T’avoir vu en rêveries une nuit d’éclipse
Bercée par le cliquetis des mâts
Toi, l’Arabe superbe et tes boucles brunes
Et les enfants que nous n’aurons jamais eus
Vous me hantez, être passée à côté de la vie
Vivante qui était un possible de mon existence
D’accord j’étais folle, une fille du Vent sur l’Océan
Et de la Tempête, et j’ignorais à quel point
Je t’aimais. Mais vois ta propre violence et ta colère ... >Voir plus