Thomas Gindre

Espa est un orphelin vivant avec sa famille adoptive à Lara.

La vie d'Espa va être chamboulée lorsqu'un elfe lui donne un œuf. Il en sortit un loup ailé, un skyraff. Espa l'appelle Xénos, et Xénos lui explique qu'ils doivent, ensemble, combattre le mal.



Lorsque Lara est incendiée, Nymphia, la conteuse, entraîne Xénos et Espa dans un tourbillon d'aventure, en essayant d'éviter l'Empereur le plus possible...



Espa va apprendre qu'il est un elfe, il va apprendre la magie et, avec Xénos et Nymphia, va poursuivre sa quête jusqu'à la Montagne Sacrée...



Je remercie la Masse Critique Bebelio et les éditions de la Reine pour ce roman fantastique, d'aventures, d'émotions et de suspens.



Je n'oublie pas d'ajouter que, même si c'est un petit garçon de treize ans qui a écrit ce livre (sa maman l'a aussi coécrit avec lui), ce roman est très bien écrit. Il y a des détails, et énormément de questions tout au long de ce livre.

La particularité de ce roman c'est qu'il est écrit à quatre mains ! Celles d'une mère et de son fils de 13 ans. C'est en soi une superbe aventure que la leur ! Maintenant qu'en est-il de ce roman ?



Le Skyraff est un roman initiatique fantastique.

Un jeune garçon, Espa, se voit confier un œuf par un elfe mourant. Peu de temps plus tard, l’œuf éclot et en sort un animal digne de la mythologie. Une sorte de loup avec des ailes. Cet animal, un Skyraff, parle et révèle à Espa qu'il y a un lien particulier qui les unis. Sa naissance permet au Bien de progresser sur le Mal ! Le Mal étant l'empereur lui-même ! Ce dernier va d'ailleurs envoyer toute une armée détruire le village d'Espa, le poussant à fuir et à découvrir petit à petit son passé, son présent et construire son avenir !



On sent dans ce roman une très grande inspiration du roman de Christopher Paolini "Eragon". J'ai retrouvé beaucoup de similitude ce qui n'est pas pour me déplaire vu que j'ai aimé celui-ci.



Il y aussi un petit côté Rick Riordan avec son personnage de Percy Jackson mi-homme mi-dieu. Ici, Espa est mi-elfe mi-dieu.



Finalement, la sauce prend avec tous ces éléments différents ! On passe un bon moment. Je conseille toutefois plutôt ce roman pour un lectorat jeune qui se verra moins exigeant, notamment sur l'espace temps de l'histoire. Un adulte est beaucoup plus tatillon ...Oui il faut le dire, on est chiant des fois !!!

Malgré tout un adulte peut le lire , la preuve ;)


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« Le Skyraff » est le premier tome d’une saga. Une saga familiale, puisque Florence Gindre écrit les idées de son fils Thomas. Ensemble, ils ont créé un univers fantastique, dans lequel Espa va découvrir que sa vie n’est pas si simple qu’il croyait. Dès lors, accompagné de son Skyraff et d’une conteuse de son village, il va à la rencontre de son destin.

La lecture de cet opus est agréable : le récit est bien construit, même si quelques répétitions feront tiquer les lecteurs les plus attentifs. Le vocabulaire est adapté, pas trop simpliste mais pas trop alambiqué non plus. Les amateurs du genre s’y retrouveront et apprécieront les descriptions détaillées des personnages, des décors. On s’y croirait. Les plus âgés comprendront assez vite les intrigues, mais le public visé, lui, se régalera des interrogations du personnage principal, hésitant, vibrant, avec lui. Parce que l’histoire d’Espa et de son Skyraff est jolie, presque poétique.

L’univers créé est riche et coloré, plein d’émotions. Au-delà de l’écriture destinée à un public adolescent, l’histoire happe le lecteur assez tôt, respectant à la lettre les codes de l’Epic-Fantasy. Le Bien, le Mal, l’adolescent, promis à un destin fabuleux dont il ignorait tout et qui, malgré les dangers et les obstacles part en quête, les créatures magiques, bonnes ou mauvaises, les elfes, les nains. Ce premier roman est à la hauteur de ses ambitions. Et le fait qu’il sorte de l’imagination d’un adolescent, avant d’être mis en scène par sa mère, apporte une résonance particulière à l’histoire. La suite est en cours de publication. Vous pourrez compter sur les Gindre pour égayer votre été.

D’un point de vue plus personnel

Je suis entrée de suite dans l’histoire. Facile à lire, elle permet une immersion instantanée dans le monde d’Espa et des Skyraffs. Bien que la saga du « Règne de L’Empereur » soit destinée à un jeune public, je l’ai beaucoup apprécié, et c’est avec plaisir que je découvrirai la suite, qui sort dans les prochains jours.

Mais surtout, je trouve que ce livre a une chose précieuse de nos jours : les scènes de combat ne sont pas trop violentes, et il n’y a pas, du moins dans ce tome, de scènes de sexe. C’est-à-dire que je pourrai sans souci conseiller ce tome à mes enfants, de 10 et 13 ans. Il ne s’agit pas d’être prude ou d’être censeuse. Il s’agit de proposer des ouvrages cohérents à des préados, qui sont dégoûtés quand ils voient des personnages s’embrasser à la télévision. (Oui, je sais, ça ne durera pas 🙂 ) Pour autant, le livre est plein d’amour, et de combats. Preuve que la littérature sait se faire accessible pour tout les âges, sans être trop simpliste.
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Nous découvrons l'histoire d'Espa, un jeune garçon (moitié elfes et moitié dieux) qui sera choisi par un Skyraff pour devenir son maître. Ils vont apprendre tous les deux à utiliser leurs pouvoirs magiques.



