Valérie Chevalier

Un petit moment de détente,pour une lecture au soleil, ça ne mange pas de pain et j'ai trouvé de quoi me satisfaire. La jeune artiste fait son apprentissage de la vie, ce n'est pas toujours un long fleuve tranquille loin de là mais après les remous du torrent le calme se profile plus loin.

J'ai bien aimé cette histoire, écrit simplement mais agréable.

Ce fut un immense plaisir (et réconfort) de retrouver la plume de Valérie Chevalier. J'aime tellement sa façon de raconter le quotidien avec délicatesse. Même les drames paraissent plus doux entre ses mains. Une lecture qui réconforte notre coeur d'humain.



L'histoire, écrite sous la forme d'un journal, nous laisse suivre la vie d'une jeune femme. Elle pourrait être notre soeur, une amie, une collègue de travail, etc. On s'identifie facilement à elle et à sa vie. On partage son intimité pendant quelques mois et on se sent tout de suite moins seule.



Le texte est fluide et le choix des mots est toujours judicieux. Je crois que j'en aurais même pris plus! Merci pour ce moment de lecture cocooning.

Roman d'amour tout ce qu'il y a de plus banal, avec en plus un handicap majeur: le style de l'auteure. Dans une tentative louable mais maladroite de faire preuve d'originalité de la part de l'auteure, dans un genre qui en manque souvent cruellement, c'est une narratrice qui s'adresse aux différents personnages masculins de sa vie qui dévoile ainsi son histoire au lecteur. Le résultat n'est pas très probant puisque le lecteur ne se sent ainsi aucunement inclus dans ce qui est raconté par l'héroïne. Du coup, il se désintéresse de l'histoire qui n'offre aucun rebondissements ni autre élément original pouvant le sortir de son indifférence.

Ce livre es un roman qui m'a fait du bien, il es drôle et joyeux a la fois. Nous rencontrons Alice et Maud deux amies qui partagent leurs joies, leurs peines ,leur passions et leur jovialité.



J'ai appréciée cette belle amitié qui lient nos deux personnages, ce livre es clairement une ode à l'amitié.



Puis de plus ce livre se déroule au Canada un pays que j'ai en adoration et ou j'aimerais vivre.

Les chapitres s'altèrent entre nos deux personnages et c'est très bien fait, cela nous permets de ne pas nous perdre.



Une bonne fin même si je ne m'attendais pas à cela, une belle happy end.

Si vous voulez passé un bon moment lisez ce livre..

• Pourquoi ce livre?

Dans le cadre de la journée Le 12 août, j’achète un livre québécois, une initiative lancée en 2014 visant à encourager la littérature d’ici, je me suis aventurée dans la librairie indépendante de Saint-Sauveur, L’Arlequin. Mon but était de dénicher un roman québécois afin de participer à l’évènement annuel qui incite la population québécoise à acheter des livres écrits par des auteurs de la province. La couverture jaune éclatante de La théorie du drap contour de Valérie Chevalier a attiré mon attention, inévitablement. Posé sur une étagère de la librairie, le roman m’a interpelée par sa jolie couverture et son résumé, à l’endos, qui évoquait le récit d’une jeune femme en quête d’amour.



• Un premier aspect qui m’a plu :

Ce qui m’a particulièrement plu de La théorie du drap contour – deuxième roman de Valérie Chevalier – est l’écriture simple, efficace et sans détour de l’auteure. Tout est dit avec simplicité ce qui rend l’histoire très accessible. De plus, les phrases courtes qui composent le récit apportent un rythme dynamique et saccadé poussant le lecteur à tourner les pages sans cesse. D’ailleurs, ces phrases courtes, par leur simplicité intrinsèque, vont droit au but, sans passer par mille chemins, et de cela se dégage une honnêteté empreinte d’une belle sensibilité qui a su accrocher mon attention.



• Un second aspect qui m’a plu :

J’ai apprécié, également, la structure épisodique du récit, composé d’épisodes assez courts relatant à chaque fois la vie amoureuse de Florence, protagoniste principale du roman. Chaque épisode est pour ainsi dire intitulé d’un titre accrocheur et dévoile les péripéties des amours du personnage qui vit bien souvent des déceptions face à ses différents partenaires. J’ai bien aimé le fait qu’on dévoilait par petites bribes les méandres de la vie amoureuse de Florence dans les différents épisodes sans jamais tout divulguer. Ces épisodes laissent place à l’imagination du lecteur qui recrée les non-dits entre chaque épisode composant le récit.



