Pénible fut la lecture de «
L'autre ville ». Je fus complètement hermétique à l'univers onirique et absurde développé par
Michal Ajvaz. L'auteur part en effet dans un délire littéraire dont je n'ai pas été capable d'adhérer ni de comprendre le(s) sens.
Cette lecture m'a fait un peu le même effet que celle du « Festin nu » de William Burroughs ; une impression de lire un truc sans queue ni tête, sans réelle intrigue. du coup, ce qui a pu être hypnotique pour certains fut pour moi soporifique. J'ai vraiment peiné à finir ce livre, pensant être progressivement apprivoisé au fil des pages, mais non. Je suis resté au bord de la route durant tout ce temps, appréciant seulement quelques idées et passages par-ci par-là.
Il est compliqué de conseiller ou non «
L'autre ville ». C'est un roman assurément original, un délire onirique qui ne parlera pas à tout le monde.