En entrant, toute la splendeur d’un homme riche apparait : manucure, coiffure soignée, costume rayé Armani, cravate pure soie avec chemise assortie. Il a des chaussures souples italiennes, valant une petite fortune,. Une bague ornée d’un énorme diamant lui sied l’auriculaire. Il a l’air courroucé ! Probablement dû, surtout au fait de s’être fait déranger que du drame que sa fille est en train de vivre.
– Crois-tu vraiment à d’autres vies ?
– Oui, c’est la seule façon logique d’expliquer pourquoi il y a des bons et des méchants, des fainéants et des artistes, des riches et des pauvres ; toutes ces dichotomies inexplicables ne trouvent leurs réponses que dans des séries de vies consécutives.
Pourquoi des gamins savent jouer du piano ou du violon sans même l’avoir appris alors que d’autres mettent des années pour affiner leur art.
Il y aura toujours les bons et les méchants, comme si tout ce beau monde était programmé d’avance par une machine infernale.
Il est plein aux as et il en veut toujours plus. Son plaisir premier est de voler les clients des autres.