• Un aspect qui m’a moins plu :

Toutefois, j’ai été déçue par la redondance qui plâne au-dessus de cette histoire, où amour et déception sont sujets premiers. J’aurais aimé voir, comprendre et apprécier d’autres facettes du personnage de Florence qui ne se résume, au fil des pages, qu’à une jeune femme incapable de vivre sans la présence d’un homme à ses côtés. Son personnage manque de profondeur et on se tanne à un moment, lorsqu’on saisit la mécanique du récit, de lire page après page les mêmes péripéties, c’est-à-dire Florence qui rencontre un homme, qui tombe amoureuse et qui se fait briser le cœur. L’histoire devient ainsi vite prévisible.

Je n'ai pas du tout accroché au style choisi par l'auteur. Chaque chapitre s'adresse à un de ses petits copains qui est évoqué dans le chapitre (tu as fait ceci, cela) ce qui fait qu'on ne se sent pas du tout concerné par l'histoire. On ne s'attache pas à l'héroïne non plus et il n'y pas d'humour (ou je ne l'ai pas détecté). du même auteur, il vaut mieux lire "tu peux toujours courir".

En plus il y a beaucoup de discours sur l'amour et le désamour assez ennuyeux.

Troisième bouquin de cette autrice québécoise... et peut-être celui que j'ai le moins aimé. Il a au moins le mérite d'être vite lu. Ici, Chevalier nous propose l'histoire de Raphaëlle, jeune artiste, qui nous raconte ses déboires, surtout amoureux. Elle ne réinvente pas les codes : personnage principal qui rêve d'amour, personnages secondaires qui subliment le personnage principal, une fin heureuse, émancipation... Bref, ce bouquin ne révolutionne rien, mais se laisse lire facilement. Une p'tite lecture doudou !

Oh ! Seulement 2.7/5 ! Moi, j'ai eu envie de donner un 4. La couverture du livre est magnifique. C'est léger, peut-être un peu maladroit, mais elle écrit, elle ose. Moi, je trouve que ça fait toujours du bien un livre comme ça... comme elle dit... le soleil n'est jamais loin... Lâcher prise... et c'est ce qu'on fait en lisant ce roman. On pense à rien d'autre, ça nous vide l'esprit, et on dort mieux le soir.

Beaucoup, beaucoup trop d'alcool dans ce livre ! Etre jeune ne signifie pas forcément qu'il faille commencer chaque journée avec une gueule de bois.

Pour le reste, c'est un livre "chick lit" comme on l'aime et qui passe très bien lorsqu'on a un petit coup de moins bien.

On suit les histoires de deux amies qui cherchent l'amour et le bonheur. Les chapitres alternent selon les péripéties de l'une ou de l'autre, c'est plaisant.

C'est l'histoire de deux jeunes filles qui vont faire connaissance sur les bancs de l'école et depuis lors, elles ne vont plus se quitter. Elles vont devenir les meilleures amies du monde et ne se quitteront plus. Leur amitié n'aura de cesse de grandir au fil des ans.







Ensemble, elles vont apprendre les arts mais aussi ce qu'est l'amour. Ensemble, elles ont bien l'intention de profiter de la vie, de tous les petits plaisirs qu'elle peut offrir. Cette chère Raphaëlle n'a pas eu de chance dès son plus jeune âge car malheureusement ses parents se sont séparés. La séparation d'un couple lorsqu'il y a un enfant au centre est toujours difficile, d'ailleurs, Raphaëlle a eu beaucoup de mal à digérer l'abandon de sa mère.







Aujourd'hui, Raphaëlle a la trentaine passée, elle est une artiste-peintre. Elle a un manque cruelle de confiance en elle mais cela ne l'empêchera pas de nous emmener avec elle dans un voyage qui nous fera voir du pays. De Montréal à Paris en passant par Newburyport, nous allons suivre les déboires amoureuses de cette jeune femme qui est en quête de soi.







Partout où elle va, elle a un homme différent à aimer, ne serait-ce que pour quelques jours mais ce n'est pas une vie raisonnable, ce n'est pas une vie stable, elle va l'apprendre à ses dépens. Toutes les réponses sont bonnes pour mettre un terme prématurément à chaque relation naissante alors qu'elles avaient toutes une bonne raison de bien commencer.







Raphaëlle sait qu'elle peut compter sur le seul homme de sa vie : son père, toujours présent, contre vents et marrées ! Il a toujours su être présent pour sa fille, la soutenir quand elle en avait besoin ; il a dû faire le job de deux parents le jour où son ex-femme est partie comme une voleuse. Puis, il y a Chanterelle, son amie artiste-peintre également qui est un personnage haut en couleurs sur qui elle pourra toujours compter, elle répond toujours présente malgré le poids de toutes ces années à relever son amie.







