Citations de Yomgui Dumont (71)
Albert m’a élevé comme son fils, et Tristan m’a accueilli comme son frère.
Ils sont ma famille.
Ensemble, on aide des jeunes comme nous à guérir de leurs terribles rêves.
On forme la brigade des cauchemars.
Ce procédé pour entrer dans les rêves... comment il l’a inventé, ton père ?
Je ne chais pas préchisément. Mais avant s’ouvrir la clinique, mon père a travaillé pour le gouvernement dans des projets top checrets...
Les rêves déforment toujours un peu la réalité...
L'absorbium améliore peut-être la profondeur de l'hypnose, amis il a des effets secondaire incontrôlable !
Dont celui d'effacer les souvenirs les plus récents !
Si je ne me souviens pas de mon passé, c'est peut-être parce que je n'ai pas de passé ?
- Pourquoi ces clés ?
- Par sécurité. Rien ne doit sortir du monde des songes ! Et cette porte est votre seul moyen de revenir dans la réalité. Sans elle, vous resteriez bloqués dans un cauchemar. Pour toujours...
ça suffit, vous deux!
Vous vous comportez comme des fantômes de fête foraine!
- Nous cherchons une salamandre, c'est ça ?
...
- C'est comment, cette sala-chose ?
- Une sorte de gros lézard, avec des taches jaunes. En Cochinchine, les soldats lui écorchaient la peau pour s'en faire des pantoufles.
Le handicap ne change pas ce que tu es au fond de toi.
Les cauchemars ne sont en fait que des rêves, en plus réalistes.
- Excuse-moi. Dans mon cauchemar, on était... amis.
- On peut l'être ici aussi.
- Je suis nouvelle dans la ville, je vais intégrer le lycée. Peut-être qu'on se reverra ?
- Tu m'étonnes qu'on se reverra. Je suis aussi au lycée. Tu me reconnaîtras vite, je suis le seul type en fauteuil roulant !
- Les gens qu'on aime continuent à vivre, quoi qu'il arrive.
- C'est mieux vivant... mais un mort, ça marche aussi !!
Je ne me souviens plus de mon passé.
Ni qui je suis vraiment, ni d'où je viens…
Albert m'a élevé comme son fils, et Tristan comme son frère.
Ils sont ma seule famille.
[pages 4 et 5]
lilith
Il y a vraiment des jours où l'éternité me semble interminable... Page 12
- Estéban « Regarde-moi Sarah ! Je sais ce qui te fais peur. Tu as peur de grandir ... Tu vois ton corps se transformer, devenir de plus en plus une adulte. Et ce monde, celui des adultes, il te terrorise. Quitter ta maison un jour, être encore abandonné et te retrouver seule … Mais tu n’es pas seule Sarah … Tu n’es pas seule !
Je ne sais peut-être pas d'où je viens... Je ne sais peut-être pas qui j'étais avant... Mais aujourd'hui je sais où je vais... Je sais qui je suis... Je sais aussi qui sera à mes côté. Il est temps de laisser derrière moi mon propre... Cauchemar.
Je suis un enfant ! Tous les enfants savent faire croire des choses aux adultes !
- Oh, à quoi bon être normal ? Les vivants sont obsédés par la normalité! Être vivant, c'est tout sauf normal !
Vous transpirez des pieds, des choses gluantes vous sortent des trous de nez.... Vous avez même des poils sur la tête !
- Ça s'appelle des cheveux, Walter.
- Arrêtez ! C'est pas marrant ! Mon père est gendarme, vous savez !