Tome 2 de Trilogie marseillaise, moins connu que le tome 1, comme un petit essoufflement. Cependant la gouaille du sud, le fameux ferriboite pour le ferry boat, est toujours aussi attachante.
Marius est parti, attiré par le grand large et César tente de consoler Fanny car comme dit Escartefigue "le chagrin c'est comme le ver solitaire : le tout c'est de le faire sortir".
Des remarques donc très drôles mais pas que. Il flotte une grande nostalgie dans cette pièce.
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J'ai aimé ce livre car en premier j'adore la Provence. Puisque c'est une autobiographie, on comprend parfaitement le narrateur. En le lisant, j'avais l'impression que j'étais en Provence, entouré d'arbres, d'oiseaux et plein de choses encore ... J'ai me suis retrouvé dans la maison de mes cousins, dans leur grand et magnifique jardin ainsi que dans la piscine avec eux. Et bien sûr, dans leur charmant petit village Provençal ...
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« - vous avez dit que vous n’étiez que trois, mais il me semble, à moi, que nous sommes quatre.
- mais vous n’êtes pas des nôtres, dit Porthos.
- c’est vrai, répondit D’artgnan; je n’ai pas l’habit, mais j’ai l’âme. Mon cœur est mousquetaire, je le sens bien, Monsieur. »
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