Lorsque son amoureux de quelques jours la quitter pour une plus jeune et plus séduisante jeune femme, Raphaëlle décide de partir avec Bertha, la voiture de son père. Elle va rouler de Montréal au Massachusetts où elle se liera d'amitié avec un beau québécois qui travaille à Newburyport. Comme ses amours ne durent que le temps de quelques jours, elle décide de mettre les voiles pour Paris, la capitale de l'amour, peut-être qu'elle trouvera ce qu'elle recherche... Mais ça, c'est moins sûr ! Son moral étant en berne, son inspiration aux abonnés absents, on espère que Raphaëlle va se secouer les puces rapidement pour ne pas sombrer. Arrivera-t-elle à trouver le chemin du bonheur ?







J'ai beaucoup aimé ce roman qui met en lumière le lien de l'amitié, les obstacles que la vie peut dresser sur notre route. La vie n'est pas ou tout rose, ou tout blanc, ou tout noir, il y a tout un panel de couleurs qui est là pour la rendre vivante et vibrante à la fois.







La plume de l'auteur est agréable à lire. Le fait que l'amitié, l'amour, les sentiments, les émotions soient à l'honneur dans ce roman sont des raisons pour le découvrir entre deux grosses lectures.







Tout ça pour vous dire que j'ai passé un agréable moment en compagnie de Raphaëlle qui nous fait vivre avec elle ses petites tempêtes qui l'emmèneront peut-être vers le soleil...




Lien : https://leslecturesdeladiabl..

« Tu peux toujours courir » est l’histoire de deux copines, Alice et Maud. Alors que la première enchaîne les conquêtes, la seconde est casée avec le même homme depuis plusieurs années. Malheureusement, cet équilibre va être chamboulé lorsqu’Alice va tomber sous le charme d’un homme déjà en couple et que Maud va se faire larguer par son copain.

Entre disputes, questionnements et mojitos, les deux femmes sont loin de deviner tout ce qui les attend.



Le résumé me tentait beaucoup. C’était vraiment l’histoire qu’il me fallait, surtout avec les beaux jours qui arrivent.

Autant vous dire que ce livre tient toutes ses promesses. C’est frais, léger et acidulé.

Les chapitres alternent entre les points de vue d’Alice et de Maud, ce qui fait que l’on suit vraiment leurs deux histoires. Pour chacune, c’est le chaos et les montagnes russes émotionnelles. L’auteur met en scène la vie de tous les jours, ce que peuvent expérimenter les femmes, leurs problèmes et leurs interrogations ainsi que leurs peurs et ça met du baume au coeur.



Toutes ces thématiques sont bien sûres abordées avec beaucoup d’humour et les passages qui vont vous faire monter le sourire aux lèvres sont nombreux. Oui, c’est terriblement cliché, mais c’est croustillant à souhait.

Petite mise en garde sur le fait que Valérie CHAVELIER est québécoise. Vous allez rencontrer tout au long de votre lecture des expressions purement québécoises et, même si cela est plutôt déstabilisant au début, c’est finalement la petite touche qui rend ce texte unique. Pas la peine d’avoir un moteur de recherche à côté de soi pour comprendre tous ces mots, on comprend très facilement où l’auteur veut en venir à chaque fois et l’on finit par rapidement se familiariser avec ce vocabulaire.



Les héroïnes sont différentes et ont pourtant beaucoup de points commun. L’une cherche l’amour avec un grand A, l’autre ne le cherche pas tant que ça. L’une a un rythme de vie sain et équilibré, alors que l’autre vie au jour le jour. Cela ne les empêche pas de douter d’elles-mêmes, de leurs décisions et de noyer leurs chagrins dans des mojitos et des shots.

Même si leurs caractères sont exagérés, même si ce sont des personnages clichés, on se retrouve un peu en elles. On a chacune un petit bout d’Alise et de Maud en nous, que ça soit en positif ou en négatif, et c’est en cela que ce livre puise sa force : dans le fait que toute femme peut se retrouver dans les deux personnages principaux.

Par contre, j’avoue ne pas avoir été charmée par la gent masculine présente dans cette histoire. Heureusement que Julien et Alexis étaient là pour remonter un peu le niveau.



Le récit est léger et sans prétention. Il tourne principalement autour des peines de coeur et des relations amoureuses de nos héroïnes.

Quant à la fin, elle est en demi-teinte. Je me doutais comment cela se finirait pour l’une et je ne pensais pas que pour l’autre ça se terminerait ainsi. L’auteur nous laisse peut-être dans le flou en ce qui concerne cette dernière en prévision d’un éventuel second tome ?