Mère et fils nous offrent un univers vraiment impressionnant et qui m'a fait beaucoup rêver. Certes, on voit certaines similitudes avec quelques films-cultes, mais certainement pas un copié collé. Ils ont vraiment créé leur univers de a à z et c'est ce qu'il m'a énormément plu.

On y découvre beaucoup de créatures mythiques telles que : les elfes, les skyraffs, les magiciens...



On s'attache très vite aux personnages et au fil des pages, on a de plus en plus envie de connaître leurs aventures. Les auteurs nous offrent des descriptions de folie avec des décors comme je les aime. Leurs écritures sont fluides, pétillantes et concernant les détails ont est servi.



Enfin, bref, je me suis laissé embarquer par cette histoire qui regorge d'aventure, d'action et de magie. Il se lit assez facilement et l'on est vite embarqué dans cette histoire. Comme vous l'avez compris, je vous le recommande.

Alors ce livre est un peu particulier dans sa rédaction, parce que c'est l’œuvre d'un jeune garçon et de sa mère. Les idées viennent de Thomas Gindre, qui a imaginé cette histoire au collège. C'est alors sa mère qui lui prête sa plume pour retranscrire son imagination fertile, même si grandement inspirée d'Eragon et de Percy Jackson dont on retrouvera des étapes-clés.



Mais que je vous rassure, même s'il y a des ressemblances, ce n'est pas pour autant un vulgaire assemblage qui a été copié/collé, non. Alors oui, il y a des hommes, des elfes, des nains, des magiciens, des gentils, des méchants... Mais à cette fantasy classique, Thomas a su y introduire ses petites touches personnelles. Il y a bien sûr la mythologie et les loups-garou. Bon, vous allez me dire que ce sont des classiques. Oui, c'est vrai. Mais il est rare de les voir interagir ensemble. Et là où cela devient plus personnel, c'est avec l'inclusion des skyraff, des Pavras, des skoripines et des conders.



Sur ces quatre créatures, il n'y a que les Pavras que j'ai eu du mal à imaginer (bien que j'aurais aimé plus de descriptions de Xénos). Ils sont pourtant bien décrits, sauf la tête dont on sait juste qu'elle est pourvue de mandibules et de petits yeux marron. C'est en allant sur le bestiaire du site consacrée à cette trilogie que j'ai appris qu'il avaient en fait des têtes de lézard. A moins que je sois passée à côté de ce détail, je trouve dommage de ne pas le trouver dans le livre lui-même...

Les skoripines, je n'ai eu aucun mal à les imaginer. Néanmoins, même si je savais qu'ils servaient de monture aux Pavras, c'est encore sur le bestiaire du site que j'ai appris qu'ils "possèdent une cavité dans le dos pour protéger les Pavras lors des combats". Encore une fois, je trouve dommage de ne pas retrouver de détail dans le livre (ou alors je suis une nouvelle fois passée à côté !).

Le moins que je puisse dire, c'est que je n'aimerais pas croiser ces créatures un jour !



Pour en revenir à l'écriture, on sent que, non la plume, mais les idées sont jeunes, lié à quelques petites maladresses, mais rien qui ne rende la lecture désagréable, je vous rassure. Quelques répétitions (notamment la première description des Pavras, reprise juste une page plus loin), quelques oublis (Xénos nait louveteau, à la fin du livre Espa se tient à son cou tout en marchant... Mais à aucun moment, si je ne me trompe pas, il n'a été fait mention du fait qu'il grandissait (et très vite)...).

Ce qui m'a le plus choqué, c'est que quelqu'un puisse creuser deux tombes, y mettre les corps et les recouvrir en, approximativement cinq minutes... Quelle rapidité, surtout avec des combats qui font rage autour ! XD A moins que ce personnage n'ait utilisé la magie, mais dans ce cas il aurait fallu le préciser...

Je ne pense pas que ce genre de chose gênera un lectorat plus jeune, mais il faut croire que nous autres, adultes, (ou seulement moi ?) sommes plus exigeants. ;-)



Pour en revenir à l'histoire, comme je l'ai déjà dit, même si elle reste sur des bases classiques, elle est quand même relativement bien ficelée pour l'imagination d'un collégien. Nous allons suivre les aventures d'Espa, jeune garçon de 15 ans qui, un jour, va se voir remettre un œuf duquel sortira Xénos, un loup ailé, un skyraff. Ce sera le début de découvertes et d'aventures, pas toujours agréables, pour les deux nouveaux amis.



J'ai aimé le personnage d'Espa, jeune garçon déboussolé par ce qui lui arrive, ce qu'il vient d'apprendre et ce qu'il doit encore appréhender. Même si c'est parfois très difficile, il fait front et avance vers son destin avec force, non sans une petite touche d'humour.

Pour Xénos, j'ai été un peu plus mitigée. Il parait parfois très savant, mais d'autres totalement ignorant et cette dualité que j'ai perçue - peut-être à tort ? - m'a un peu gênée.

