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4/5 (sur 2 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Ziggy Kaïros est auteure de textes érotiques et pornographique.

son blog : http://ziggy-kairos.fr/blog/
page Facebook : https://www.facebook.com/ziggy.kairos

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Bibliographie de Ziggy Kaïros   (10)Voir plus

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Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
J'avais mis Évelyne au défi sans me douter qu'elle m'emporterait avec elle dans les recoins les plus inattendus de nos existences. Bien plus loin que je ne pouvais l'imaginer. Dans une autre de ses mises en scène domestiques, Évelyne épluchait des carottes. Je m'installai à table et la regardai mettre des coups de rabots aux légumes. J'étais revenu à l'enfance, captivé par les gestes précis de ma mère en pleine préparation du repas. Après avoir épluché la peau des carottes, Évelyne les râpa, toujours à la main, sans machine ni robot, comme ma mère l'avait fait en son temps, et quand il ne resta plus qu'une seule carotte à râper, la plus grosse du lot, elle remonta sa jupe et me montra son sexe, encore plus touffu qu'à l'accoutumée. Je me tenais assis aux premières loges. Évelyne avait l'allure d'une géante dans cette perspective. Son sexe avala la carotte d'un trait. Elle racla la racine orange dans son antre avec l'assurance d'une cuisinière. Prise par le délire, elle posa une main malencontreuse dans le plat et s'en mit partout sur le corps. Après avoir agité la carotte dans son sexe avec l'acharnement que lui connaissais, elle jouit en se frottant les seins avec les épluchures, en faisant tout pour que je n'en loupe pas une miette, allant presque jusqu'à poser son sexe sur le bout de mon nez. Enfin, elle reposa la carotte gluante sur la table, luisante de mouille encore chaude, et quitta la cuisine pour se rendre dans le salon, en titubant, d'où elle rejoignit une pièce que je ne connaissais pas. Je n'osais pas la suivre et ne pus la rejoindre. J'entendis la serrure d'une porte se fermer, celle de la salle de bains, j'imagine. Il restait cinq minutes avant que ma montre ne sonne. Je ne voulais pas quitter la maison plus tôt, de peur de rompre le rituel, mais en même temps c'était elle qui n'avait pas tenu sa part du contrat. Jusqu'au dernier moment je m'attendais à ce qu'elle revienne, et l'envie fut trop forte de me branler. Je sortis mon sexe et me masturbais à mon tour. Je ne trouvais qu'une seule chose apte à recueillir ma semence, le plat de carottes râpées, que j'attrapai afin de me vider en plongeant le bout de mon gland directement dans la mixture. Ma montre sonna alors que je nettoyais mon sexe au lavabo. Je pouvais partir désormais, quelque peu secoué d'avoir rompu le protocole. Cette simple entorse au programme eut des conséquences insoupçonnables sur ma conduite, bien plus que le fait de tromper ma femme. Au point de me demander sur le chemin du retour si je remettrais un jour les pieds chez Évelyne.
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La salle de bains m'avait fait perdre mon érection. Le postiche était toujours à ma disposition, sauf que je ne me sentais pas capable de sortir mon sexe dans cet endroit trop propre. Toutefois, je retrouvai mon érection dans un vertige multicolore, quand Rosa eut disposée des sexes translucides sur les murs ; rouges ; bleus ; verts ; tous tenus sur la faïence par une ventouse ; tous attirés vers le sol par la gravité. Explicite, la mise en scène réclamait aussi mon sexe. Rosa était assise sur la cuvette des toilettes, sur laquelle l'un des godes était lui aussi fixé, tendu droit vers le plafond. Elle s'affairait dessus. Elle montait et descendait sur sa monture à la texture de bonbon gélifié tout en suçant un autre sexe collé au mur le plus proche. Son corps se tordait dans tous les sens, la colonne vertébrale aussi souple que son bassin. Elle se forçait à le sucer jusqu'au bout. Plusieurs fois de suite elle insista, les larmes aux yeux. Elle régurgita un flot de salive épais venu du fond de la gorge. Une seconde fois, elle se força à l'avaler tout entier en essayant, dans un dernier mouvement d'humeur, de toucher le mur avec sa langue. Son visage s'enflamma et la forme du sexe déformait sa trachée. La