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Critiques de Éric Boury (112)
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La pierre du remords

Pour les amateurs et amatrices de polars qui viennent du froid, Arnaldur Indriðason est un écrivain incontournable ! Je l’ai découvert en 2006, grâce à un film « la cité des jarres », depuis je ne rate aucun de ces nouveaux livres ! Celui-ci fait partie d’une série avec le personnage de Konrad, policier atypique à la retraite, hanté par de l’assassinat de son père, personnage peu recommandable et celui de cette vieille femme qui recherchait son fils abandonné 40 ans plus tôt … deux enquêtes… comme toujours, une écriture pleine de sensibilité et une peinture de la société finlandaise ; et en fil rouge, le remord qui peut empoisonner une vie entière. J’ai beaucoup aimé, et comme chaque fois, un coup de cœur ! (en février paraîtra son prochain livre « le roi et l’horloger »)
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La pierre du remords

J'ai découvert ce roman policier islandais et j'ai envie d en lire d autres de cet auteur. L'histoire m a tenue en haleine car on a envie de connaître la vérité. J ai aimé aussi car il n y avait pas une multitude de meurtres même si il y a eu des dommages collatéraux. A lire pour passer un bon moment de lecture.
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La pierre du remords

À la manière de Simenon et son incontournable Maigret, l’auteur islandais propose au lecteur les enquêtes du célèbre mais modeste inspecteur Konrad. Ce roman est le troisième de la série des « Enquêtes de Konrad ».

Konrad, bien que retraité, reprend du service, poussé par le remords. Il y a peu de temps, une vieille femme était venue lui demander de retrouver la trace de son fils abandonné à la naissance voici une cinquantaine d’années. En retraite et guère motivé par ce projet, il avait décliné l’offre. Pourtant, cette femme est assassinée chez elle et la police retrouve à son domicile le numéro de téléphone de Konrad…

Souhaitant réparer sa faute, Konrad va mener sa propre enquête et aller de surprises en surprises. Jusqu’à se retrouver confronté à un vieux souvenir douloureux : la mort brutale par assassinat de son propre père.

Arnaldur Indridason est un expert de l’analyse psychologique. Aucun des personnages n’est anodin ou creux ou transparent. Ils remplissent tout l’espace, possèdent une densité très inspirée. L’atmosphère du roman, plutôt sombre, happe le lecteur qui prend plaisir à suivre une intrigue sans coups de force ni violence excessive.

Indridason donne à voir le monde tel qu’il est, sans forcer le trait mais sans complaisance. Les pages défilent et on ne voit plus le temps passer. Le lecteur est pris par le sujet, les acteurs et les paysages islandais si envoûtants.

Sa manière d’écrire ressemble beaucoup à celle de Simenon. Il éclaire avec talent et par petites touches les travers, les défauts et la manière de vivre islandaise, comme le feraient historiens, sociologues ou ethnologues. Chaque mot semble pesé, réfléchi et arriver à la bonne place, au bon moment. Sous une allure parfois bonhomme, comme Simenon, il amène son lecteur à réfléchir, plaçant le polar au niveau de la meilleure littérature.

Je ne manquerai pas de lire les trois autres enquêtes de Konrad pour y puiser divertissement mais aussi réflexion et ainsi réaliser quelle chance a notre espèce humaine de pouvoir ainsi multiplier à l’infini ses expériences et ses représentations du monde au travers de la littérature. Comme je plains ceux qui ne savent pas lire ou ne veulent pas lire. Leur monde est limité, terne et sans espoir.



Michelangelo 2/12/2022


Lien : http://jaimelireetecrire.ove..
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La pierre du remords

Konrad est un personnage attachant. Solitaire, introverti, mais terriblement humain. C’est lui qui sauve l’intrigue qui n’est pas haletante de mon point de vue. Deux histoires en parallèle (celle du passé de Konrad, et l’enquête en elle même) m’ont fait perdre l’attrait du départ au fur et à mesure.

Je n’ai pas retrouvé non plus cette Islande que j’adore!

Un livre distrayant toutefois si vous souhaitez vous installer au chaud avec une bonne tasse de thé pour un après-midi.





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La pierre du remords

Cette enquête sur une vieille dame assassinée chez elle nous emmène dans un superbe voyage en Islande. Ce roman est un concentré de mystère, de suspense avec une pincé d'ésotérisme. Des médiums avec un reel don, des arnaqueurs ? Un peu des deux ?
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La pierre du remords

Un polar d'Indridason, c'est comme un panorama des terres islandaises : un premier plan plan qui en masque un deuxième, des routes éloignées qui finissent par se croiser, des nuages lourds qui remontent du passé...

