Piranèse est un joyau littéraire qui m’a happée dans un monde envoûtant, où les ombres dansent avec les lumières et où le lugubre se mêle à la beauté. À travers les lignes de ce livre, j’ai voyagé aux côtés de Piranèse, explorant les méandres infinis de sa demeure mystérieuse, frissonnant à chaque pas dans l’obscurité oppressante des couloirs interminables.
Les mots soigneusement choisis par l’autrice ont donné vie à des paysages oniriques perdu dans une brume de mystère , où chaque statue semble dissimuler un secret inquiétant et où chaque recoin exhale une atmosphère mystique.
Au fil de ma lecture, j’ai été captivée par les révélations troublantes et les découvertes perturbantes de Piranèse. Son exploration de ce labyrinthe infini m’a fascinée, mais aussi ébranlée par les révélations terrifiantes qui se cachent derrière les murs de cette maison maudite.
Piranèse est bien plus qu’un simple récit ; c’est une plongée vertigineuse dans les profondeurs de l’âme humaine, où les ténèbres et la lumière se disputent le contrôle de chaque instant. Chaque page est une invitation à la découverte de soi-même, mais aussi à la confrontation avec nos peurs les plus profondes.
En résumé, ce livre a ensorcelé mon esprit avec son atmosphère lugubre et son intrigue captivante. Une lecture qui avait tout pour me plaire et qui a su être à la hauteur de mes attentes.
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Après avoir entendu parler de cette série partout sur les réseaux sociaux, j’ai cédé. Globalement, l’intrigue sur la malédiction et la romance avec Tamlin ne sont pas fameuses. Je me suis ennuyée lors des 20 premiers chapitres (sur 46…), où il ne se passait pas grand-chose.
J’ai eu du mal avec Feyre, car tout est fait dès le début pour que le lecteur l’apprécie, et ça en devient forcé. On la présente comme martyr d’une famille d’ingrats dont elle a promis toute jeune de s’occuper. Ses capacités sont mal justifiées, elle aurait notamment appris à tirer à l’arc en observant des chasseurs et en les imitant, et vu le niveau dont elle fait preuve c’est dur à croire. C’est d’ailleurs grâce à cette technique qu’elle a appris à nager, encore toute seule bien-sûr. Son obsession et son immense talent pour la peinture m’ont vite agacée. J’ai cependant apprécié son évolution entre le début et la fin du tome sur la manière dont elle considère les Fae.
Il n’y a aucune alchimie entre Feyre et Tamlin, sa relation avec Rhysand est plus intéressante même si je reste mitigée à ce propos. En effet, elle est forcée de passer un marché extrêmement contraignant avec lui, une semaine par mois à la Cour de la Nuit pour le restant de ses jours. Ensuite, il l’oblige à venir presque nue à des soirées, puis la drogue et la force à danser pour lui de manière suggestive. J’ai été assez choquée lorsqu’il lui dit tranquillement au chapitre 42 que s’il n’a pas abusé d’elle, c’était uniquement pour éviter de déclencher un combat contre Tamlin. Certes il fait des choses bien en améliorant ses conditions de captivité et en la sauvant lors de la deuxième épreuve, mais ça n’efface pas tout le reste. S’il n’y avait pas de romance entre Feyre et lui, aucun lecteur ne serait prêt à pardonner un tel comportement…
Difficile également de donner mon avis sur ce livre sans évoquer la fameuse malédiction de la Cour du Printemps. Le fait qu’Amarantha propose à Feyre de passer des épreuves pour lever cette malédiction n’est pas franchement cohérent avec son personnage, sans oublier l’énorme échappatoire qu’est l’énigme. A part la première épreuve, où la manière dont s’en sort Feyre ne m’a pas convaincue, les autres ne sont pas assez « impossibles ». Pourquoi seulement une question lors de la deuxième épreuve, et rien que trois réponses ? Pourquoi uniquement trois innocents lors de la dernière épreuve, alors que la Cour du Printemps regorge de Fae sacrifiables ? Si en quelques minutes je peux imaginer des épreuves bien pires, alors Amarantha, après plusieurs siècles de pur sadisme, devrait en être capable aussi.
La Cour du Printemps manque quelque peu de personnages, seulement trois sont nommés, quatre en comptant le regretté Andras. J’ai également du mal à comprendre pourquoi les Fae mentionnent dans leurs prières « an immortal land of milk and honey ». Les gars, vous êtes déjà immortels.
Bref, je ne sais pas si Lucien et ma curiosité naturelle parviendront à me convaincre de lire la suite de la série.
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Deuxième année à Poudlard.
Un nouvel enseignant bien coiffé.
Un monstre légendaire.
Un livre magique peu recommandable.
Un fantôme d'élève dans les toilettes.
Des araignées gigantesques.
Une voiture volante.
Un elfe de maison trop impliqué.
Des attaques au sein du château.
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