Néanmoins, avec ce petit côté de roman initiatique, j'ai aimé la relation qui s'est développée entre ces deux-là, teintée de confiance, d'amitié et de courage.



Le rythme est plutôt soutenu et je ne me suis pas du tout ennuyée lors de cette lecture. L'univers est agréable (enfin autant qu'un univers assez sombre avec ses combats et ses morts puisse l'être), tout comme la plume, même si à mon sens elle est encore perfectible. Petite mention au nom du village d'Espa, qui porte le prénom de ma petite sœur. ^^



Gros point positif à la fin du livre, il y a un index des personnages, des races et des lieux, idéal si l'on se sent un peu perdu durant la lecture. On y retrouve aussi une carte et trois illustrations de villes. Un joli bonus. ^^



En résumé, c'est un livre intéressant par la complexité de l'imagination d'un jeune garçon que sa mère retranscrit fidèlement de par sa plume. S'il commence déjà comme ça, je pense qu'avec les années qui passeront et l'expérience qui s'accumulera, il pourra faire des choses vraiment superbes. Il reste quelques imperfections au niveau du récit et de l'écriture, mais tout est perfectible, non ? ;-) Les personnages sont travaillés, le rythme soutenu, l'histoire intéressante. Je n'ai pas été transportée, mais j'ai néanmoins passé un agréable moment de lecture.

Un livre que je recommande tout à fait aux jeunes lecteurs qui veuillent s'essayer (et/ou continuer) à la fantasy. ^^
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Je remets donc à jour cette chronique et ça me permet de l’étoffer un peu. Ce roman était jadis (tout le monde me dit de préférer le mot « auparavant » mais j’aime tellement « jadis » que je garde « jadis » et puis c’est tout !) publié aux éditions de la Reine mais le voilà dorénavant chez Marathon éditions.



Un roman jeunesse…

Cela faisait bien longtemps que j’avais lu du jeunesse. Et je peux vous dire que ça fait du bien. Ce roman est assez sympathique, cependant comme c’est de la jeunesse, il ne faut pas s’attendre à quelque chose d’extraordinaire. C’est d’ailleurs un fait que j’ai oublié à certains moments et mon esprit critique a bondit de nombreuses fois, tel Cerbère. J’étais tellement dedans que les remarques ont fusé dans mon esprit. Remarquez, c’est une bonne nouvelle, ça veut dire que c’est prenant comme histoire. Je me suis dit « Ah, c’est facile ça, Espa a besoin d’une épée, et hop, comme par magie, la conteuse a cette épée. » Bref, plein de chose comme ça, un peu ridicule quand on prend du recul.

Une fois que j’ai fais rentrer dans ma tête que ce roman est pour un public jeune, j’ai pris un réel plaisir à le découvrir. On a tous les codes de la fantasy, dans un univers très travaillé. Nous sommes loin d’être perdu par toutes les explications de la conteuse car celles-ci sont claires et limpides.



Dans le vif du sujet…

Après cet aparté, entrons dans le vif du sujet. C’est un roman de fantasy très bien mené. Avec néanmoins quelques petits éléments qui m’ont gêné. Notamment, le fait que quelques mots appartiennent au langage soutenu. Ce qui dénote avec le reste complètement courant et au langage assez enfantin. L’univers semble comme sortir de l’imaginaire d’un enfant. C’est ce que j’ai pensé dès ma lecture. Et quand je me suis un peu renseignée sur le livre, j’ai vu qu’en effet il sortait bien tout droit de la tête d’un garçon de 13 ans. Comme quoi ! Je me suis attachée aux personnages au fil des pages et bien que je trouvais Espa un peu lent, je me suis surprise à l’apprécier de plus en plus. J’ai aimé la complicité entre le Skyraff et le Skyran qui évolue au court du récit. De l’action et des émotions, voilà ce qui fait la réussite d’un roman !



Au final, comme vous l’avez compris, j’ai vraiment apprécié cette lecture. Cela faisait longtemps que j’avais lu un roman jeunesse. Quel bonheur de reprendre avec celui-ci. Je vous le conseille, sans réserve !
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Je remercie les éditions de la Reine et la Masse Critique Babelio pour cette lecture. J’avais repéré ce livre il y a déjà un petit moment, grâce à une copine de lecture qui se reconnaîtra.



Ce qu’il faut savoir, c’est que Le Skyraff est une affaire de famille. Si j’ai bien tout compris, Thomas Gindre a eu les idées, et avec sa mère, Florence Gindre, ils ont coécrit cette histoire. Le résumé m’avait, aux premiers abords, fait penser à Eragon, le premier tome de L’Héritage, écrit par Christopher Paolini. Les auteurs ne s'en cachent pas, Le Skyraff est largement inspiré de cette saga. Étant donné qu’il s’agit là d’une de mes séries préférées, j'étais curieuse de comparer ces deux versions, mais en même temps, je craignais d'y retrouver trop de similitudes. Je ressors assez partagée de cette lecture. D’un côté j’ai apprécié la plume et les péripéties, de l’autre, je n’ai pas senti que l’histoire se détachait suffisamment de celle d’Eragon.