C'est aussi une certaine langueur, un climat vaguement dépressif qui semble imprimé par le temps, une nostalgie du temps d'avant (avant le tourisme, la crise de 2008, la profanation de la virginité de l'île... et d'avant la cigarette électronique sur laquelle l'auteur fait une sacrée fixette ) qui transparaissent sous une intrigue qui se complexifie au fil des pages pour finalement ramener tous ces rameaux en un seul.

en point de départ et en point d'orgue, plan séquence sur les occupants d'un immeuble où ici une femme fume, une autre est battue par son mari, une autre est sauvagement assassinée, observée par un home de sa fenêtre.

Entre ces deux plans, Konrad, vieux flic retraité, va tirer le fil de l'histoire de cette femme morte qui l'avait contacté pour qu'il l'aide à retrouver son enfant, ce qu'il avait refusé. Il ouvre l'enquête pour se racheter, cherchant au passage l'assassin de son père.

Plus que l'intrigue, c'est l'atmosphère qui est attirante chez cet auteur, qui met en scène la face noire de l'âme humaine pour mettre en avant la singulière beauté de son île, avec ses noms et ses reliefs impossibles.

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La pierre du remords

un meurtre a été commis, un policier à la retraite est pris de remords car la personne décédée l’avait sollicité quelque temps auparavant pour lui confier une enquête.



Nous partons donc à la recherche de l’assassin de cette femme sans histoire. Cette quête va nous mener plus loin qu'imaginé au départ. Les actions de cet ancien policier porteront ils leurs fruits ?
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La pierre du remords

Indridason, je connais... surtout pour les enquêtes d'Erlendur. La série des Konrad en revanche, je découvre, en commençant par le troisième opus (pas très logique me direz-vous ! Les circonstances vous répondrais-je...).



Une vieille femme est assassinée, et Konrad, qui avait refusé de l'aider à retrouver son fils abandonné plusieurs décennies auparavant, culpabilise. Il va donc tenter de réparer son erreur...



Passé et présent s'entremêlent dans ce récit, sur lequel greffe l'enquête autour du meurtre du propre père de Konrad. L'enquête se tient, plutôt plaisante, mais le rythme est assez lent. Peut-être faut-il que je lise un autre volume consacrée à Konrad pour me faire une idée plus précise...







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La pierre du remords

Konrad, ancien policier à la retraite aurait dû aider cette femme qui vient d'être assassinée. Elle l'avait contacté pour qu'il puisse retrouver son enfant qu'elle avait abandonné à la naissance il y a 50 ans. Il se culpabilise, il va donc essayer de retrouver et l'assassin et cet homme. Il est aussi en quête de son histoire personnelle , la mort de son père. Deux histoires en parallèle qui se suivent très bien . Une enquête dans la souffrance, des retours en arrière, l'abandon, la maltraitance.

Se lit facilement.
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La pierre du remords

Un audio d’Indridason à la médiathèque, je ne résiste pas à faire un petit tour en Islande. C’est un bon polar comme il sait les faire, l’ambiance, deux enquêtes qui se croisent, c’est sa touche personnelle, pas d’images morbides, un peu de sang mais pas trop. Il est question d’une secte, des anti-avortement, des crimes de jeunesse que l’ancien inspecteur ressuscite, des violences faites aux femmes. Des amitiés dans la police, dans la vie et des fatalités dramatiques m’ont touchée.Des personnalités qu’on respecte puis qu’on conspue. Et pour finir, des quais, des fumoirs, des gens dans leur immeuble au quotidien, tout un décor que j’ai bien visualisé. Il y a des peines enfouies, des remords, des culpabilités, des dons spirituels inquiétants mais aussi de l’abject et du révoltant. Le tout est bien transmis à l’oral par Martin Spinhayer.
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La pierre du remords

Konrad, l'ancien policier qui hante les derniers romans d'Indriðason, essaie, un peu tard, de remplir la mission que lui avait confiée une vieille femme. Cette dernière a été assassinée dans des conditions assez sordides. le meurtre d'aujourd'hui serait-il lié à l'enfant qu'elle abandonna bien malgré elle et qu'elle l'a chargé de retrouver ?



Encore une enquête qui avance à pas de sénateur : brouillant les temporalités, Indriðason mêle le surnaturel au prosaïque dans un récit par trop alangui. le twist final -ô mânes de Laïos et Jocaste !-, improbable, gâche un peu plus ce polar cendreux et éthéré.



En espérant que le prochain roman fera moins de place aux péripéties médiumniques du père de Konrad, cette fripouille dont la mort violente reste un mystère...



Paresseux.
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La pierre du remords

Ce n'est pas le premier roman noir d'Indridason que je lis, mais je découvre un nouveau personnage : Konrad, policier à la retraite qui s'ennuie, veuf, et qui traîne un lourd passé familial.



