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Un grand merci à Babelio et aux éditions du Cherche Midi...

Une maison morte et vide depuis que sa femme est partie. Des jours passés dans les brumes de l'alcool. D'autres l'oeil vissé à l'objectif, captant ici une mer démontée, là un arc-en-ciel. Des photos qui viendront alimenter son site internet, baptisé « le ciel est à nous ». Et quelques mots cachés dans le code de la page. Des mots destinés à son fils, Jack...
Rob et Anna se rencontrent lors d'une soirée, aussitôt attirés l'un vers l'autre. Après un été passé à Cambridge en amoureux, Anna, elle, se réjouit de la promesse d'emploi dans un cabinet de la capitale tandis que Rob, lui, informaticien, se concentre sur son nouveau logiciel qui, il en est sûr, va connaître un énorme succès. le couple part s'installer à Londres et nage dans le bonheur. Un bonheur bien vite entaché par les deux fausses couches d'Anna. Mais, dès lors que, des années plus tard, Jack pointe le bout de son nez, le couple est aux anges, certain que rien de grave ne pourra lui arriver...

Le ciel est à nous, un titre ô combien porteur d'espoir. Et pourtant, lorsque l'on fait la connaissance de Rob Coates, on ne peut pas dire qu'il mène une vie des plus épanouies. Qu'est-t-il arrivé à son couple pour qu'il se sépare d'Anna ? Qu'est devenu le petit Jack à qui le papa écrit de tendres et émouvants messages sur son site internet ? Luke Allnutt nous offre un roman poignant et terriblement humain dans lequel l'on suit le combat de Rob et Anna face à la maladie. Comment accepter l'inacceptable ? Comment se résoudre à quitter ceux qu'on aime ? À quoi peut-on encore se raccrocher ? Malgré la trame tragique, la mort qui rode, la tristesse prégnante, ce roman est empreint d'espoir et d'authenticité, est gorgé d'émotions et finalement illumine de par les messages qu'il véhicule. Un roman d'une grande justesse, sensible et bouleversant, porté par une plume emplie de tendresse et d'humanité.
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Les histoires tristes font pleurer les pleureuses, les histoires tristes avec des enfants malades et des parents ordinaires font pleurer, la musique triste fait pleurer, les baffes dans la gueule, les coups de genoux dans le bide, un écureuil écrasé, un dauphin mort, jack qui ne monte pas sur cette putain de porte... et un tas d'autres trucs moches…

T'as déjà essayé de consoler quelqu'un qui avait vécu un putain de drame … Question rhétorique, qui mérite de balancer ma source dixit : « André compte Sponville » dans une émission télé un peu tardive sur l'intellectualisation… disons qu'à cette heure-là, mieux vaut te saigner la corne aux doigts, à imaginer une nana divinement nue allongée sur ton corps déluré et consentant de dépravation d'obsédé à obsédé…

Mais voilà on ne peut pas consoler un drame, celui qui le vit veut juste crever, la douleur ça se guérit pas, elle s'atténue avec le temps, mais sombrer dans la déchéance semble être pour les plus empathiques d'entre nous une solution des plus sensible, la sagesse qui voudrait que la vie continue voyez-vous est aussi utopique que baiser tous les jours avec une certaine gourmandise… mais l'exception confirme queue pour ma part le matin j'ai toujours envie de pisser et queue c'est moins facile quand ta bite ne fait pas la gueule… bref moi, je pleure ce qui fait pleurer, j'en rajoute pas des larmes pour être accompagner, je me fou dans un coin de ma solitude qui semble être un truc plus ou moins constant chez moi, et je vide ma tristesse dans l'épuisement…

Bon mais moi j'ai pas vécu de drame comme dans le bouquin, je suis papa depuis 4 ans, grossesse désirée, bébé va bien, j'ai le sourire et la joie vivre, il me reste plus qu'à me plaindre de mes petits soucis pour tirer de temps à autre une larme ou deux…

Donc on peut pleurer sur tout sans pour autant être capable de mesurer la douleur de l'autre, je veux dire tu peux imaginer la merde que ce doit être, mais tu ne peux pas la mesurer, hormis exception à la con ou t'as vécu le même genre de conneries… Donc on se projette, on s'identifie et on se dit que…

Moi quand je dis « que », j'y rajoute toujours un « u » et un « e » pour la lubricité de la chose, le cul c'est fédérateur et ça vous fout sourire plein la culotte, ou ça choque, dans le deuxième ça me donne envie de chialer toute en futilité…

Bah ouais c'est une histoire tristounette, ou finalement quand t'es parent (ou pas) t'es plus ou moins obligé de te dire
:

« putain si ça m'arrivait, je sombrerais dans le chaos et je succomberais dans le suicide mais je suis un lâche, je pleurerais dans un coin sombre, un verre à main trinquant à la vie qui continue… »

