Citations de Virginie M. Cansier (23)
À aucun moment sa main ne m’a lâchée.
Un soutien, un pilier… Un point d’ancrage dans la tourmente. Voilà ce qu’il représente pour moi.
Ce qu’il s’est passé entre nous, je sais que je ne le referai avec personne d’autre, jamais. Tu es unique, Ludi, vraiment. Tu es une femme possédant une très belle moralité, tu es patiente, compréhensive et tu manies les mots comme personne. Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais encore jamais rencontré quelqu’un comme toi.
Avant de te connaitre, je n’étais pas brisé comme je l’ai si souvent pensé, je ne l’ai jamais été. Par conséquent, tu ne m’as pas réparé. Jusqu’à ta rencontre, je n’étais pas « cassé », mais simplement incomplet. Il me manquait cette pièce importante à mon bonheur, à mon équilibre… Cette pièce, c’est toi. Tu es celle qui fait que je tourne rond. Avec toi, je me sens bien, complet. Apolline, tu es celle qui manquait à ma vie.
J’ai tellement souffert en apprenant quelle enfance tu as eue, et ce que l’on t’a obligé à faire. J’ai eu mal pour toi, je voulais te serrer contre moi, te rassurer, te consoler.
— Tu es si forte, tu te plains tellement peu souvent que par moment, j’en oublie presque que tu es blessée. Tu sais, je n’ai encore jamais rencontré une femme comme toi, tu es particulière. Je me sens bien en ta compagnie, je ne me mets pas la pression. Avec toi, j’ai l’impression d’être… moi.
Les images devaient se mélanger, s'imbriquer les unes dans les autres lui créant une réalité alternée.
- Je me disais jusqu'à hier que notre histoire se terminait par : jusqu'à ce que la mort nous réunisse. Et maintenant, que je te tiens, même la mort n'a pas intérêt à nous séparer !!!
Un trou dans la chaussée ? Il était pour moi. Un poteau sur mon chemin ? Je ne le voyait pas ! Une personne pressée courant dans la rue avec un gobelet de café dans la main ? Et bien, le liquide noir et brûlant finissait sur mon pull.
Akira a cette façon si particulière et bien à elle de me regarder, comme si elle me voyait moi et pas seulement ce que je représente.
C’est toi ma force. Tu es ma part d’humanité. Je ne veux par redevenir celui que j’étais parce que je n’étais rien d’autre qu’une machine.
Je sais comment atteindre Akira...sa plus grosse faille : C’est moi !
Je ne sais pas vraiment expliquer le pourquoi du comment, mais je me sens comme attaché à toi, relié. Ce qui s’est passé hier, la façon dont tu es parvenue à calmer mes angoisses en est la preuve. La toute première fois, quand je suis tombé sur ton profil, ça a fait une espèce de tilt auquel je ne m’attendais pas. Plus je parle avec toi et plus j’ai besoin de le faire.
Je t’aime depuis des siècles, depuis plus d’un millénaire. Toi et moi, c’est juste une évidence, ça ne peut pas être autrement. Toi et moi, depuis toujours. Tu es ma moitié d’âme Ali. Sans toi, je ne suis pas complet, je ne peux pas l’être.
Les lions buvaient, tout simplement . Il avait fait très chaud toute la journée, très chaud et l'eau chlorée de la piscine ne devait sûrement pas être à leur goût alors que le sang humain...La pauvre femme les avait hydratés, leur avait donné à boire . A la tienne Simba, un dernier verre pour la route ? Ils s'y étaient mis à plusieurs, un joyeux trio de copains attablés autour d'un délicieux apéro! Quand le sang avait cessé de couler, la faute du cœur qui ne battait plus, les lions s'étaient mis à ripailler !
A qui de droit. Munie de la clé et de mon sceau, rends-toi dans le caveau.
Quand la fiction rejoint la réalité, ce n'est jamais signe d'une bonne santé mentale.
Je suis le monstre qui vit sous les lits, dans les placards et les coins sombres. Je suis le chasseur auquel aucune proie ne peut échapper. Je suis la bête qui te suit et t'observe en silence, attendant le bon moment pour pouvoir te bondir dessus et te mettre en charpie.
Tu peux approcher, je ne mords pas. De nous deux, c'est toi le grand méchant loup.
A la guerre comme en amour, tous les coups sont permis.
Ces lions sont eux aussi des victimes, commissaire, ils n'ont rien demandé à personne, ce ne sont pas eux qui ont ouvert la porte avec leurs petites pattes !