- j'ai parfois l'impression de me disloquer quand je suis en toi.
sa confession me fait un choc. mon coeur manque un battement. je resserre mes bras autour de ses épaules et le presse contre ma poitrine.
- je te reconstruirais alors, je murmure dans ses cheveux
- j'ai parfois l'impression de me disloquer quand je suis en toi.
sa confession me fait un choc. mon coeur manque un battement. je resserre mes bras autour de ses épaules et le presse contre ma poitrine.
- je te reconstruirais alors, je murmure dans ses cheveux
Érine possède ce quelque chose en plus qui pousse à vouloir tout bousiller pour l'attraper.
- Je veux que tu deviennes ma femme. Ce n’est pas pour officialiser les choses. J’en ai rien à carrer des autres, de l’église et de tout le tintouin. Mais je veux que toi, tu saches que tu es à moi et que je suis à toi. Je veux que tu saches que toutes les années qu’on a passées ensemble, les bonnes comme les mauvaises, avaient un sens pour moi. Que tu as toujours compté. Que tu as toujours été importante à mes yeux. Ce n’est pas une demande en l’air parce qu’on a baisé sur le tapis avec… beaucoup de plaisir. C’est toujours un régal de te faire l’amour, Princesse. Mais ce n’est pas pour ça, je t’assure. JE. TE. VEUX… Nue aussi, et avec cette bague à ton doigt. Je ne suis pas en train de partir en vrille ou de te mitonner. C’est vraiment moi, là.
- C'était plus facile d'être en colère que de lutter contre la douleur.
Tu apprendras un truc, fiston : ne jamais jouer avec la jalousie d'une femme. Elle te battra toujours à plate couture. C'est une loi universelle
- j'ai parfois l'impression de me disloquer quand je suis en toi.
sa confession me fait un choc. mon coeur manque un battement. je resserre mes bras autour de ses épaules et le presse contre ma poitrine.
- je te reconstruirais alors, je murmure dans ses cheveux
si je pouvais me réincarner, je voudrais être sa chair. sa peau. La peau de ses lèvres. les nuances d'or dans ses prunelles.
« Je t’aime. Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans ces mots-là ? JE T’AIME… D’accord, tu es un enfoiré et je te déteste encore un peu d’avoir fait une chose pareille après tout ce que nous avons vécu ensemble, mais je suis là. Il me faut juste un peu de temps pour oublier cette image. »
Il saisit ma main dans la sienne, les traits de son visage se décontractant peu à peu.
« Qu’est-ce que je peux faire pour t’aider à oublier ? »
Il s’approche et penche son visage, frôlant mes lèvres des siennes.
« Tu vas devoir te montrer très gentil avec moi. »
Je lui lance un sourire taquin auquel il répond immédiatement.
« C’est un gros sacrifice que tu me demandes là. »
Il passe sa main sous ma veste et me pince la taille, puis il incline la tête, m’embrasse doucement et murmure tout contre ma bouche :
« Je vais te caresser jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter. J’aurai ton goût délicieux sur ma langue et tu crieras mon comme si j’étais ton dieu.
-Mon dieu ? lancé-je, en fourrant les poings sur mes hanches.
-Ce n’est pas ce que je suis ? «
Il m’adresse une mimique ravageuse et pleine d’assurance.
« Tu est bien trop arrogant », grommelé-je en me dirigeant vers le panneau d’affichage. »