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Citations de Yûsuke Kishi (107)


Ces gens-là ne pensent pas de manière raisonnable. La seule chose qu'ils voient, c'est ce qu'ils désirent, et tout ce qui se place immédiatement devant est un obstacle.
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Nous sommes pourris jusqu'à l'os, nous puons l'argent et le crime, mais il n'y a pas de place pour un tueur psychopathe parmi nous.
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L’expression consacrée « profs par défaut » illustrait parfaitement la réalité de ces légions de profs dénués de toute passion pour leur métier et dépourvus du moindre sens du devoir.
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les chiens ont leurs têtes, comme les humains.
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Où donc allait cette énergie vitale lorsqu'elle était évincée d'un corps qui perdait la vie? Flottait-elle, pleine de rancœur, dans les limbes pour l'éternité ?
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De nos jours, on considère les festivals comme des évènements joyeux, mais on oublie souvent qu'ils sont nés de la terreur de la maladie et de la mort.
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L'école n'était pas un sanctuaire dédié à la protection des enfants, mais une arène où seule régnait la loi du plus fort. Afin de survivre, il fallait , soit avoir de la chance, soit faire preuve de beaucoup d'intuition, soit pouvoir déployer la violence physique nécessaire pour se défendre . Reika ne pouvait compter que sur son intuition.
Et celle ci lui avait envoyé des signaux de détresse si forts, depuis son entrée dans ce lycée, qu'elle avait hésité à en changer immédiatement. Quatre prof de ce lycée lui faisaient peur, comme jamais elle n'avait eu 3peur auparavant.
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Qu'était-ce, après tout, le destin ? On rencontrait quelqu'un, on faisait un bout de chemin ensemble, et on le jetait dans un baril de flammes pour mettre un terme à son existence. N'était-ce pas là le plus enrichissant des échanges ?
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Cet homme évoluait dans la noirceur d'une existence dépourvue d'espoir. Ce qui expliquait qu'il n'ait plus d'énergie que pour les fonctions basiques de son quotidien.
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Le politiquement correct est la pire barbarie que l'on puisse infliger à la culture ! Ces prétendus termes discriminants ne le sont que pour certains qui se sentent concernés. Il est intolérable que l'on massacre notre belle langue sur le caprice d'une minorité.
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Tsurii avait sorti le pied-de-biche qu'il cachait sous sa veste et en avait envoyé un grand coup dans la tête de sa femme. Keiko s'était écroulée juste sous les yeux du proviseur, resté prostré au sol.
Tsurii avait relevé son arme et s'était remis à frapper, plus de dix fois, sur le crâne de sa femme. Sous les chocs répétés, la tête de Keiko rebondissait contre le plancher, comme si elle se courbait pour demander pardon. Des bruits secs de craquements d'os s'étaient fait entendre.
Quant au proviseur, il était aux abonnés absents. Le visage maculé du sang de sa maîtresse, il tremblait tellement que sa mâchoire semblait vouloir se décrocher.
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Non, vraiment, le politiquement correct est la pire barbarie que l’on puisse infliger à la culture ! Ces prétendus termes discriminants ne le sont que pour certains qui se sentent concernés.
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Bébé, tout lui semblait si neuf, si attirant qu'il avait soif de connaissances inextinguibles. Il observait, touchait, faisait bouger l'objet de sa curiosité. Puis il le brisait. La maison était vite devenue un champ de ruines...
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Hasumi menait son cours tambour battant. Beaucoup de profs se plaignaient du manque de persévérance et des capacités d'attention réduites des élèves actuels, mais n'importe qui piquerait du nez au bout de cinq minutes d'un discours monotone marmotté dans une barbe. La solution ? Ne pas laisser aux élèves le temps de s'ennuyer...
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Il y a toujours un moment où l'élève [de sexe féminin], quelle qu'elle soit rend les armes et s'offre sans aucune résistance. Il faut pour cela lui faire passer des étapes de plaisir, de terreur et de souffrance. Hasumi ne comprenait pas pourquoi les professeurs du monde entier ne se penchaient pas plus sur la question.
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L'école n'était pas un sanctuaire dédié à la protection des enfants, mais une arène où seule régnait la loi du plus fort. Afin de survivre, il fallait avoir de la chance, soit faire preuve de beaucoup d'intuition, soit pouvoir déployer la violence physique nécessaire pour se défendre.
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Quatre-vingt-dix pour cent des tueurs avaient un modus operandi qu'ils répétaient, ce qui attirait fatalement l'attention des enquêteurs. Comme tout travail, le meurtre demandait de la passion, du soin, une capacité à toujours se remettre en question et à juger son oeuvre d'un oeil critique...
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Dans ce monde là, il ne connaîtrait pas de rival. Un seul coup d'oeil à ses collègues lui avait suffi pour le comprendre. Ces gens n'avaient pas l'esprit de compétition. L'école était un milieu comparable à une mare d'eau stagnante. La cache rêvée pour un requin qui n'aurait qu'à croquer tout ce qui y vivait.
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Il était étranger à l'empathie. Il reconnaissait le mensonge parce qu'il était lui-même un menteur aguerri, et si son jugement ne vacillait pas, c'est qu'il voyait le monde d'un œil dépourvu de la moindre compassion.
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Le lycée Shinkô Machida représentait pour Hasumi un vaste plateau de jeu d'échecs où chaque prof, chaque élève s'apparentait à une pièce. Il fallait sans arrêt manœuvrer pour que tout ce petit monde se déplace dans la direction souhaitée.
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