Espa, apprenti chasseur de 15 ans, mène une vie des plus simples dans un petit village sans prétention. Orphelin, il a été recueilli et vit entouré d’une famille nombreuse et de beaucoup d’amour. C’est lors d’une pérégrination en forêt qu’il croise la route d’un elfe. Celui-ci, mortellement blessé par un tir de flèche, à tout juste le temps de lui confier un œuf violet, en lui demandant expressément d’en prendre soin. Un peu sonné, Espa accepte ce présent sans trop savoir à quoi s’attendre ni ce qui est susceptible d’en sortir. En ramenant l’œuf chez lui, il décide de garder le secret. Peu de temps après, celui-ci éclot, et il en sort un petit loup ailé et doué de parole : un skyraff, qu’il prénommera Xénos. Espa n’est pas au bout de ses surprises. Il apprend qu’il est un skyran et est désormais lié à son skyraff. Leur but est de lutter contre le Mal qui sévit dans ce monde, avec un Empereur machiavélique prêt à tout pour asseoir son funeste pouvoir. Ensemble, Espa et Xénos vont vivre des aventures épiques sur fond de quête identitaire, et Nymphia, la conteuse du village, sera là pour leur prêter main-forte.



Le Skyraff est une histoire sympathique qui reprend les codes de la fantasy classique. C’est un genre que j’aime particulièrement, et j’étais très curieuse d’en apprendre plus sur ce monde et surtout sur les skyraffs. Lorsqu'Espa reçoit son œuf au tout début, on ressent la même excitation que lui, cette envie de savoir à quoi ressemblera cet animal et de quelle manière ils seront liés.



L’idée même du skyraff était assez originale et même si on sent de nombreuses références à d’autres œuvres, certains mythes sont détournés comme celui des dieux de l’Olympe ou encore des loups-garous, des nains ou des elfes. Les auteurs ont aussi inventé leurs propres créatures, ce qui donne quelque chose d’assez hétéroclite. Le lecteur croisera des Pavras, des skoripines, et bien d'autres bébêtes en tout genre. Ils ont su créer un bestiaire qui leur correspond et qui fait avancer l’histoire de manière dynamique.



Je dois admettre que certaines ressemblances, un peu trop évidentes, m'ont fait grincer des dents. S'inspirer d'Eragon peut être une force, mais reprendre les codes de manière identique, ça m'a laissé un arrière-goût de fan-fiction. Quelques exemples en vrac : le devenir du village d'Espa, la conteuse qui s'improvise mentor, l’herboriste, les « Bienveillantes » (terme largement repris dans Percy Jackson) ou encore les origines d’Espa, sans doute inspirées du héros de Rick Riordan, là aussi… Cette profusion de similitudes est à double tranchant, car pour moi, le roman finit par perdre son identité. Même si les auteurs ont fait l’effort d’ajouter leur propre griffe, certaines grandes étapes que l’on retrouve ne leur appartiennent pas vraiment.



À 13 ans, Thomas Gindre m’a tout de même étonnée. Se lancer dans de la fantasy, mettre en place tout un univers, ce n’est pas rien ! Alors oui, il a quand même un filet de sécurité, mais il y a de l’effort. Je pense qu’il se cherche encore, et que Le Skyraff constitue les prémices d'un début prometteur. Il y a de bonnes choses, mais il aurait gagné à pousser encore plus loin son imagination, pour s’approprier son univers et en faire quelque chose de plus personnel. Néanmoins, je sens que c’est en passe de se faire.



Les éléments que je pointe comme des défauts peuvent néanmoins devenir des forces chez un public jeune. Car Le Skyraff est un roman destiné à la jeunesse, c’est indéniable. Parfois il y a des raccourcis. Des passages peu étoffés qui orientent irrémédiablement le livre vers un public juvénile. Certains trouveront que ça manque de profondeur ; moi, je pense que les auteurs sont allés au plus simple pour attirer les plus jeunes.



Le style est parfois assez scolaire, mais au vu du public concerné, ça peut tout à fait se justifier. La plume est tout de même fluide, le vocabulaire recherché, la syntaxe soignée. Même si le tout comporte quelques maladresses (et une ou deux incohérences), ce que je décèle comme une faiblesse rend l'histoire beaucoup plus accessible aux jeunes enfants qui commencent à s'intéresser à la littérature de l’imaginaire. Ne serait-ce que dans la façon d’appréhender la mort ou la guerre, Thomas et Florence Gindre en font quelque chose de soft et pas trop détaillé pour préserver les âmes sensibles.



Grâce à des chapitres courts et une mise en page aérée, Le Skyraff se lit très rapidement. J’en ai parlé à mon cousin de 13 ans, grand fan de Percy Jackson – le même âge que Thomas Gindre ! – et il est actuellement en train de le dévorer. Comme quoi, tout est une question d’âge ! Ça ne se joue à rien, parfois.



En résumé, je ressors un peu partagée car malgré des qualités d'écriture et des péripéties intéressantes, Le Skyraff manque de singularité. Néanmoins, je pense que si j’avais eu 10 ou 15 ans de moins, j’aurais sans doute été transportée par les aventures d’Espa, de Xéros et de Nymphia. À cheval entre Eragon et Percy Jackson, ce duo mère-fils vous entraînera sur des territoires où magie et secrets règnent en maîtres.


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e remercie Amélie des Éditions de la Reine pour ce service presse.

Alors tout d'abord je ne suis pas une fan de lecture fantastique mais je me suis dis que j'allais tenter vu que c'était une lecture jeunesse.

Et c'est une très agréable surprise!!