vue de sa gorge bosselée me révulsa. Pourtant, une part de moi-même se régalait du dommage. J'éjaculai en même temps qu'elle se retirait, prise d'un haut-le-cœur semblable à un coup de poing dans le ventre. Nous étions pris tous les deux des mêmes tremblements, pris dans un même vertige de dégradations. L'image resta fixée un long moment dans ma mémoire, tout au long de la nuit. Elle avait vomi au même rythme que les contractions de mon éjaculation. De fait, pressentir un lien de cause et d'effet entre les deux actions n'avait rien d'une idée farfelue. Ce n'était pourtant qu'un début. Rosa passa ensuite aux trois godes collés sur les murs de la douche. Trois sexes de synthèse que l'on aurait cru placés là par hasard. Trois excroissances dont je découvris la signification quand elle se brancha dessus, l'un après l'autre. Un sexe dans le cul, pour commencer, l'autre dans une main, et le troisième sur le bout des lèvres. De sa main libre, elle tenait la pomme de douche qui lui enflammait les cuisses. Cette triple masturbation infernale trouva son terme dans un cri mat. Elle chuta à nouveau sur le sol, glissa vers moi pour une ultime provocation, la main de nouveau perdue dans les entrailles. Quand elle ressortit le poing d'entre ses reins, son anus se révolta plus qu'à son tour. Une boule de viande indignée se déploya à l'air libre. D'un simple bouton à peine visible, une rose fleurit en quelques secondes de ses sphincters, impatiente et emplie d'un éclat luisant. Chaque crevasse portait sa propre couleur. J'avais tout loisir de découvrir ses nuances de roses, de rouges, de pourpres, de vermillons, ses variations de textures et de consistances, une pulpe spongieuse où je n'aurais pas osé un doigt. Tandis que les abords de ses tripes s'épanouissaient dans l'air saturé d'humidité en prémices d'une tempête annoncée, je me refermais dans ma coquille, très loin, dans un lieu où même le tonnerre ne pénètre qu'avec prudence. Le bouquet de chair me nargua quelques secondes avant de reprendre place dans ses quartiers secrets qu'il n'aurait jamais dû quitter.
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Les douches suivantes, je m'aventurais de plus en plus loin. J'avais coupé mes ongles à ras et j'avais trouvé la bonne manière de passer le premier doigt sans me faire mal. Un second doigt commençait d'ailleurs à passer avec de plus en plus de facilité. Je variais les plaisirs en testant tous les doigts et en variant les combinaisons. Je commençais toujours avec le petit doigt. Le majeur me permettait d'aller fouiller au plus loin et de me réchauffer le ventre en profondeur. Avec le pouce, mon préféré, j'aimais me percuter le poing contre les fesses jusqu'à ce que ma rondelle brûle à vif. Très vite, j'ai compris que je pouvais me mettre deux doigts de chaque main pour m'étirer la rondelle comme un élastique. Je me sentais alors grande ouverte. Je respirais avec le ventre pour sentir tous les muscles de mon cul se contracter et se décontracter. Allongée dans ma baignoire, les jambes en l'air, le cul juste au-dessus de la surface de l'eau, mon cul s'ouvrait et se refermait comme la bouche d'un monstre marin. Il avalait l'eau, la mousse, l'air pour mieux les recracher dans un torrent de jets embrouillés, étanchant au passage sa soif de chaleur et de caresses crémeuses. Plus qu'un jeu, c'était mon corps que je prenais en main, avec toutes ses nuances de sensations, de plaisirs et de souillures. Je comprenais vaguement que c'était mon secret à moi. Je me gardais bien d'en parler la première, songeant à ce que pourraient penser celles qui n'avaient pas encore eu la curiosité de se mettre un doigt de ce côté-là.
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Le principe du strip-poker c'est que la perdante finit à poil. Dans ma jeunesse, quand j'avais encore l'âge de participer à des soirées pyjama, Delphine y avait ajouté le principe suivant : les perdantes devaient exhiber une partie de leur anatomie, leurs fesses, leurs seins ou leur sexe.

Nous étions entre jeunes filles à différents stades de notre puberté. Et je crois que cela nous a grandement aidés à accepter les étrangetés de nos corps respectifs. C'est aussi en perdant une partie de strip-poker que j'ai pris mon premier doigt dans le cul. Le pouce de Delphine, pour être précise.

