Une chanson que j`aime beaucoup sur le Vietnam !
En ce moment, je suis plongee dans un roman qui raconte l`histoire d`une femme et d`un pays.
2 264 soldats américains toujours portés disparus et dont on ne sait rien. (...)
Si le gouvernement pouvait retrouver comme par magie chacun des GI disparus au combat, ou leur plaque d'identité ou l'emplacement de leur tombe, ou leurs restes, ou N'IMPORTE QUOI, tout cela serait demain sur les marches de la Maison Blanche ! Mais nous ne pouvons pas faire plus. Après avoir épuisé tous les moyens d'enquêtes officiels, nous nous sommes tournés vers le peuple. Nous avons promis des récompenses pour récolter des uniformes, des plaques ou des cartes d'identité, des photographies, des ossements, quelque chose qui puisse donner une indication. Et vous savez ce que nous avons obtenus ? Des os de chien, des insignes du PX, de vieilles photos de soldats depuis longtemps retournés chez eux".
Il est tard ce soir
Quand la cloche éveille
Mon âme
Hâte-toi et va
Reconnaître la
Vérité
Qui t’éclairera
A genoux sous l’arbre
De Bouddha.
Grâce à son regard
Tu vas oublier
Le passé.
Pardonner son frère
Est se pardonner
A soi-même.
Pour cela il faut
Laisser de côté
Notre haine.
Après tant de lutes
Nous sommes épuisés
De nous-mêmes.
Rien n’aura de fin
Si jamais tu veux
Te venger.
Dans une autre vie
La vengeance serait
Eternelle.
Cherche ton miroir
Pour y voir naître
Le pardon,
S’effacer la haine
Et grandir l’amour
De l’humanité
Elles gueulaient des ordres et portaient leurs armes comme les filles de Saigon leurs bijoux. Leur doctrine guerriere etait d`une grande simplicite : `` Quand l`ennemi attaque, nous reculons. Quand il ne bouge pas, nous le harcelons. Quand il est desorganise et fatigue, nous l`attaquons. Quand il bat en retraite, nous le poursuivons.``
La vie des femmes vietnamiennes consistait aussi a attendre que le riz pousse, que les montagnes s`ecroulent ou que reviennent les maris perdus.
Haïr ceux qui m'avaient fait du mal me maintenait en leur pouvoir. Leur pardonner et les remercier pour les leçons qu'ils m'avaient données me libérait, en revanche, pour continuer à suivre mon destin.