Un roman autoréférentiel qui, comme un recueil de nouvelles ou de poésie, exige une lecture non linéaire, et une sérieuse remise en question de son langage et de sa compréhension automatique du monde.
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Avec Les années désertées, David Clerson ajoute un cinquième livre à une des oeuvres les plus singulières de la littérature québécoise, dans laquelle les marginaux continuent de témoigner de plus de lucidité que quiconque obéit à la marche de nos sociétés.
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