Citations sur Les extraordinaires et fantastiques enquêtes de Sylvo S.. (34)
Panam était incorrigible. Toujours une révolte en gestation, toujours une insurrection en germe.
Mmm... S'asseoir et observer. Boire et ne rien faire.
Une aimable manière de dépenser sa mesure de temps.
Mmmm... S'asseoir et observer. Boire et ne rien faire.
Une aimable manière de dépenser sa mesure de temps.
"En fait, je sais ce qui nous sépare irrémédiablement. Vous n'êtes qu'une addition arithmétique d'individus. Il n'existe entre vous aucune empathie, aucun unisson. Alors que les elfes… Ah ! Ma belle ! Chez nous, le tout est plus grand que la somme de ses parties. Nous ne vivons pas les uns à côté des autres, mais ensemble. Nous sommes… Nous sommes une Forêt ! […]"
Nous marchâmes donc plus vite, pressés désormais d'être chez moi, pressés d'enlever nos vêtements mouillés et de goûter nos corps nus.
C'est alors que je me souvins du flic en faction devant chez moi. Merde! Je me voyais mal expliquer ça à Eléonore. Euh... chérie? Excuse, j'ai oublié de te dire: les flics me surveillent parce qu'ils se demandent si je ne suis pas un peu un terroriste. C'était franchement tue-l'amour, non?
- Allons Sylvo... Nous sommes entre nous hmm ? Je suis certain que vous avez des tas de choses à me dire.
- Maintenant que vous le dites, merde me paraît assez approprié.
"Martin. C'était son nom. Martin le nain. Il vivait en banlieue, à Saltrouville,dans une zone pavillonnaire de second ordre. Sa rue était un triste chapelet de maisons bâties sur le même moule, un cube posé sur un carré de pelouse. C'est simple, on se serait cru dans le catalogue des Maisons Bigre. Lui habitait page 23, le modèle "Harmonie", une mocheté dont il était, tenez-vous bien, pro_pri_é_tai-re! Un aboutissement en quelque sorte. Martin le nain."
« Non, tu peux me faire confiance. De nos jours, la seule magie prohibée qui présente encore quelque danger réside dans les charmes et les philtres que les femelles de toute espèce, et ce depuis la nuit des temps, utilisent pour envoûter les mâles ![...] »
Et puis, il est aisé aux puissants de se protéger de la justice. Ne sont-ce pas eux ou leurs amis qui font les lois et siègent aux tribunaux ? Il faut se faire une raison, les riches coupables sont rarement punis.
Mon sommeil fut de courte durée. A mon réveil, je découvris que le perfide félidé avait chié sur mes chaussures. Je le saisis d'une main vengeresse, envisageant de le défenestrer dans l'instant, mais c'eut été me priver d'une légitime vengeance sur la Concierge Venue de l'Enfer. Et puis j'aime trop les animaux: un miaulement pathétique suffit à me ramener à de meilleurs sentiments.