Et il y aurait un tas de gens qui voudront m'aider, ah ouais, des meilleurs aux plus pourris, les gens qui prieront, les gens qui seront encore plus triste que toi, reflétant dans leurs yeux ta propre joie de mourir… pourtant il en faudrait un plus sobre, quelqu'un qui tombe au bon moment, qui te fasse marrer, une belle nana qui te montre ses seins, que tu pourrais toucher les cas déchéant , parce qu'elle a envie de t'aider à pisser à côté, il faudrait juste un soupir, le silence, le néant et le temps…

La résilience, la culpabilité, la vie se heurte aux sentiments qui nous rongent, nous empoisonnent, nous emprisonnent, le bonheur se cache dans la simplicité de vivre, la vie se leurre du temps qui nous est compté, sur un malentendu on peut vite crever, une histoire racontée avec une certaine simplicité, une histoire dramatique ou les sentiments s'emmêlent, dérapent et s'égarent avec cruauté, comme chaque parent je compose avec le présent, mais sans hésiter je donnerai ma vie pour ma fille…

Seulement voilà, l'histoire manque d'une certaine crédibilité, de cruauté, angélisée de bons sentiments, comme-ci l'auteur recherchait à être romantique pour faire pleurer ses lecteurs, alors que la réalité doit être bien plus poisseuse malheureusement...

Merci à babelio et aux éditions Cherche Midi
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Merci à Babelio et aux éditions Cherche-midi pour l'envoi de ce livre.

La quatrième de couverture annonçait un roman entre " Nos étoiles contraires" ( que je n'ai pas lu mais dont je connais la thématique) et "Un jour" que j'avais apprécié. Je n'aime pas tellement ces comparaisons, qui s'avèrent souvent erronées. Et je redoutais surtout qu'il s'agisse de la mort d'un enfant. J'ai toujours du mal à lire ce genre d'histoire, trop poignante.

Je ne trahirai rien en affirmant que la mort du petit Jack est effectivement au centre de ce roman, car la quatrième de couverture le laisse deviner clairement. Mais l'auteur, lui-même gravement malade au moment de l'écriture ( guéri depuis), présente de manière fort intéressante les étapes qui aboutissent à cet évènement terrible. La chronologie n'est pas respectée , la descente aux enfers de Rob, le père de Jack, après son décès, nous est d'abord présentée. Puis les souvenirs affluent, le temps du bonheur avec Anna, de la naissance de leur petit garçon,puis de la maladie. Et se mêlent au présent.

Si j'ai suivi avec attention et empathie le parcours difficile des parents, je me suis sentie mal à l'aise, la tristesse m'a étreinte trop souvent, la seule libération à toute cette tension sou-jacente a été ce bel hommage de Rob à son fils, prenant des photos panoramiques des endroits où ils aimaient se rendre ensemble. Car il raffolait de ces vues de haut.

L'écriture est agréable mais manque peut-être de personnalité ( c'est un premier roman) cependant j'ai beaucoup apprécié les paragraphes émouvants et poétiques où Rob s'adresse à Jack disparu.

Un avis donc un peu mitigé, dû surtout à mon appréhension d'être confrontée à ce drame difficilement acceptable.


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Brillant, débrouillard : quand il s'avère que son fils est atteint d'une tumeur au cerveau, Rob pense pouvoir le sortir d'affaire. Il ne peut croire les doutes de sa femme Anna, besogneuse, qu'il aime sincèrement pourtant. Il se croit obligé d'agir.

Ces parents vivent pour leur fils en sachant que le temps peut s'arrêter. Ce livre nous emmène sur une mince frontière où l'urgence, la question de vie ou de mort, peuvent entraîner des mots... ou des maux irréversibles.

A travers le regard d'un père et mari qui aime, se bat et se perd aussi parfois, un beau livre sur la relation de parents, mais aussi sur celle entre parents pour le bien des enfants. Néanmoins, même lorsque le bien-être des enfants est défini comme nécessité (autant que possible), cela ne suffit pas toujours pour que le couple avance ensemble...

Cependant, si l'amour est là, il est encore possible de construire un consensus certes fragile et bancal, mais qui traverse bon an mal an les épreuves.
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Les personnages:

Rob. Anna. Jack: Petite cellule familiale qui nous ouvre les portes de leur foyer et nous fait lever les yeux vers l'immensité bleutée…

Dans ce roman nous avons le point de vue du père, Rob. Il nous raconte sous forme de flash-back, la relation qu'il a avec sa femme Anna. Des avants/après qui nous évoque leur complicité, la solidité de leur couple et enfin Jack, fruit de leur amour, après les vents contraires…

« Nous n'étions pas juste tombés amoureux, nous avions sombré. »

Ce que j'ai ressenti:

Parce qu'elle m'aura marquée cette lecture, voici une chronique en ping-pong Citations/Émotions:

« Je suis désolée, je ne voulais pas te faire pleurer. »

Cette phrase est adressée à Rob, à un moment charnière de cette histoire, mais elle vient cueillir la lectrice que je suis me surprenant tout autant que le personnage, à verser des larmes presque malgré nous. Pleurer en même temps que les personnages, crée une sorte d'alchimie complice, un lien intime avec le livre. Ce livre est émouvant de par son drame, mais finalement, on se rend compte que c'est dans l'instantané des petites choses de la vie qu'il arrive à nous renverser. Ce père qui se déraisonne, qui s'emprisonne dans son chagrin, mais qui cherche encore obstinément la beauté de la vie, est un souffle de fraîcheur dans la noirceur de sa dépression. C'est touchant, et c'est le passage le plus intense de ce livre, car ses deux personnages qui s'aiment mais encore déchirés, arrivent à passer par dessus les difficultés, et à se dire encore mille merveilles intimes…

« le ciel aussi, il est à nous? »

Peut être que dans cette simple question enfantine, se cache l'idée fédératrice d'union, sous une même voûte, sous le même toit. Sans doute qu'un peu plus de tolérance et de mains tendues vers son prochain, profiter de la vie aussi dans chaque instant, est la philosophie qui se dégage derrière les lignes de ce livre et du blog artistique de Rob… L'art est un moyen de mettre en valeur la beauté du monde, et avec cette intuition qui le traverse au delà de la peine immense et violente qu'il ressent, Rob se préoccupe encore de photographier le ciel, dans le flou opaque de son quotidien, et de l'offrir aux autres…Le ciel est à nous…Comme une bouée de sauvetage, comme un devoir de mémoire, il s'évertue à trouver les nuances de lumières et d'éclats, les petits bouts de souvenirs qui le feront triompher, à force de temps et de patience, de la tragédie.

« C'est possible en rêve. C'est possible tout court. »

Les rêves sont plus forts que la maladie. Ils ont cette force incroyable de nous emmener, au delà de la douleur. L'auteur a écrit ce livre en étant en chimiothérapie, et je dirais que l'on ressent dans ses pages à quel point cette plume est réaliste, comme chaque choc et espoir incertain, est palpable. Pour autant, Luke Allnutt tend vers un message de paix et de résilience, pour des cieux plus doux et des amours apaisés…Parce que l'on sait que de telles tempêtes peut frapper n'importe qui, et n'importe quand, j'ai eu des orages au coeur et des pluies torrentielles dans les yeux, mais quand je me tourne vers le bleu, je sais que le ciel est à nous



Ma note Plaisir de Lecture 10/10

Remerciements:

Je tiens à remercier très chaleureusement le site Babelio et ses opérations Masses Critiques, qui nous permettent de faire toujours de très belles découvertes livresques. Merci aussi infiniment à la maison d'éditions Cherche-Midi éditeur pour l'envoi de ce livre! Ce fût une lecture très émouvante qui va me marquer longtemps.
Lien : https://fairystelphique.word..
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Ce livre est une pépite qui nous narre la vie de Rob et Anna qui vont se marier, devenir parents et vivre avec le petit Jack une vie heureuse jusqu'au moment ou ce petit bonhomme va commencer à avoir des vertiges puis des malaises.

Le verdict des médecins est sans appel, Jack souffre d'une tumeur cérébral, dès lors Rob et Anna vont tout faire pour vivre avec Jack ses derniers jours.

Il est également question dans ce livre de ce couple après la disparition de leur enfant, des gens qui tirent profit de la détresse de ces parents en proposant des thérapies dites expérimentales dans divers pays.

J'ai parfois eu le besoin de faire une pause dans ma lecture au vue du sujet qui est assez lourd, l'écriture de l'auteur est elle vraiment fluide et ce récit se lit bien, il est étonnant de justesse sans tomber dans le pathos.

Un grand merci à Babelio et au Cherche Midi pour cet envoi!
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Je remercie Babélio et les Editions Cherche Midi de m'avoir donné l'opportunité de lire le ciel est à nous. Je m'excuse du retard, mais j'étais partie en vacances en oubliant mon livre :(

J'avais à peine commencé à lire que déjà plein de citations me sautaient aux yeux. L'histoire de cette famille vous fera sourire, rire, pleurer. Luke Allnutt a une écriture tellement simple et efficace que vous avez plus ou moins l'impression de lire un documentaire.

Je n'ai pas, par contre, été particulièrement fan du flash-back. A-t-on réellement besoin de savoir comment Rob a rencontré Anna pour comprendre ce qu'ils vivent ? L'histoire est bien à travers les yeux de Rob mais finalement on touche du doigt le après. La façon dont il gère ou non la perte de Jack. Son combat contre l'alcool n'est pas plus que ça abordé non plus. Et c'est vraiment ce que j'aurai aimé lire. Et puis l'épilogue est inutile mais comme presque 90% des épilogues.

