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4.05/5 (sur 133 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , 1964
Biographie :

Valérie Guinot est née à Paris en 1964 mais n’en conserve aucun souvenir. Elle se souvient d’avoir vécu très tôt de merveilleuses aventures grâce à la lecture de romans variés – ce que ni ses parents ni la réalité ne lui auraient permis de vivre "en vrai".

C’est peut-être parce qu’elle aimait particulièrement le rock anglais qu’elle a étudié la langue de Mick Jagger, ou parce qu’elle adore les scones (à moins que ce ne soient le thé et les promenades sous la pluie ?). Elle enseigne maintenant l’anglais tout en menant à bien d’autres projets – par exemple écrire des romans pour la jeunesse avec Pierre Guinot sous le pseudonyme de Valpierre ou encore tenter d’élever leurs enfants, Tristan et Hermione.

Valérie Guinot s’intéresse à la légende arthurienne depuis 1975 grâce à une série anglaise sur le "vrai" roi Arthur. Elle a rechuté à l’adolescence avec le film Excalibur puis a définitivement perdu le contrôle de sa passion en se plongeant dans une thèse sur la reine Guenièvre. L’écriture d’Azilis, l’épée de la liberté ne doit donc rien au hasard !

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Source : www.lesmondesimaginairesderageot.com
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Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
Le regard perdu dans les flammes, Kian revoyait les images de ce rêve affreux.
Il tentait de rejoindre Azilis. Il voulait la retrouver, la serrer contre lui. Il l'appercevait au loin, sur la coline d'Ynis-Witrin. Il courait mais elle s'éloignait sans cesse. Il l'appelait, il hurlait son nom. Elle se retournait et, soudain, comme cela arrive dans les rêves, il était tout près d'elle.
Elle lui souriait d'un sourire plein de mépris.
Et ses yeux, ses yeux...
Vairons. Un oeil bleu, un oeil noir.
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Il luttait contre une angoisse sourde, animale, qui se dépliait en lui comme un serpent prêt à bondir. Il n'était pas superstitieux, croyait en Dieu par habitude plus que par conviction. Cette fois, il sentait la présence d'une puissance immatérielle et la peau de ses bras se hérissait de peur.
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- Parce que tu penses que j'ai une chance de reconquérir Kian ?
- Et bien... Oui. De cela aussi je suis certaine. Bien que je ne puisse me fier qu'à mon instinct pour l'affirmer...
- Et ton instinct est fiable, murmura Niniane. Je l'ai maintes fois vérifié.
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Sa main glissa le long du dos d'Azilis. Elle frissonna, la peau parcourue de mille étincelles. Elle retint son souffle, fouettant sa volonté pour renforcer le mur qu'elle avait dressé entre elle et lui.
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L'espace de ce minuscule instant, elle vit qu'il avait maigri, que son bras était bandé, qu'il portait un torque d'or, qu'il était plus beau que jamais.
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La jeune fille la fixait d'un air implorant. Azilis comprit pourquoi elle l'avait suivie On la prenait pour un être aux pouvoirs extraordinaires parce qu'elle avait apporté Kaledvour à Arturus. Devenait magie la moindre déduction logique de sa part. Car qui ignorait que les jeunes gens se mariaient à l'automne, après la saison des combats et des moissons?
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La douleur des âmes était plus difficile à soigner que la douleur des corps.
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Elle n'était pas folle, non. Mais c'était peut-être pire.
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Elles rejoignirent Kian assis au soleil. Alors, comme l’Ancienne le lui avait enseigné, Azilis ferma les yeux puis les rouvrit pour fixer un point devant elle, la branche d’un aulne dans le soleil. Elle fit le vide dans son esprit, reprit contact avec chaque partie de son corps, laissa sa respiration ouvrir son cœur et son âme. Et quand elle se sentit prête, le désir de soigner surgit et tout son être se tendit vers ce seul et unique but. Sous l’œil attentif de Rhiannon – mais Azilis avait à peine conscience de sa présence – elle posa l’emplâtre avec des gestes rapides et précis. Elle ne vit pas le sourire de l’Ancienne qui l’admirait avec la fierté du maître satisfait de son élève. — C’est fini, fit la jeune fille en se redressant. Elle cilla deux ou trois fois, essuya la sueur qui perlait sur son front en regardant autour d’elle d’un air perdu. Comme toujours quand elle donnait des soins, il lui fallait un moment pour sortir de l’état de transe dans lequel elle s’était plongée.
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Le problème avec les forces noires n’est pas de les appeler, murmura-t-elle gravement, mais de les contrôler. Je te l’ai dit, tu ne sais pas de quoi tu parles. Tu ne connais pas la puissance de certaines formules, de certains rituels. Ne compte pas sur moi pour t’apprendre cette sorte de magie. Tu es trop jeune, tu t’y briserais l’âme. Et je suis trop jeune aussi pour me soucier de transmettre ce savoir-là, même à la plus douée des élèves. — Je ne comprends pas, Rhiannon. Tu soignes, tu guéris. Pourquoi faire le mal ? — Rhiannon ne fait pas le mal. Rhiannon passe parfois par la porte des ténèbres parce que les ténèbres nous entourent. Mais les prêtres du Christ ont raison de condamner cette porte. Que leur Dieu me pardonne !
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Peinture : Impressionnisme (2)

Sur les traces d'un jeune artiste né en 1851 à Montpellier dans une famille protestante aisée, passionné de musique et pratiquant la peinture en dilettante. Après avoir abandonné ses études de médecine pour se consacrer entièrement à la peinture il rejoint l'atelier du peintre suisse Charles Gleyre où il rencontre Pierre-Auguste Renoir, Alfred Sisley et Claude Monet auxquels il se lie et qu'il soutient financièrement à plusieurs reprises. A distance de la peinture académique et partageant leurs idéaux esthétiques Frédéric Bazille fait partie du groupe naissant des premiers impressionnistes "les historiques". Pourquoi n'a-t-il pas pu participer à la première exposition impressionniste de 1874 alors qu'il en avait suggéré l'idée en 1867 ? 😭✝️

Il s'était brouillé avec Claude Monet en 1873
Son père briguant la fonction sénatoriale s'y opposait
Gabriel Fauré son ancien professeur de piano l'en dissuada
il est mort pendant la guerre franco-prussienne de 1870
Il avait repris ses études de médecine

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Thèmes : peinture , impressionnisme , Expositions , histoire de l'art , peintreCréer un quiz sur cet auteur
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