Sur le coup, je n'avais pas idée de ce qui venait de m'arriver. Des rires avaient envahi la chambre tandis qu'un mélange de douleur et de honte remontait d'entre mes fesses jusqu'à recouvrir la surface de mon visage, troublant mon teint de porcelaine d'une jolie couche de carmin.

Je fus tellement surprise que je n'ai pas osé bouger. Delphine avait remué son pouce durant un petit moment, le temps de provoquer quelques gloussements dans l'assistance. Elle avait enlevé son doigt et nous avions repris notre partie comme si de rien n'était. Si j'avais tâché de ne plus perdre ce soir-là, je n'ai pas pu m'empêcher de retenter l'aventure le lendemain, dans mon lit, avant de m'endormir. La douleur et le désagrément furent les mêmes que la veille, la honte en moins.
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Elle commença à se débattre quand elle comprit que l'homme irait jusqu'au bout du délire. Elle agita tellement son cul qu'il ne put s'empêcher de l'empoigner. Ses doigts ne lui retenaient plus le crâne, ils cherchaient désormais à traverser la culotte. Cette frontière passée, il lui travailla le cul en cherchant à y passer plusieurs doigts à la fois.
Elle était si essoufflée qu'elle ne put empêcher l'homme de lui mettre ses doigts dans la bouche, autant pour les essuyer que pour les lubrifier.
Zorha sentit le goût de son propre cul lui envahir la bouche, ce qui raviva son excitation.
Anticipant les attentes de son maître, elle se positionna quatre pattes devant le lit, dans une position doggystyle exécutée à merveille - reins cambrés - cul en l'air - vulgairement offerte à toute forme de pénétration par l'arrière.
Elle voyait cela comme un moyen de détourner l'attention pour ne pas subir encore une fois l'asphyxie.
Le Renard réagit comme elle s'y attendait. Il se dirigea la bite droite en avant vers son petit cul de soumise. Pour l'accueillir au mieux, elle s'écarta les fesses, s'aidant de ses mains pour ouvrir un trou du cul aussi rose que son vernis à ongles.
Lui, il contemplait le spectacle, s'amusant à taper avec le bout de sa bite sur le trou entrouvert tout en la tenant court sur la laisse. Autant de marques d'affection qui firent glousser Zorha. Elle n'en pouvait plus d'attendre et en même temps elle craignait qu'il ne lui déchire le cul par trop d'impatience.
Au contraire, il ne chercha pas à forcer le passage. Il rentra par petits à-coups. Il lui laissa le temps d'apprécier la pleine mesure de son format XXL, même s'il n'envisageait pas pour le moment de lubrifier. Il pénétra Zorha centimètre par centimètre. Son gros gland se plaisait à s'enfoncer dans la chaleur moite de son entrecuisse.
Ce n'est qu'une fois complètement entré en elle qu'il ressortit sa queue pour la lubrifier correctement.
Durant ce laps de temps, Zorha releva ses fesses d'un geste automatique pour que l'homme s'enfonce encore plus en elle comme dans une vraie chienne.
Elle sentit chaque centimètre de sa queue la pénétrer à nouveau. Chaque centimètre de bite comme un message différent : c'est moi le mâle - c'est moi qui commande - lâche une larme si tu veux… un langage de domination par la chair. Des mots crus sur une réalité crade.
Arrivé au fond de son cul, il lui offrit un nouveau moment de répit. Il sortit sa bite pour se faire sucer. Une nouvelle fellation forcée en gorge profonde, si violente que Zorha n'eut même pas le temps de sentir l'odeur de son cul lui traverser la bouche.
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Le traducteur tentait de lui expliquer un mot japonais recouvrant un triple sens (honneur, soumission et résignation) tandis que les hommes d'affaires se branlaient autour d'elle.
Derrière leur politesse rituelle et leurs salutations démonstratives, les Japonais n'étaient pas réputés pour se laisser faire. L'un d'eux força Joséphine à se mettre à genoux avec une sorte de prise de judo. Elle ne put opposer qu'une résistance de façade. Elle serait la victime de cette affaire, consentante ou non.
À peine se tenait-elle sur ses genoux que le premier des hommes lui éjacula dans les cheveux... et splash !