Je me suis prise dans l'histoire dès le début, j'ai trouvé la lecture très fluide malgré les êtres que j'ai du mal à encaisser dans mes lectures fantastiques : loup-garou, elfes, Skyraff (Loup-aillé), etc...

En fait j'ai outrepassé ces êtres et j'ai pris l'histoire telle qu'elle venait à savoir un jeune garçon "Espa" qui est en fait mi elfes mi dieux qui est choisi par un Skyraff pour devenir son maitre.

Ils apprennent tous les deux à user de leurs pouvoirs magiques.

Que dire sinon que c'est un livre que je conseille à tous les ados qui aiment lire. Cette histoire est magnifique et je vais ajouter que j'ai hâte de connaitre la suite.

Une très belle découverte du monde fantastique.

Ca y est. Cette histoire touche à sa fin. Tome final de la trilogie, l'Elfe est un opus magique. Espa est de retour auprès de ses amis après 3 années d'enfermement aux côtés de l'empereur. Il a appris à le connaître et à le voir sous un jour nouveau.



Mais il est temps pour lui de rentrer au camp, retrouver Xénos et surtout Shalyn, sans savoir ce qui l'attend. Avant son départ, Espa apprendra la dernière prophétie qui le concerne et son coeur en sera tout meurtri.



Ce dernier tome se lit facilement car nous mourrons d'envie de connaître la fin de l'histoire mais il fut un peu difficile tant il contient de trahisons et de peine. J'aime beaucoup Espa et je fus malheureuse pour lui pendant ma lecture.



Néanmoins, les vérités éclatent, les trahisons volent en éclat et les solutions apparaissent enfin. Un vrai bonheur pour les lecteurs.



Et quelle fin!!!!! Non mais quelle fin.



Enfin, cela n'empêche pas que je sois triste de laisser les héros de ce roman, comme à chaque fois que je lis une série qui me plait. Je relirai avec plaisir cette trilogie que je conseille vivement à tous les fans, jeune et moins jeune, de fantasy.



Laissez-vous tenter par cette trilogie portée à 4 mains.
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Un second tome qui voit l'épanouissement d'Espa et Xenos, au camp des Ios.



Nous faisons la connaissance de nouveaux personnages qui prendront une place toute particulière dans l'histoire.



Comme pour le premier tome, l'histoire est prenante et je suis toujours aussi surprise de la savoir sortie de l'imagination d'un tout jeune garçon. Quand Thomas Gindre se mettra à écrire, il fera un vrai malheur.



La plume de Florence Gindre est magique et elle sublime l'histoire de son fils. Ce second tome se termine avec son lot de questions et présume d'un tome 3 final haut en couleur.
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Une très belle découverte pour le premier tome d'une série fantasy qui n'est pas sans rappeler Eragon. Heureusement pour nous, il n'est pas question de copie et autre plagiat.



Non, là il est question de l'imagination d'un jeune adolescent, mise sur papier par la plume de sa mère. Une belle réussite, qui ravira les lecteurs fans du genre.



Un garçon qui découvre sa vraie nature et fait la rencontre d'un loup ailé, à l'humour tordant et pince sans rire.... Une quête pour la liberté face à un méchant, peut-être pas si méchant que ça.



Que demander de plus. Franchement, foncez et laissez vous bercer par ce roman.
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J'avais déjà beaucoup aimé les deux premiers tomes, mais là il faut avouer que le tome 3 est la cerise sur le gâteau. Cette saga est un vrai petit bijou. Elle sera vous faire voyager à travers son univers. 



Dans ce tome-ci on fait un bon en avant dans le temps, du coup  tout les personnages ont acquis une certaine maturité ce qui leur va à ravir, et qui fait qu'on s'attache encore un peu plus à eux. Espa a pris confiance en lui ce qui lui apporte vraiment un certain charisme, il a vraiment l'étoffe d'un leader. J'ai l'impression qu'il a grandit en même temps que l'un de ses auteurs, ce qui apporte une puissance à l'ouvrage. Cela donne une âme magique à la saga.  Ce que j'aime avec ce personnage c'est qu'il reste fidèle à lui même. A aucun moment il ne prend la grosse tête, il sait rester humble. Je suis sur que sa mère serait fière de l'homme qu'il est devenu. 



Les auteurs ont réussi à donner du réalisme à l'histoire, c'est stupéfiant. J'aime beaucoup les happy end surtout en cette période de l'année. Mais là les auteurs n'ont pas hésité à faire vivre et souffrir leur personnages. Cela donne une grande force à l'histoire. Ce livre est une vraie addiction. Une fois commencé, c'est dur de le poser. Je n'avais pas envie que le récit se termine. Dire au revoir à cette trilogie a été un vrai crève coeur. 



La plume des auteurs n'a pas changé en soit, elle a mûrit, grandit mais est resté fidèle à elle même. Elle est toujours aussi belle, fluide, agréable à lire et créative. C'est une lecture simple où il est facile de plonger. L'imagination dont ont fait preuve les auteures est époustouflante. Elle grandit au fils des tomes et est à couper le souffle. Un voyage atypique plein de rebondissement, on pense savoir où la fin va nous emmener mais non celle-ci est à la hauteur de l'ouvrage. C'est impressionnant. 



Autant vous dire, ou même vous le crier haut et for que oui, je vous recommande cette saga qui à été un immense coup de coeur pour moi. 



