Manipulée par les têtes de gondole des rayons librairies, par la très bonne note globale des lecteurs de Babelio, je me suis lancée dans la lecture de ce livre en pensant découvrir une pépite.
Très éclectique dans mes lectures, il est rare que je ne termine pas un livre.
Celui-ci, je l'ai terminé, mais il m'a fallu de nombreuses pauses pour pouvoir respirer. Je me suis sentie asphyxiée par cette avalanche de conseils sur le bien-vivre, le bien-être, étouffée par tous ces personnages qui ne sont là que pour nous assommer de "recettes", de maximes sur comment être soi, comment être authentique.....Les dialogues m'ont paru artificiels, les relations entre les personnages bien trop caricaturales (de bienveillance, de bons sentiments...).
Trop c'est trop! Seule ma curiosité pour le dénouement de cette histoire m'a poussée à aller jusqu'au bout. Une fin dans la même veine, donc très déçue par cette pépite qui n'en est pas une.
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C'est le mot qui me viendrait si je voulais résumer ce livre en un seul.
On distingue dès les premières pages les contours hasardeux du parcours philosophique simpliste qui s'offre au personnage principal.
Ce personnage d'ailleurs, parlons-en.
Quel heureux choix qu'un magnat de la finance, requin parmi les squales, plongé dans un océan d'offrandes et de béatitude.
Ce même personnage qui en quelques paragraphes va piteusement se muer en être de tolérance et de sagesse, au contact d'une vieille dame thaïlandaise dont les enseignements semblent tout droit sortis d'un biscuit du nouvel an chinois.
Les dialogues sont creux et caricaturaux, l'intrigue sentie à des kilomètres.
Et puis cette étrange maladie, digne d'une maladie de Charcot curieusement branchée sur un minuteur d'un mois?
En un mot :
Facile.
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J'ai dévoré le premier en peu de temps. Cependant ce second roman m'a moins parlé, j'y ai trouvé les outils et concepts intégrés maladroitement au roman, parfois posé sans assez de mise en forme. J'ai trouvé beaucoup de similitudes avec le précédent, je ne dirais pas un calque mais ce n'était pas assez different pour ma part. Il aura certainement pu atteindre d'autres personnes différemment. Cela reste une question de résonance et de goût
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