Un honneur, se dit-elle en recevant une seconde décharge sur le front... quelle horreur, se faire juter dessus par dix Japonais en pleine crise de la cinquantaine devant tous les gens de ma boîte, et mes cheveux ? putain… et mon tailleur ? comment ça se nettoie le sperme sur du lin ?...
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Cette démonstration m'était-elle à moi seule destinée ? Je ne le crois pas. Son message s'adressait à l'humanité toute entière. Tel un papillon sorti de sa chrysalide après plusieurs mois de lente métamorphose, Pierre n'était plus un garçon, encore moins un homme. Pour un quart d'heure il était devenu la créature la plus bandante de tout l'Internet.
La petite fenêtre de la webcam me donnait accès à un monde où les choses étaient écrites d'avance. La vérité se présentait comme une pomme à cueillir sur l'arbre alors que le sol se dérobait sous mes pieds.
Pierre se transformait pour de vrai en outrepassant les limites de son corps, avec un véritable savoir-faire. Je me sentais fondre dans le fauteuil, vidée de ma substance.
Je ne me serai jamais attendue à mouiller, ni à ouvrir les boutons de mon jean pour y faufiler mes doigts.
Je ne résistai pas à me branler, moi aussi. Notre masturbation commune était devenue le point culminant de cette transfiguration express. Nous nous branlions ensemble, chacun du côté de notre miroir. Il ne me voyait pas et je voyais tout, sauf l'essentiel, incapable de comprendre les sensations qui se ruaient sur ma conscience.
Je ne savais plus vraiment qui j'étais - perdue, prise dans une vague, un tourbillon d'idées folles agitées jusqu'à la nausée.
Depuis le départ, je n'avais joué qu'un rôle subalterne. Je m'étais cru architecte alors que je n'avais rien contrôlé. Pierre n'avait pas cherché une coach à proprement parler : il avait cherché un témoin.
Il finit par jouir dans ses collants, en gros plan devant la cam. Le signal coupa sans autre forme de procès. Quant à moi, je séchai mes larmes et mes cuisses en priant pour qu'il ne me quitte pas pour une autre
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« Y'a pas plus simple comme jeu. Tu viens mettre ta langue sur mon trou du cul et tu vas lécher bien partout jusqu'à ce que tu arrives à la faire rentrer à l'intérieur… Si t'arrives à me faire jouir on dira que t'as gagné. Kapish ? »
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Un condensé de violence suivit cette rapide leçon de choses. Gloria saisit l’homme par la gorge, le regard acéré, la pose chirurgicale, l’attitude millimétrée, plus que jamais confiante en ses qualités d’actrice. Au tour du garçon d’entrer en piste avec cette nouvelle paire de bites, plus fraîches, plus grosses, plus vigoureuses.
Gloria lui colle le visage contre ces gros sexes luisants. Elle ne l’oblige pas tout de suite à sucer. Elle se contente de lui tenir la tête et la secoue dans tous les sens, sur l’une, sur l’autre. L’idée est simple : s’il n’a jamais vu une bite en gros plan, c’est le moment de découvrir quelle odeur ça peut avoir, une vraie bite de mec qui n’attend qu’une bouche pour cracher sa purée.
Il ne pourra pas dire qu’il ne connaît pas la sensation d’une bite lui frappant le visage, tant Gloria s’amuse à lui mettre des coups de gland sur les joues et sur le bout du nez. Elle le prend par surprise, au moment où il s’y attend le moins pour lui mettre dans la bouche et pousser un grand coup sur sa nuque.
La caméra accompagne les impulsions de Gloria – laquelle pousse et repousse sur la tête du garçon pour lui imprimer le bon rythme, celui d’une bonne petite machine à sucer.
Quand il a enfin compris qu’il n’échappera pas à l’humiliation, il se met à sucer de lui-même, d’avant en arrière, comme lui a montré la bimbo la plus célèbre de la planète.
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Un truc enfoui en elle qui la terrorisait venait de refaire surface : la peur de se lâcher et de faire n'importe quoi. Et surtout la peur de croiser quelqu'un au courant - car l'info avait circulé - cinq minutes après le show tout le lycée était au courant des frasques de la Beyoncé du 9-2.
Sur les photos : elle avait surtout l'air d'une Mariah Carey qui aurait un peu trop forcé sur le maquillage et les confiseries. Mais tous les mecs la trouvaient assez salope pour espérer la mettre dans leur lit.
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