Milles merci aux éditions Marathon éditions de m'avoir confié cette trilogie que je garderai encore quelque temps à l'esprit ça c'est sur. J'ai tellement aimé ce voyage. La grande fan de fantastique que je suis a été 100% comblée par cette magnifique aventure. Juste waouh!! Ecrire n'est pas simple, écrire à 4 mains les encore moins et les auteurs ont réussi à le faire avec brio. 

out d’abord je tenais à remercier Marathon Éditions pour m’avoir permis de découvrir ce livre



Je ne suis pas une grande fan de livre fantaisie mais c’est le deuxième que j’ai apprécié en très peu de temps. J’ai beaucoup aimé l’univers qui me rappelle un peu celui d’Eragon qui à l’époque de sa sortie m’avait plu. Le héros Espa que l’on voit évolue au fil des découvertes de son histoire et ce celle du royaume dans lequel il vit est positif et fait bien avancer l’histoire. Les autres personnages sont intéressants également Xenos le skyraff ( le loup ailé) et Nymphéa ( la conteuse et guide d’Espa). Une petite chose m’a un peu surprise c’est de voir des Noms de dieu de la Grèce Antique apparaître dans le roman, mais cela n’a pas gêné ma lecture. J’ai été d’autant plus surprise de voir que ce roman a été écrit par un jeune homme de 12 ans et sa mère. En résumé je recommande cette lecture qui m’a donné envie de connaitre la suite de l’histoire ainsi que de remettre mon nez dans Eragon, qui je dois l’avoué est déjà chose faite.
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Que dire de ce second tome que j’ai je dois le dire dévoré, dans le premier tome on est plus sur la découverte et dans le second l’action commence et ce n’est pas pour me déplaire.



Le début est un peu énigmatique avec le prologue qui nous raconte un peu l’histoire d’une jeune fille sans trop en dire. On ne sait pas trop ou va nous emmener ce prologue.



On retrouve ensuite Espa notre héros dans le pays des nains qui en apprend un peu plus sur ses origines, qui avec les nains continus son apprentissage du combat et de la magie.



Mais le plus intéressant c’est la découverte du camp des Ios (demi-dieux) dès ce moment l’histoire s’accélère avec les premières batailles contre l’empereur. Mais on voit surtout Espa grandir et tomber amoureux d’une Ios du camp. Je ne vais pas trop en dire non plus je vous laisse découvrir ce second tome.



Je dois dire que ce tome m’a totalement happée, je n’ai pas lâché le livre une fois commencé, l’écriture est plus sur et plus fluide que pour le premier et c’est très appréciable ont sans que le jeune auteur prend confiance en lui et cela rend l’histoire encore plus prenante.



Maintenant que je n’ai qu’une envie connaitre la suite et fin de cette super-histoire.
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Merci à la maison d’éditions Marathon Éditions pour la lecture de cette saga dont l’Elfe est le dernier tome.



Comment dire, Espa le héros revint au camp des IOS après trois années dans le palais de l’empereur à suivre un apprentissage auprès du devin Philozar. Dès son retour la lutte contre l’empereur commencé.



Ce dernier tome commence doucement mais tout s’enchaîne rapidement ce qui n’ait pas pour me déplaire. On découvre de nouvelle chose sur la famille de l’empereur mais surtout on retrouve les familles disparus de tous les héros. Je peux pas trop expliquer sans spoiler l’histoire mais ce dernier tome est juste génial l’aboutissement de toutes les épreuves vécu par Espa le jeune héros devenu homme. Je ne peux que recommander cette saga qui est juste géniale.



Et encore une fois merci à la Marathon Editions et au auteur pour cette super découverte.
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Je vous retrouve pour vous parlez du troisième et dernier tome de la trilogie « le règne de l’empereur » de Thomas et Florence Gindre et je dois vous avouez que j’ai adoré .

Dans ce dernier tome nous retrouvons Espa trois ans après sa capture par l’empereur . Pendant ses trois années Espa aura appris beaucoup de chose sur la magie auprès de Philozar. Il réussira a s’enfuir et retrouvera ses amis ,ses liens avec Xenos sont toujours aussi fort malgré une séparation si longue mais en trois ans Espa verra que beaucoup de chose ont changées. Après ses retrouvailles ils se prépareront tous à affronter l’empereur Narnienn .

Arriveront-ils à exécuter leur plan sans trop de difficultés et de pertes ?

A vous de le découvrir

Ce troisième tome est juste génial ,j’ai vraiment eu un vrai coup de cœur pour cette trilogie .

J’ai particulièrement aimé découvrir l’évolution des personnages et comme trois ans se sont écoulés ils ont tous bien changer.

les auteurs nous plongent dans l’histoire et l’action avec une grande facilité des le début de notre lecture et de l’action il y en a beaucoup .

Je suis toujours autant bluffé par l’imagination et le talent de ce jeune auteur et du talent il n’y a aucun doute il en a beaucoup.

La plume est fluide ,très agréable à lire ,cette trilogie est très addictive .Elle est remplie d’action ,de combats , d »entraide car ils sont tous soudés pour réussir à vaincre l’empereur ,l’amour et l’amitié sont aussi bien présents.

La présences des cartes et la listes de tous les personnages est un vrai plus que l’on retrouve a la fin du roman .

