendu, certains chapitres sont plus réussis que d’autres mais c’est globalement très plaisant.



Pour que je ne me lasse pas il faudra que les tomes suivants renouvellent la mécanique mais pour le moment je suis charmée et c’est avec curiosité que je vais poursuivre la série.

Petite déception pour ce titre e, ce qui me concerne. Je m'attendais à rire à gorge déployée pendant 165 pages mais finalement, ben, je n'aurais esquissé que quelques sourires timide.



Le pitch est simplissime, Séki est un élève qui préfère passer le temps à jouer (ou construire des trucs et des machins, ou à nettoyer son bureau, ou... Enfin, à tout faire sauf écouter les cours) mais à part sa voisine de classe personne ne semble jamais rien voir et celle ci est régulièrement distraite par l'observation de ce garçon si singulier.



Ça aurait pu marcher. Ça aurait même pu courir. Sauf que les histoires se répètent un peu trop vite; Rumi observe son voisin de classe entrain de faire une chose totalement improbable, telle que faire un château de sable, elle s’énerve intérieurement contre lui qui n'est jamais attentif en classe mais elle n'arrête pas de l'observer si bien qu'elle en oublie d'écouter le cours et qu'elle fini par se faire remarquer par le prof.

Les 15 cours vont se dérouler presque exactement de la même façon, toujours sur ce même scénario, pratiquement sans variante.



Et si au début nous sommes intrigués et curieux d'en savoir plus au sujet de Séki (mais pas vraiment de Rumi en fait, je l'ai même trouvée un peu chiante par moment) notre intérêt se lasse vite alors que les gags se suivent et que le garçon ne prononce toujours pas un mot, n’a même pour ainsi dire aucune interaction ni avec Rumi ni avec les autres élèves.



Ce manga est comparé à L’élève Ducobu sur le bandeau l'entourant pour sa sortie mais je ne leur ai pas trouvé beaucoup de points commun, déjà il n'est a aucun moment spécifier que Seki est en échec scolaire, au contraire ça ne m'étonnerait pas que l'on apprenne dans quelques tomes qu'il est premier de sa classe. Aussi j'ai beaucoup plus ri il y a quelques années devant le cancre à rayures (de la BD, hein ! Pas de l'adaptation bousiforme qui en a été tirée !) qu'ici.



Cela dit il faut quand même reconnaître que certaines idées m'ont donné à sourire, je ne peux donc pas honnêtement donner un zéro pointé à cette histoire, et peut-être que le tome 2 remontera un peu le niveau ?



Le dessin, lui, est agréable à regarder mais sans rien avoir non plus de transcendant.

Du coup c'est une lecture qui passe le temps mais de la à avoir envie de se procurer le tome 2 ça reste vraiment à voir...

Le détail qui fait mal : A la limite j'ai trouvé les bonus plus drôles que l'histoire principale. Oups.
Lien : http://www.kobaitchi.com/arc..

Séki : Mon voisin de classe est encore une fois typiquement le genre de titre vers lequel je ne serais pas allée de moi-même et pourtant je me suis beaucoup amusée à sa lecture. C’est un titre frais mais à l’humour et aux références typiquement japonais qui ne plaira pas à tout le monde.



Dans des chapitres très courts, qui relèvent presque du comic strip nous suivons les farces toujours plus lourdes que Séki commet en classe et à l’école en général sous le regard souvent médusé de sa voisine. C’est très drôle, complètement loufoque mais à lire à petite dose. Je verrai très bien ce titre découpé en chapitre dans nos magazines, journaux, comme ce fut le cas de Boule et Bill ou du Petit Spirou dans le Télé Poche quand j’étais enfant.



Le trait est très simple, comme ça convient pour ce genre de titre. Il est rond mais drôle et expressif. Le titre repose surtout sur l’humour des situations de plus en plus rocambolesques que crée Séki. Le nombre de personnages est ultra limité puisqu’il se limite à Séki et sa voisine, les autres élèves et professeurs n’étant là qu’en trame de fond. C’est un titre très simple, sans prise de tête, un peu tranche de vie qui fait référence à la culture japonaise : jeux de société, fêtes, histoire, culture populaire, etc.