Son père qui était un fieffé escroc a été assassiné devant les abattoirs. C'était un véritable salopard qui soutirait de l'argent avec la complicité d'un soi-disant medium, à de pauvres crédules.



Je retrouve donc les spécificités de cette île qui enregistre un faible taux de crimes de sang, où la population fort réduite est liée par de multiples liens, où tout le monde se connaît plus ou moins.



L'histoire est étrange : une vieille dame, Valborg, contacte Konrad dont elle sait qu'il a résolu jadis une énigme, et lui demande de retrouver un enfant qu'elle a abandonné à la naissance, alors qu'elle se sait en dernière phase de sa maladie.



Elle ne sait rien de lui, ni si ce fut une fille ou un garçon, mais né à la suite d'un viol au début des années 70. Elle avait été persuadée de renoncer à une interruption de grossesse et d'abandonner l'enfant par une élève sage-femme appartenant à une secte proscrivant l'avortement.



Quelques jours après cette rencontre entre l'ex-flic et Valborg, la vieille dame est assassinée, à son domicile ...



Violences conjugales, trafic de stupéfiants, chantage, ésotérisme, vieilles légendes scandinaves : l'enquête s'éparpille à la manière d'un kaléidoscope, puis les fils se renouent. Chapitres courts, multiples flash backs, nombreux personnages, entremêlement entre ce crime et la propre quête de Konrad pour élucider le meurtre de son père ... Des affaires non élucidées, la difficulté de retrouver les pistes, les témoignages, près de cinquante années plus tard.



Dans l'environnement particulièrement venteux et froid de cette île lointaine ...



Ce qui m'étonne, c'est ce thème du rôle des sages-femmes qui revient dans au moins deux romans islandais que j'ai lus cette année ... alors que le sujet de l'avortement réapparaît avec fracas aux Etats-Unis aujourd'hui.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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La pierre du remords

Décevant.

C'est le premier Indridason qui me laisse sur ma faim : multiplication des personnages secondaires, retour en arrière non justifiés, un travail d'enquête et un dénouement sur de seuls soupçons, une absence totale de suspense...

On est loin des premiers Indridason.

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La pierre du remords

J'ai lu ce dernier roman d'Indridason, à sa parution en poche, je les lis tous, toujours avec plaisir.

Là nous sommes avec Konrad, policier en retraite, qui reprend une enquête à titre personnel, en parallèle avec la police, la victime lui ayant adressé une requête un mois avant son assassinat. A cette démarche se mêle une recherche personnel de Konrad concernant la mort de son père assassiné quand il était jeune.

J'aime ce type de romans policiers. Ils sont proches de la vie réelle.

Le roman n'est pas toujours facile à suivre. Il y a les noms difficiles à mémoriser. Mais il y a aussi le fait que plusieurs affaires ou histoires se mêlent. Ajoutez à cela des retours dans le passé, des personnages qui passent brièvement et qui joueront un rôle plus tard.

Mais on suis bien l'histoire, le dénouement nous surprend.

Je continue donc à apprécier cet auteur.
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La pierre du remords

Un bon roman d'Indridason, à la lecture agréable, mais sans plus. La trame est classique et la révélation finale un peu tirée par les cheveux. Pour autant, j'ai pris plaisir à suivre l'évolution de l'enquête de Konrad sur la mort de son père et ce fil conducteur à la série est plutôt intéressant. Je lirai donc, bien évidemment, le 4ème volet de cette série d'un de mes auteurs préférés.
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La pierre du remords

Lectrice fidèle des polars d'Indridason, je suis encore heureuse d'avoir lu son dernier opus.

La pierre du remords est un véritable puzzle, une sorte de kaléidoscope que Konrad, un policier à la retraite tente de reconstituer.

Indridason sait à merveille composer avec les sentiments profonds et complexes qu'engendrent le remords.

Au fil de cette nouvelle enquête, la mort d'une femme qui a demandé de l'aide à Konrad qui lui a refusé sans savoir pourquoi.

Le remords le tenaille tellement qu'après le meurtre de cette femme, il déploie toute l'énergie qu'il peut pour retrouver l'assassin.

Indridason sait habilement mêlé l'enquête dans l'enquête.

Car Konrad lui aussi mène l'enquête de sa vie,il cherche le meurtrier de son père.

Arnaldur Indridason réussit à nous convaincre une fois de plus,qu' à travers de banals meurtres, des vies derrière sont brisées, sans espoir, passant d'un remords à un autre, qui parfois s'assimilent à porter des deuils vivants.

À tous les lecteurs de bons policiers, la lecture de : La pierre du remords s'impose magistralement.

















