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Citations de Tommy Wallach (75)


Nos plus grandes tragédies ne concernent que nous.
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Nos vies ressemblent à une gigantesque partie de tir à la corde. D'un côté, on est retenus en arrière par le poids immuable du passé, et de l'autre, on est aspirés vers un futur en équilibre entre les deux.
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C’était la plus irréfutable négation de la mort qui pouvait exister : l’extase farouche du corps, l’invincibilite du cœur.
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Putain. Ça devient n'importe quoi, non ?
J'ai cru que ce serait une bonne idée d'écrire à la troisième personne, pour garder un certain recul sur moi-même. Mais c'est complètement tordu de prétendre que je suis mignon en me faisant passer pour quelqu'un d'autre. Autant rédiger ma propre lettre de recommandation.
Merde, je viens de m'apercevoir que j'ai écrit "putain". Oh, et maintenant, "merde". Je devrais sans doute corriger ça, mais j'ai la flemme.
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Vous ne trouvez pas ça décevant quand le sens d'un rêve est parfaitement limpide ? J'ai toujours préféré les rêves super bizarres, ceux où on se promène dans Tokyo en vélo-planeur, avant de s'apercevoir que le vélo est un rhinocéros, sauf que non, c'est finalement un robot-rhinocéros piloté par Prince qui se met à chanter "Purple Rain" en appuyant sur un bouton pour activer le siège éjectable du robot-rhino, et là, on se retrouve catapulté dans les airs, le costume en velours violet et la lavallière blanche de Prince deviennent de plus en plus petits au loin, et on devrait déjà tomber mais ce n'est pas le cas parce qu'on s'est transformé en ballon, alors on continue à flotter dans l'espace jusqu'à ce que le monde disparaisse et qu'on ne puisse plus respirer par manque d'oxygène, et on finit par se réveiller en se demandant : " Non mais c'était quoi, ce délire ? "
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L'amour est l'exception qui confirme la loi des rendements décroissants.
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Deux mois pour nous aimer, pour être libres, pour être heureux.
Deux mois pour laisser une trace.
Deux mois pour réaliser nos rêves.
Deux mois pour vivre.
Pour vivre vraiment.
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« La vie était-elle trop courte ? Bien sûr que oui – il n’y avait jamais assez de temps pour faire tout ce qu’on voulait faire. Et bien sûr que non – si elle durait plus longtemps, on l’apprécierait beaucoup moins qu’on ne le faisait. Était-il mieux de vivre pour son propre intérêt, ou pour l’intérêt des autres ? Pour son propre intérêt, évidemment – c’était folie que de prendre la responsabilité du bonheur d’autrui. Et pour l’intérêt des autres, évidemment – l’égoïsme n’était qu’une autre façon de s’isoler, alors que tout le monde savait que le véritable bonheur nichait dans l’amour et l’amitié. »
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C’était incroyable, la manière dont les gens continuaient d’avancer, même s’ils étaient en train de mourir d’un cancer du pancréas, d’un abus de drogue ou de l’apocalypse elle-même.
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Comme un soleil éclatant contient la promesse d’un orage.
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Une fourmilière hystérique d’adultes, tellement habitués à avoir la situation sous contrôle qu’ils ne s’apercevaient même pas que le temps du contrôle était terminé.
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Même si l’oiseau s’échappait de sa cage, il se retrouverait coincé dans le bureau. Et s’il sortait du bureau, il serait coincé dans le bureau. Et s’il sortait du bureau, il serait coincé dans la maison. Et s’il sortait de la maison, où pourrait-il alors aller pour être en sécurité ? Il avait vécu piégé à l’intérieur de la cage, mais quels pièges l’attendaient à l’extérieur ? Et Anita eut peur qu’il n’en soit de même pour elle. Le monde entier était une cage.
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Et tandis qu'Anita regardait Andy sautiller à travers la pièce, elle le sentit enfin, grondant comme une faim tenace qu'elle aurait ignorée depuis des semaines. Un sentiment à la fois totalement nouveau et totalement familier. C'était la fleur verdâtre de la jalousie, et plus bas, là où la tige s'enfonçait dans la terre, il y avait les racines assoiffées de l'amour.
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Ce n'est pas parce qu'on souffre déjà atrocement qu'on ne peut pas souffrir davantage. Et cette étoile avait tout l'air d'être un signe que plus de souffrance encore était à venir.
Vraiment méchante.
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-Méchant, hein? demanda Andy.
Eliza savait évidemment ce qu'il voulait dire avec ce mot ; c'était un des millions de synonymes de "cool" : super, trop bien, dingue, génial, énorme...
Mais, sur ce coup-là, elle avait l'impression qu'il se trompait de sens. L'étoile semblait effectivement méchante, au sens propre du terme. Méchante comme le méchante sorcière de l'Ouest dans le Magicien d'Oz. Méchante comme quelque chose qui veut vous faire du mal.
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C juste trop top rien à dire !!!!! Je vous le conseille, se lit tres vite !!!!
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Qu’est-ce qui fait qu’un livre est vraiment bon? […]
Les meilleurs livres ne parlent pas de choses auxquelles vous n’aviez jamais réfléchi avant. Ils parlent de choses auxquelles vous aviez toujours réfléchi mais dont vous pensiez que personne d’autre n’y réfléchissait. Vous les lisez et d’un seul coup, vous êtes un petit peu moins seul au monde.
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Et qu'est-ce qu'il avait attendu au juste ? Pourquoi s’était-il imaginé que le temps était une sorte de ressource illimitée ? À présent, le sablier s'était fracassé, et ce que Peter avait toujours pris pour un vulgaire tas de sable s'avérait être composé de millions de minuscules éclats de diamant.
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Le monde entier était une cage.
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Il n'avait que dix-huit ans !  Il restait tant de choses qu'il n'avait pas encore expérimentées : voyager à travers le monde, le saut à l'élastique, les sushis... Et qu'est-ce qu'il avait attendu au juste ? Pourquoi s'était-il imaginé que le temps était une sorte de ressource illimitée ? A présent, le sablier s'était fracassé, et ce que Peter avait toujours pris pour un vulgaire tas de sable s'avérait être composé de millions de minuscules éclats de diamant.
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