Séki : Mon voisin de classe est donc un titre fort amusant mais qui se lit à petites doses histoire d’agrémenter un quotidien parfois morose.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..

Ce 5ème tome n’apporte rien de vraiment nouveau par rapport aux précédents si ce n’est l’apparition, amusante, de la mère de Séki. Bizarrement, malgré ce manque de renouvellement, je prends toujours autant plaisir à lire cette série. Il y a un incontestable effet de comique de répétition.

Il y a un aspect que je trouve particulièrement réussi dans cette série, c’est la dynamique du duo Rumi / Séki car l’un ne va pas sans l’autre. On peut même se demander si Séki s’adonnerait à ses fantaisies s’il n’avait pas un public en la personne de Rumi. Et quel public ! Finalement, la jeune fille est tout aussi farfelue que son voisin de classe et elle aussi déborde d’imagination. Quand Séki imagine une nouvelle distraction, elle rentre dans le jeu et le vit à fond.



Cette série est en train de devenir un de mes petits péchés mignons, un petit plaisir coupable.

Rien de nouveau dans ce 4ème tome, la mécanique est toujours la même. Et pourtant, j'avoue que je me laisse prendre au jeu à chaque fois, me demandant "que va-t-il encore inventer ?"

En fait, c'est la lecture idéale quand je suis trop fatiguée pour lire quelque chose de plus consistant. C'est très vite oublié mais, sur le moment, j'ai été divertie.

Rumi est une élève studieuse et sérieuse. Sa seule ombre au tableau : son voisin de classe Séki. Le jeune homme passe son temps à tuer le temps en bricolant, s’amusant, inventant toutes sortes d’activités pendant les cours. Manga qui met à l’honneur l’imagination et la créativité. Le lecteur se laisse emporter tout comme Rumi lorsqu’il découvre une nouvelle activité de Séki et veut savoir ce qu’il a encore inventé. L’auteur arrive à se renouveler sans cesse, déjà cinq tomes et le lecteur ne se lasse pas. Manga tout à fait lisible avec des dessins très détaillés et des cases respectées. Surprenant, agréable, original…

Rumi est une élève studieuse et sérieuse. Sa seule ombre au tableau : son voisin de classe Séki. Le jeune homme passe son temps à tuer le temps en bricolant, s’amusant, inventant toutes sortes d’activités pendant les cours. Manga qui met à l’honneur l’imagination et la créativité. Le lecteur se laisse emporter tout comme Rumi lorsqu’il découvre une nouvelle activité de Séki et veut savoir ce qu’il a encore inventé. L’auteur arrive à se renouveler sans cesse, déjà cinq tomes et le lecteur ne se lasse pas. Manga tout à fait lisible avec des dessins très détaillés et des cases respectées. Surprenant, agréable, original…

Rumi est une élève studieuse et sérieuse. Sa seule ombre au tableau : son voisin de classe Séki. Le jeune homme passe son temps à tuer le temps en bricolant, s’amusant, inventant toutes sortes d’activités pendant les cours. Manga qui met à l’honneur l’imagination et la créativité. Le lecteur se laisse emporter tout comme Rumi lorsqu’il découvre une nouvelle activité de Séki et veut savoir ce qu’il a encore inventé. L’auteur arrive à se renouveler sans cesse, déjà cinq tomes et le lecteur ne se lasse pas. Manga tout à fait lisible avec des dessins très détaillés et des cases respectées. Surprenant, agréable, original…

Ce manga se lit comme une série de sketchs mettant en scène l'ingénieux pitre Séki et sa sérieuse voisine de classe qui aimerait bien pouvoir suivre le cours. Ca ne vous rappelle rien ? La BD L'élève Ducobu bien sûr ! L'éditeur le met d'ailleurs en avant sur le bandeau promotionnel qui accompagne Séki.



Séki passe son temps à imaginer des jeux improbables pour s'occuper au lieu d'écouter ses professeurs, et on peut dire qu'il a une imagination débordante ! Incapable de se concentrer, Rumi, intriguée, l'observe et commente ce qu'il fait, avant de finir par se faire disputer par le professeur.



