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2.85/5 (sur 29 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Creuse , 1976
Biographie :

Valentine Abé est née en 1976 dans la Creuse, elle vit aujourd'hui à Paris. Ne vous y trompez pas : si elle a choisi de prendre un pseudonyme, c'est bien une pétillante jeune femme à l'imagination débridée et non un vieux pervers qui se cache derrière ces pages qui ne vous laisseront pas indifférents.

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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Le visage de l’homme est impassible. Tout le temps qu’a duré mon supplice, ses lèvres étaient serrées, il mâchait des mots que je n’entendais pas, je ne sais même pas si cela le faisait bander, je n’y pensais pas un instant.
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Cette femme vivait seule depuis que son mari était à la guerre. Elle n’avait personne pour s’occuper d’elle ou lui rendre visite. L’enfant d’abord ressentit un grand malaise d’être ainsi regardé, et puis peu à peu, il comprit que la femme en tirait grand bonheur et que lui-même en était tout chose. Il aimait, en grandissant, le pouvoir qu’il exerçait sur elle ; ainsi se complaisait-il à vivre ici débraillé, prenant un malin plaisir à afficher ses attributs qui poussaient et devenaient parfois féroces sous le regard de la dame. Lui, il ne savait pas encore comment se servir de tout ça.
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"Ce n'est que beaucoup plus tard que j'eus l'occasion de faire plus intimement connaissance avec l'objet de mes tourments... Ce soir là, ma maîtresse était très en beauté, très féline... Je l'avais souvent vue d'humeur coquine, mais là, rien à voir ! Une fièvre intérieure semblait la consumer, illuminant son regard de manière inhabituelle. Elle chantonnait tout en vaquant à ses occupations... Elle sortait de la douche lorsque je l'aperçus... Comme à chaque fois, j'en eus le souffle coupé. Des perles d'humidité roulaient encore sur le velouté de sa peau... hum mm comme j'aurais voulu les recueillir doucement. Tandis qu'elle se séchait, j'observai ses longs doigts agiles courir sur son corps, faisant saillir les roses boutons de ses tétons durcis, pour ensuite glisser lentement jusqu'à ce minuscule triangle, mon « triangle des Bermudes »... Je l'ai baptisé comme cela, car c'est fou ce que j'aime m'y perdre !!! Le désir la rendait encore plus belle que d'habitude. L'idée que c'était l'envie qu'elle avait de moi qui la mettait dans cet état s'imposa à mon esprit, sans me paraître saugrenue... Pourquoi l'aurait-elle été d'ailleurs ? "

Extrait de "Les mémoires d'un amant"
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En dehors de toutes considérations timorées sur indécence et scabreux, donc en dehors de cette peur du sale, qui n’est bien là qu’une peur qui doit se dissoudre dans les jeux du sexe, dans l’excitation et dans la jouissance, en dehors de cela, la femme doit être un peu préparée.
Vous avez déjà dû entendre votre femme émettre des petits « aïe » ou des petits « doucement » ou finalement des petits « non » ; encore une fois, si vous vous engagez là comme dans n’importe qu’elle pièce, avec en plus votre assurance fatigante, ne vous étonnez pas de vous en voir refuser l’accès.
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Voir vos pantalons boursouflés me donne l’eau à la bouche. Comme une somnambule, je ne peux lâcher mes yeux des bosses qui gonflent entre vos jambes, mes genoux plient, je me traîne jusqu’à vous. Mes mains passent sur vos braguettes dures, mes joues s’y collent avidement. Ma bouche, à travers le tissu, vous sent l’un et l’autre raidir encore. Quand j’ai la main sur l’un, j’ai la bouche sur l’autre, le visage entier se frotte contre vous, comme une chienne qui réclamerait des caresses.
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Détournant le regard, je vous supplie de me prendre, et peu de temps après vous saisissez mes hanches, et votre queue, au bord de ma fente, entre à peine, se retire, je sens votre gland gonflé m’ouvrir, se retirer, le ventre tendu, vous me faites patienter et me voilà comme une chienne à vous quémander.
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Le parfum de la veuve, poudré et chaud comme une résine, lui revient soudain comme une bouffée de printemps…
Peut-être est-elle cachée comme autrefois, derrière les voiles blancs… Peut-être, comme autrefois, elle attend...
Autrefois, quand l’homme était plus jeune, quand il était encore garçon, la voisine aimait à le surprendre nu dans sa chambre.
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Elle croise ses jambes et sa jupe remonte au-dessus du genou. Il voit le genou et le pli dessous, là où la chair est tendre.
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J’aime me faire prendre par des inconnus. Il ne faut pas le répéter à mon mari bien sûr, tu me promets... Dans leur voiture, sous des porches, à la piscine, j’adore ça ! Une fois même, dans l’escalier de service, juste avant d’arriver chez moi !
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Encore une fois, la femme, avant de recevoir de grands coups de boutoirs, doit être préparée.
Une fois la peur ou la petite douleur envolée, vous pouvez y aller, et même je vous le demanderai : défoncez-moi.
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