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La pierre du remords

La suite des aventures de Konrad m'a plu. J'ai d'abord aimé retrouver ce personnage pugnace, patient, et surtout, terriblement humain. Il est facile de s'identifier à lui.

En parallèle de son enquête, Konrad continue de penser au meurtre non élucidé de son père, et cherche également, si ce n'est à résoudre l'affaire, du moins à comprendre ce qui aurait pu se passer, et pourquoi. Là encore, il fait équipe avec Eglo. Comme dans le tome 2, ils sont complices, mais se défient un peu l'un de l'autre, car ils ne sont pas d'accord quant à certaines façons de voir. Je ne sais pas trop auquel des deux donner raison à propos des deux éléments les opposant. Concernant l'un d'eux, selon les événements décrits, c'est Eglo qui a raison. Cela fait que le lecteur se pose forcément la question de cet élément dans la vraie vie...

[...]

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La pierre du remords

Troisième volet de la série mettant en scène le retraité inspecteur Konrad, voici de nouveau un polar ADN. En effet, l’intrique tresse les brins de deux intrigues séparées de plusieurs décennies avec les mêmes personnages, ou leurs descendants. L’auteur sait habilement maintenir le suspens, presque jusqu’à la fin, comme dans les deux épisodes précédents. Les lecteurs des deux aventures ont deviné qui a tué qui, peu importe, soyons généreux. C’est aussi un roman “entrecôte, cette pièce de bœuf où les morceaux de gras viennent donner texture et goût au plat, mais que l‘on laisse sur le bord de l’assiette. Moins de gras que dans les précédents, où l’auteur nous épargne ses histoires de famille et autres bruitages inutiles. Donc, une plaisante lecture.
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La pierre du remords

Première lecture de cet auteur. Troisième roman de cette série. Pas l'idéal semble t-il pour commencer mais comme je n'ai pas été gêné par ce qui s'est passé avant, mon ennuie pour cette lecture ne vient pas de là.



Plusieurs choses m'ont dérangées :

- Déjà, j'ai du mal avec les auteurs venant du froid notamment parce qu'ils utilisent des prénoms où il faut déterminer si c'est un prénom ou le nom d'une ville ! Et lorsque l'on sait que c'est un prénom, s'il est féminin ou masculin (et je ne parle pas, heureusement, du non genré !!!).

- Ensuite, c'est bien souvent des polars noirs, pas ce que je préfère.

- Tertio, ils sont assez tordus dans leur démarche d'enquête et là, c'est le pompon !

Pour résumer, une femme, Valborg c'est son prénom pas le nom de la ville 😜, demande à un flic en retraite de retrouver son enfant qu'elle a abandonné à la naissance, sans même connaître son sexe. Il refuse. Elle meurt assassinée. Il se met à enquêter sur l'enfant pendant que sa collègue en exercice enquête sur le meurtre. Et dans le même temps, il enquête aussi sur le meurtrier de son propre père, un escroc, qu'il ne porte pas dans son cœur et qui est mort avant qu'il ne rentre dans la police !

Un rapide le type !

On est bien loin de mon cher Hercule Poirot.



L'histoire est très lente en plus. Il y a beaucoup de personnages. Plusieurs narrateurs. On bascule sans arrêt du passé au présent. Et le tout, sans notification en début de chapitre.

La fin est, pour ma part, très décevante et appelle à une suite sur une partie de l'histoire.

Donc, ça sera sans moi, vous l'aurez deviné, et l'auteur continuera son bonhomme de chemin sans aucun remord de ma part.
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La pierre du remords



Une femme d’un certain âge est assassinée par son cambrioleur. Il se trouve que quelques semaines auparavant, elle avait contacté Konrad pour qu’il recherche l’enfant qu’elle avait abandonné à sa naissance. Honteux d’avoir éconduit cette femme sans raison, il décide de mettre tout en œuvre pour retrouver cet enfant.

Nous voici immergés dans l’histoire de plusieurs familles avec leurs drames et parfois leurs réussites. À nouveau, Konrad enquête sur une époque éloignée et l’auteur nous décrit les frictions sociétales de la fin des années 1960, notamment en ce qui concerne l’amour libre et son corollaire, l’interruption volontaire de grossesse.

C’est sur fond de tragédie antique que se construit ce nouvel épisode dans lequel on retrouve une Martha d’autant plus grincheuse qu’elle essaie d’arrêter de fumer et où l’on est toujours confronté au duel spiritisme vs pragmatisme.

Le premier chapitre est un petit bijou en soi et le talent de l’auteur lui donne une fonction de fil rouge qui suivra avec intelligence toute l’enquête.

Toujours autant de plaisir à lire ces enquêtes qui sont faites de partage de culture et d’une grande humanité.

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