En conclusion, « Tu peux toujours courir » est la version québécoise de Bridget Jones. Valérie CHEVALIER nous offre une comédie romantique comme on les aime : légère et croustillante. On rigole, on râle, on se laisse transporter avec joie dans les péripéties d’Alice et de Maud sans difficulté et l’on ne voit pas le temps passer une fois que l’on plonge notre nez dans ce livre.



Un livre à lire cet été sur la plage, pour passer un petit moment de bonheur et de légèreté.
Lien : http://lectrice-lambda.blogs..

Un petit roman canadien sympathique. de l'humour, de l'amour, de la légèreté, et toutes les expressions canadiennes .... Distrayant.

Nota : tous les bars et restaurants cités donnent envie de les essayer ... (je ne sais pas si ils existent tous ...)

Septième opus à la fois romantique et littéraire, idéaliste et introspectif, truffé de pistes et d’autant de culs-de-sac, publié chez Hurtubise ces jours-ci.
Lien : https://www.lapresse.ca/arts..

Alice et Maud sont meilleures amies.

Alice est chanteuse dans un groupe et côté cœur elle préfère batifoler plutôt que de se poser.

A contrario, Maud, prof de sport, ne croit qu'en l'amour vrai.

Chacune court après le bonheur à sa façon jusqu'à ce que la vie vienne chambouler les croyances de ses amies qui heureusement pourront toujours compter l'une sur l'autre.

J'ai bien aimé! Premier roman que je lis qui abordais le thème de la peinture. M'a donné envie de peindre à mon tour!

L'histoire est légère, parfois drôle, parfois triste et parfois heureuse. Raconte la vie.

Je recommande.

J’ai été un peu sceptique face au début du roman que j’ai vécu comme une énumération des conquêtes amoureuses de l’héroïne. Et puis peu à peu, on se laisse attendrir par cette apprentie artiste qui se construit à travers ses relations et rencontres. Je reste finalement assez mitigée sur ce roman, qui montre la relation amoureuse comme une fin en soi pour être accomplie...Un peu réducteur, surtout pour une artiste...

Une belle surprise pour moi! Je n'étais pas certaine mais je n'avais rien à perdre puisqu'on me l'avait prêté. Je me suis laissé porter par cette écriture féminine et fluide. Ça m'a un peu rappelé Kim Thuy avec ses chapitres courts et son texte sans pudeur. Un petit bijou québécois! J'ai bien hâte de lire d'autres romans de Mme Chevalier.

L'histoire: On suit les péripéties principalement amoureuses de deux meilleures amies Alice et Maud. On les voit traverser les emplois, les histoires d'un soir, les peines d'amour et les coups de cœur en plein centre-ville montréalais.



Mon avis: C'est l'une des premières fois depuis que je suis sur Babelio que je ne sais pas trop quoi dire. Ce livre était correct, mais je ne sais pas si je le relirais. Peut-être dans un été futur en me cherchant un livre simple et une lecture rapide. Ses points forts: des personnages réalistes (quoi que leurs décisions sont parfois vraiment niaiseuses et irréfléchies pour des adultes) et un setting très bien développé. On se sent vraiment en plein tourbillon montréalais. Par contre, cela devient un peu répétitif, surtout pour ce deuxième volume. Les soirées dans les boîtes, les lendemains de veille, les soirées toujours au resto... je sais pas. Peut-être que justement, c'est ce qui fait la beauté de ce roman pour quelqu'un: il est réaliste, il peut dépeindre la vraie vie de quelqu'un. Pour moi, ça manquait de peps et de rebondissements. Cela aurait pu être palier par de grands développements au niveau des personnages, or, tout demeurait en surface au niveau de l'émotion.

3 étoiles.

Ce livre m'a laissé sur ma faim. J'ai beaucoup aimé les autres romans de cette auteure, mais celui-là était seulement correct. Une lecture facile d'été, mais sans plus.

J'ai aimé davantage le personnage d'Alice que celui de Maud; elle me paraissait plus vraie, plus réaliste. Maud avait des réactions de bébé gâté qui me frustrait... qui fréquente un gars et se frustre de le voir avec une autre fille alors qu'ils n'ont jamais discuté de sentiments ou d'exclusivité? Pauvre gars...

Je trouve aussi que la relation entre Alice et Alexis aurait pu être plus en profondeur. Surtout que c'est le premier garçon depuis longtemps dont elle tombe amoureuse, mais elle ne connait absolument rien de lui et leur relation n'est évoquée que par le désir physique... bof là.

Une sorte de roman d'apprentissage moderne et léger. Une jolie lecture qui vous fera croire a l'amour!