Je vous recommande de suivre ce lien sans plus attendre pour découvrir le dernier tome de cette superbe trilogie.

Si vous n’avez pas lu les autres tomes voici le tome 1 et le tome 2 n’hésitez surtout pas FONCEZ . Pour ma part j’ai adoré et j’ai hâte de découvrir d’autre roman de ce jeune auteur de talent.

Je remercie Marathon éditions pour sa confiance renouvelée mais surtout de m’avoir permis de passer d’excellent moment lecture en me faisant parvenir la trilogie de Thomas et Florence Gindre en service presse via la plate forme simplement pro .

Le premier tome m'avait déjà plus que conquise. J'avais été happé par l'histoire, les personnages et j'en passe. Le tome deux m'a totalement entraîné avec lui, même si j'ai lu beaucoup de livre entre les deux tomes, j'ai de suite replongé dans l'intrigue de cet univers comme ci je venais juste de le quitter. L'imagination et la magie du tome 1 et toujours aussi présentes dans ce second opus.



On va suivre Espa et Xénos qui vont respecter la promesse faites à Nymphia, retrouver le camp Ios. Bien-sûr cette tâche ne sera pas de tout repos. De nouveaux dangers seront sur leur chemin, mais aussi de nouveaux combats. le lecteur va de péripétie en péripétie. J'ai bien aimé le fait que Espa cherche à peaufiner ses connaissances en magie et dans l'art du combat. Il n'hésite pas à citer des phrases que Nymphia, sa mère, lui disait pendant qu'il apprenait la magie avec elle. J'ai trouvé cette petite attention très touchante, car même si elle n'est plus, cela donne l'impression qu'elle est  toujours là et offre une certaine puissance au moment présent. 



La plume de l'auteur est toujours aussi entraînante, fluide et addictive. J'ai pris un grand, non plutôt un énorme plaisir à me replonger dans cet univers. Une fois de plus je n'avais pas envie de le quitter. Une magnifique histoire anime ce livre, on ressent toujours autant les émotions des personnages comme ci c'était les nôtres. 



Un gros coup de coeur pour moi . Un livre que je recommande fortement aux fan de fantastique. Je vous assure un magnifique voyage. N'hésitez surtout pas à vous procurer le tome 1 et d'enchaîner sur le reste de l'histoire. 

Un petit mot sur la couverture pour commencer. Elle est toujours aussi belle, particulièrement dans cette couleur (le vert est ma couleurs préférée ! ^^ ). Comme pour les deux premiers, j'aime le petit détail dans l’œil.



Niveau plume, il y a une réelle amélioration depuis le T1, qui avait un style parfois un peu maladroit. Ici, la plume est plus assurée, plus concise, plus agréable et nous entraine exactement là où les deux auteurs le veulent.



Depuis la capture d'Espa par les sbires de l'Empereur dans le T2, il s'est passé trois ans. Trois ans où le jeune homme a appris beaucoup de choses auprès du devin Philozar. Trois ans à apprendre à connaître l'Empereur, Narnienn, et, malgré leurs grandes divergences d'opinions, à l'apprécier. Trois ans où ses amis n'ont eu aucune nouvelle de lui. Trois ans à penser avec envie au jour où il pourra enfin les revoir. Trois ans qui lui ont permis d'évoluer, de s'assagir et de murir.

Seulement, en trois ans, il n'est pas le seul à avoir eu le temps de changer...



Le lien entre Espa et Xénos s’avère toujours aussi puissant, toujours aussi touchant, toujours aussi réel et indestructible. Franchement, je les envie, ces deux-là, d'avoir une telle complicité.



Ma lecture du T2 remontant au mois de janvier, j'ai aimé que le début du livre représente certains personnages, présents, dans le fil du récit, pour nous aider à nous rappeler, sans que cela soit rébarbatif.



C'est un troisième tome très agréable à lire, tout dans l'action, qui est très présente, mais sans être trop rapide non plus. Le rythme est soutenu, mais il est plaisant de suivre cette cadence sans s’essouffler, mais surtout sans s'ennuyer. Mais qui dit action, dit combats, qu'ils soient loyaux ou non. Et qui dit combats, dit pertes... Car oui, il va y en avoir... Si jeune auteur et déjà "sadique", cela promet. lol

Après, j'avoue qu'il ne faut pas non plus tomber dans le cliché des Bisounours à vouloir épargner tout le monde sous peine de perdre de la crédibilité. C'est certainement dur de sacrifier ses personnages, mais c'est nécessaire.



S'il y a de l'action, il y a aussi des révélations. J'en ai vu venir quelques-unes, mais j'ai aussi eu, avec joie, quelques surprises auxquelles je ne m'attendais vraiment pas. Et ça, j'aime ! Mais ce n'est pas tout. Il est aussi question de prophéties, d'amitié, d'amour, de jalousie, de traitrise, d'entraide...



J'ai été très surprise par cette vision du monde des morts. Au début, je n'étais pas vraiment convaincue, me disant que c'était un peu trop facile. Mais, au fil des pages, on se laisse happer et on en vient même à penser à ce que nous, nous ferions à la place des personnages.



Par contre il me reste des questions et j'ai été peinée du dernier chapitre (pas l'épilogue, attention !) qui, pour moi n'était pas utile parce qu'il soulève des choses qui pourraient en promettre d'autres. Mais comme ce tome est le dernier...



