L’auteur d’Ode au Saint-Laurent n’a jamais cessé d’évoluer et de se remettre en question. Arbre-radar en est la preuve éclatante.
« arrachant le mot de l’émotion et le son
du frisson — corps en gage du langa-
ge — on de je — polyphonique
ouvre œuvre qui dévore, désormais O
sans mort, danse, danse »