En bref, j'ai bien aimé ce livre mais j'aurai aimé plus. J'aurai préféré aimer ce livre.
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Rob rencontre Anna. Ils décident de fonder une famille. La naissance de Jack complète leur bonheur. Jusqu'au jour où on découvre que Jack est atteint d'une tumeur au cerveau.

Commence alors l'enfer que toute personne atteinte d'une tumeur doit traverser : chimio, traitements, hospitalisations, espoir, rechute, ...

Le livre est comparé à Nos étoiles contraires et Un jour. N'ayant pas particulièrement aimé "Nos étoiles contraires" mais ayant adoré "Un jour", je me demandais bien ce que j'allais ressentir en lisant "Le ciel est à nous". Et bien, bonne pioche. J'ai aimé. J'ai aimé suivre ces tranches de vie. C'est triste, c'est horrible. La maladie d'un enfant, l'impuissance des parents face à la douleur de leur fils est bien retranscrite, sans tomber dans le pathétique. Un beau livre qui traite de la maladie, l'espoir, la reconstruction de soi.

Je remercie Babelio/Masse critique et les éditions Cherche midi de m'avoir offert cette lecture.
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Pour commencer, je dirai que ce livre n'a pas grand chose à voir avec le roman de "Nos étoiles contraires" si ce n'est le crabe touchant des enfants. Ce vilain crabe que nous redoutons tous, et qui touche de près ou de loin chacun d'entre nous ; qui n'a pas dans sa famille, dans son entourage, quelqu'un qui a eu un cancer. Cette terrible maladie qui nous laisse sans défense, nous oblige parfois à trouver le traitement alternatif qui guérira enfin.
Voilà donc le sujet principal de ce livre. Bien sûr, il s'agit aussi de la maladie d'un petit garcon et du parcours de combattant de ses parents.
Le narrateur est le père de Jack, enfant d'à peine cinq ans, aimant la photo et les hautes tours et qui souffre d'une tumeur au cerveau. A partir du diagnostic, Rob et Anna vont commencer le parcours difficile des chimiothérapies, de la fatigue chronique, de la perte des cheveux, des pertes de mémoire de leur enfant.
Pas de patho dans ce roman mais juste le combat de parents desespérés dont un garde sa lucidité et l'autre veut faire confiance à un soi-disant traitement à Pragues qui guérirait de façon définitive la maladie. Mais qui peut dire qu'il n'a pas un jour espéré un miracle, un traitement magique qui fonctionne et guérit définitivement.
J'ai beaucoup aimé l'écriture de Luke Allnut et j'espère que ce premier roman lui donnera envie de continuer à écrire. J'ai été très touchée par ce livre même si aucune larme n'a coulé sur mes joues ; ce n'était pas le but. J'ai été fort triste de l'issue fatale néanmoins j'ai trouvé beaucoup d'espoir dans ce livre. Ce livre est probablement le meilleur que j'ai lu sur ce thème. J'imagine que l'auteur a dû interroger des parents d'enfants malades avant de l'écrire car c'est exactement ce qui peut se passer après un décès. Bien souvent, des parents se séparent car ils reprochent à l'autre de n'avoir pas fait ce qu'il fallait. On utilise aussi des mots, des phrases blessantes, méchantes.
Pour finir, je voulais remercier les éditions Cherche Midi de m'avoir envoyée ce roman et Masse Critique (babélio) de m'avoir sélectionnée pour le lire et le critiquer.
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Je remercie Babélio, Masse Critique et les Editions Cherche Midi pour l'envoi de ce roman.
J'avais une crainte - comme la plupart des gens qui l'ont lu sur ce site- c'est la comparaison qui a été faite avec "Nos étoiles contraires" ; personnellement ce dernier ne m'a pas spécialement transporté au niveau émotion... mais bref passons...
L'auteur nous retrace la vie de Rob Coates, sa rencontre avec sa femme Anna, leur relation, leurs tentatives d'être parents puis enfin le bonheur fragile à portée de main avec la naissance de leur petit Jack. Puis surviennent les inquiétudes des jeunes parents vis à vis des premiers symptômes qui les alertent et l'annonce de la maladie qui tombe avec la froideur d'un couperet. Luke Allnutt utilise des mots simples qui traduisent les peurs qu'un couple confronté à ce genre d'épreuve peuvent éprouver; savoir qu'on va perdre un enfant, faire le deuil, l'acceptation, sentir son couple se disloquer....
Jamais l'auteur ne tombe dans le pathos, c'est digne et en dépit de ce terrible thème qui est abordé, il célèbre la beauté de la vie malgré les épreuves. J'ai trouvé cette lecture particulièrement émouvante, et vraiment j'ai adoré.
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