La présence des cartes, des illustrations et du lexique (avec une séparation des personnages des anciens tomes et ceux de celui-ci) à la fin du livre est toujours un très gros plus pour moi.



En résumé, c'est une trilogie de fantasy à quatre mains vraiment plaisante que j'ai aimé suivre, tant pour l'évolution de l'histoire et des personnages, que pour l'histoire familiale qu'elle raconte au travers de l'imagination du fils, Thomas, et de la plume de la mère, Florence. Je vous la recommande. ^^

Les forces armées de l’Empereur se sont révélées plus puissantes que le jeune skyran. Capturé et emmené au palais de l’Empereur en tant qu’invité, Espa va prendre son mal en patience afin de trouver un moyen de s’évader. Trois passent alors près du puissant Narnienn alors qu’il apprend secrètement la magie avec le devin Philozar. Trouvant ensuite un moyen de s’enfuir, Espa va devenir un adversaire encore plus coriace d’autant qu’il retrouve ses alliés les plus proches, Xénos et Shalyn. Ce saut dans le temps permet de retrouver des personnages plus mûrs et d’autant plus intéressants. Espa est devenu plus réfléchi et sûr de lui, revêtant pleinement son rôle de leader tout en restant humble comme à son habitude. Xénos reste toujours aux côté de son skyran même s’il est davantage mis de côté mais l’amitié entre les deux protagonistes est toujours aussi plaisante. Par contre, la relation entre Shalyn et Espa ne m’a pas particulièrement conquise, la jeune fille aurait pu selon moi avoir un peu plus d’importance au sein de l’intrigue.



Pour ce qui est de celle-ci, elle ne manque pas de rythme. Même si le début se met doucement en place, l’action vient vite égratigner les personnages qui sont prêts à former une véritable armée pour contrer le pouvoir de l’Empereur. Beaucoup de mystères dans ce troisième tome auquel les auteurs nous offrent des réponses au fil de l’histoire avec toujours plus de révélations sur les personnages et sur leur famille. J’ai beaucoup aimé naviguer entre le camp des Ios et les autres lieux, notamment le monde des morts qui m’a beaucoup intrigué. Espa, au milieu de toute cette révolte, devient véritablement un homme face à toutes ces épreuves. Gravissant montagne après montagne, le skyran fait face à sa destinée et à ses responsabilités. Ce tome conclut à merveille cette trilogie fantasy jeunesse très agréable à découvrir et très bien imaginée et racontée par Thomas et Florence Gindre que je remercie une nouvelle fois pour m’avoir permis de me plonger au sein de leur récit.
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Tout d'abord un grand merci à Marathon Edition de m'avoir confié cet ouvrage.

Il faut savoir que cette lecture est un livre écrit à 4 mains. Mère et fils se sont lancés à l'aventure. Inspiré d'univers fantastique tel que Eragon, Percy Jackson et Les Chroniques du monde Emergé, on ressent chacun de ces mondes dans l'histoire. Tout d'abord on est plus ou moins plongé dans l'univers d'Eragon avec cet oeuf violet qui est confié à Espa par un elfe. Au début j'ai eu un peu peur que cet univers soit trop présent, mais en faite non pas du tout. Oui on ressent que l'inspiration vient d'autre monde, mais l'histoire reste unique et tellement belle. J'ai beaucoup aimé me plonger dans ce livre.

J'ai aimé découvrir le monde créé par les auteurs. Découvrir ces personnages, Espa, jeune homme qui découvre qu'il est une Skyran. Pour lui tout le monde a un bon fond,il est un peu naïf et c'est ce côté là qui le rend attachant. Pour lui les choses sont ou tout noir ou tout blanc, il n'y a pas d'entre deux. Il ne pense jamais à mal, je dirais qu'on pourrait parler de lui comme une âme et un coeur pur. Ensuite il y a Xénos, un Skyraff, on pourrait l'identifier comme un loup avec en plus de magnifique ailes. Qui semble aussi tendre que son Skyran. Puis pour finir nous découvrons aussi Nymphia, une conteuse mais qui détient également une grande connaissance de la vie d'Espa, je vous laisse découvrir pourquoi. Cette petite troupe est vraiment attachante. Je ne serais dire à qui je me serais plus attachée car ils se complète tous. Je ne vois pas cette petite escorte sans un de leur membre.

J'apprécie beaucoup la plume des auteurs, elle nous fait ressentir les émotions des personnages. Elle a un style bon enfant ce qui accentue ce petit côté naïf d'Espa, mais elle apporte aussi beaucoup de légèreté à l'histoire elle même. Elle a un côté très addictive, je me suis plus à dévorer ce livre. J'avais qu'une seule envie c'était de savoir le mot final de ce premier opus. Les descriptions m'ont fait voyager, j'ai été littéralement plongé au coeur de ce monde que je découvrais au fil des pages. Ce qui m'a beaucoup aidé, c'est que dès le début, on est emporté au coeur même de l'action, en l'espace de quelques lignes, quelques pages, le décor est planté.

Petit bémol, les fautes de frappe, je ne sais pas si ça vient juste du fichier que l'on m'a envoyé ou si elles sont dans tout les formats proposé. Mais elle gêne beaucoup à la lecture ce qui est dommage, car elles auraient tendance à nous faire sortir du livre.

Je peux parler d'un coup de coeur pour ce premier tome et j'ai plus que hâte de savoir la suite.