Nous, les Japonais, cherchons le bonheur et la satisfaction dans la tranquillité et la modestie, choses qui sont, au prix d’un faible effort, à la portée de tous – des riches comme des pauvres.
La nature est indomptable et, forcés au respect et à la crainte, nous sommes devenus fatalistes. En revanche, nous avons appris à jouir du calme après la tempête. Vivre dans une crainte incessante, ce n’est pas vivre, alors nous sommes devenus hédonistes.