On découvrira dans ce manga des jeux traditionnels japonais méconnus, mais sinon, les sketchs et l'humour deviennent vite répétitifs et assez lassants.
Lien : http://ocalypso.canalblog.co..

Rumi est une élève studieuse et sérieuse. Sa seule ombre au tableau : son voisin de classe Séki. Le jeune homme passe son temps à tuer le temps en bricolant, s’amusant, inventant toutes sortes d’activités pendant les cours. Manga qui met à l’honneur l’imagination et la créativité. Le lecteur se laisse emporter tout comme Rumi lorsqu’il découvre une nouvelle activité de Séki et veut savoir ce qu’il a encore inventé. L’auteur arrive à se renouveler sans cesse, déjà cinq tomes et le lecteur ne se lasse pas. Manga tout à fait lisible avec des dessins très détaillés et des cases respectées. Surprenant, agréable, original…

Point tombée sous le charme de Séki, cet hurluberlu qui invente de nouvelles manières récréatives de passer le temps en classe. Il ne ménage pourtant pas sa peine dans ce premier tome avec des batailles de shogi, de création d’origamis ou encore d’atelier de couture ultra kawaï. Et tout ça pendant les cours, parce que bon, c’est bien connu, écouter le prof en classe, c’est d’un chiant… (non, ce n’est pas moi qui le pense, mais Séki ma bonne dame).



...la suite sur mon blog !
Lien : https://avideslectures.wordp..

Ce 3ème volet ne profite pas des développements qu’avait pu amener le 2ème tome et ronronne dans une certaine routine.

On ne s’ennuie pas, certaines saynètes sont vraiment drôles mais ça commence à tourner en rond.

J’espère que le tome suivant se montrera plus audacieux.

Une découverte pour moi, car hormis les death note je n'avais jamais lu de manga. J'ai apprécié cette découverte, même si la lecture en sens inverse m'a demandé un petit temps d'adaptation.



J'ai troué ce tome original et drôle. Même si la répétition du même schémas m'a quelque peu lassée vers la fin.



Je pense que c'est un bon manga pour les novices comme moi!



Je le recommande.



Bonne lecture à tous.

Lequel est le moins concentré des deux ?



Résumé : Yokoï tente d’écouter sérieusement ses professeurs mais son voisin de classe Séki la dissipe par ses activités (ré)créatives.



Genre : Fait de société

Thématique : Les jeux



Décor : Dans différentes salles de classe, sur le terrain de sport et dans la cour. Les plans d’ensemble alternent harmonieusement avec les gros plans sur les objets apportés par Séki.



Personnages : Yokoï est une jeune fille sérieuse qui veut s’appliquer à l’école et respecte les règles. Elle s’indigne lorsque son voisin de classe les ignore et se permet tout et n’importe quoi.

Séki est un garçon passionné de jeux de toutes sortes, très inventif mais muet. Jamais on ne l’entend prononcer un mot ! Jamais il ne s’occupe de ce qui se passe autour de lui.



Avis personnel : Ce manga est bien un shojo puisque nous suivons les pensées de Yokoï toutefois il est très centré sur les activités de Séki. J’ai personnellement trouvé les chapitres assez répétitifs : une nouvelle invention de la part de Séki, Yokoï résiste puis cède à la tentation de suivre ses agissements, découverte de ce que préparait vraiment Séki puis Yokoï se fait gronder par le prof.

Certains passages m’ont beaucoup amusée comme par exemple lorsque Séki ouvre un service de poste dans la classe ! D’autres passages sont complètement improbables comme celui avec les chats ou le bureau transformé en miroir. Comment Séki peut-il transporter tout ce matériel dans son cartable et sans que le prof ne voit jamais rien ???

Le fait que Séki ne prononce pas un mot et ne s’intéresse jamais au reste de la classe me laisse à penser qu’il pourrait être autiste car il est fortement concentré sur ses activités !! Finalement on ne sait rien de lui et c’est ce que je trouve dommage.



Un manga divertissant mais je n’ai pas forcément envie de lire la suite.