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3,89

sur 424 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Mrs Wilkins a beau habiter dans un quartier résidentiel de Londres, Hampstead (vu dans Quatre mariages et un enterrement), son mari, qui la trouve moche et sotte, lui conseille d'économiser (une poire pour la soif) et de ne pas dépenser en fringues. de toute façon, elle est moche, dit-il.
Elle lit une annonce dans le Times :
« Petit château médiéval. Italie. Glycines et soleil, à louer au mois d'avril. »
Franchement, un château, ce n'est pas pour elle, pourtant elle repère une autre femme qui lit la même annonce, et prend sur elle pour l'aborder.
Elle qui se prend pour une nulle s'exalte soudain, fait douter Mrs Arbuthnot de sa santé mentale, puis la persuade que passer un mois en Italie, avec sa poire pour la soif, ce serait idéal.
Le soleil, les glycines.
Sortir de la vallée de larmes de la vie.
La poire ne suffisant pas elles invitent deux autres participantes, Mrs Fischer et Lady Caroline.
Mrs Wilkins voit le bonheur qui peut lui advenir.
Mrs Arbuthnot, grenouille de bénitier, à l'idée de partir au soleil, « éprouvait de mélange de bonheur, de remords et de crainte qui est d'ordinaire le privilège des femmes adultères ». Sauf que son mari ne vit pas vraiment avec elle, il écrit et n'a pas le temps de rentrer chez lui.
Mrs Fischer est une vieille femme radine jouant sur ses rhumatismes pour obtenir la meilleure chambre. Elle restera tout le mois ou presque, campée sur ses positions des convenances à tenir, et sous le prétexte qu'elle a connu Tennyson, Carlyle, Ruskin…elle s'arroge la meilleure place.
Lady Caroline est jeune, blasée de tout et surtout de l'amour qu'elle suscite par sa beauté. Elle veut qu'on lui foute la paix, point.
Ces quatre femmes doivent donc se partager un château, avec toutes les difficultés et les doutes que cela comporte. Heureusement, le domestique basané qui les as accueillies « a oublié de les assassiner ».
Un arbre de Judée, des capucines, des brassées de lys blancs, des cyprès, le soleil, le ciel bleu et la mer avec vue sur Gènes : cette beauté absolue de la nature va influer sur chacune des femmes et les aider à s'ouvrir, à prendre conscience, l'une, Mrs Arbuthnot, appelons-la Rose, de sa bigoterie qui a éloigné son mari, l'autre, lady Caroline, de son égoïsme d'enfant gâtée, enfin Mrs Fischer, des vieilleries dont elle s'entoure en ne parlant que du passé.
le bonheur s'installe, avec rebondissements, l'humour « so british » toujours présent pour typer l'une et l'autre, car typées, elles le sont, enfin, le bonheur, vu par Mrs Wilkins, dont le petit nom sonne beau : Lottie.
Elizabeth von Arnim, plus de vingt ans après « Elizabeth et son jardin anglais » réédite la force des jardins à changer la vie et l'esprit.

Un enchantement, ce bouquin.
Un petit clin d'oeil Thrinecis et à Sylvie @Toscane , qui m'ont gentiment invitée.
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Sorti en 1922, ce roman est le plus grand succès public de l'auteur, qui comme son nom ne l'indique pas, est anglaise .

"Italie . Loue château. Soleil. Glycines . "
Voici quatre mots qui frappent l'imagination de quatre Londoniennes qui , sans se connaître vont accepter de cohabiter pendant un mois , dans un petit paradis , ( deux jeunes femmes qui n'en peuvent plus de la pluie , de leurs maris indifférents, une vieille dame qui souffre de rhumatismes, et une jeune fille qui souffre de trop de popularité auprès de la gent masculine...)
Tout d'abord assez effacées ou un peu trop grognon, ces Anglaises vont s'épanouir sous le soleil méditerranéen , vaincue par la beauté de l'Italie et sa dolce vita .
Outre que ce roman pourrait être utilisé par l'office de tourisme italien , c'est un véritable plaidoyer pour la lenteur , la réflexion sur soi-même , la nature et la beauté comme thérapie .
Ces quatre femmes ne font rien, elles se contentent de regarder le paysage, réfléchir un peu sur leur vie , se promener .
Leur couple, une petite rébellion des épouses, la place de la femme dans la société , les débuts du tourisme sont autant de thèmes effleurés ...
On est en 1922, alors leurs pensées peuvent paraître un chouïa désuètes à nos yeux de lectrices du 21 ° siècle, mais elles ont du charme ces réflexions, et elles sont drôles, de par leur décalage et intéressantes historiquement parlant .
Un roman gracieux , délicieusement démodé, positif , amusant et léger qui est aussi un hymne aux jardins ...

( livre pioché dans la liste de lePamplemousse : " lectures d'été légères mais pas tartes "! Merci à elle ...)
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Quel enchantement, ce livre! Si, comme moi, vous ne supportez plus la grisaille et l'humidité ambiantes, les nouvelles plombantes et tutti quanti, imaginez-vous au printemps et partez pour l'Italie, dans un petit village côtier !

C'est ce qu'ont décidé de faire, sur un coup de tête, deux jeunes épouses londoniennes, en cette période d'entre deux guerres. Mrs Wilking , timide et peu épanouie auprès d'un mari rigide, et Mrs Arbuthnot , malheureuse dans son couple et trop confite en religion, se connaissent à peine mais vont être réunies par un même désir irrépressible , grâce à une petite annonce: " Particulier loue petit chateau médiéval meublé bord de la Méditerranée ". Elles n'en peuvent plus d'être délaissées et de subir ce mois de mars pluvieux. Leur imagination s'enflamme et malgré les obstacles, elles s'en vont, ne prévenant même pas leurs maris ou leur mentant!

Pour alléger les frais, car elles ont peu d'argent personnel, elles ont choisi deux invitées: la jeune Lady Caroline, d'une grande beauté et voulant justement fuir ses admirateurs, et Mrs Fisher, une dame âgée assez acariâtre...

Les quatre femmes vont devoir composer avec les défauts, les travers de chacune. L'observation de leurs agissements est un bijou d'humour et de cynisme. Certaines scènes sont franchement hilarantes! Il y a un soupçon de Jane Austen chez l'auteure, les conventions de la bonne société anglaises étant tournées en ridicule. Mais on trouve aussi dans ce roman un ton piquant, une liberté de propos qui réjouissent.

Car San Salvatore, le joli lieu de résidence italien, avec ses jardins magnifiques , l'éclosion des plantes printanières ( on reconnaît ici le goût de l'auteure pour la botanique), ses effluves marins, délie les langues, transforme les visages moroses, appelle à la légèreté et même à la réconciliation avec les époux! Oui, je sais, c'est un peu trop idyllique pour y croire mais comme cette bouffée d'enthousiasme, cette finesse d'analyse pétillante font du bien!

Laissez-vous emporter par ce séjour imprévu et révélateur, au sein d'une nature attirante et pleine de promesses...


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Un club bien modeste où se réfugier alors que la pluie froide de février dégouline dans les rues de Londres. Un Times posé sur une table avec quelques mots composant une petite annonce qui suscite à sa lecture un rêve enchanteur de soleil, de mer Méditerranée et de glycines enivrantes. En Italie, un petit château médiéval attend pour le mois d'avril « tous ceux qui aiment les glycines et le soleil. »
Mrs Wilkins, une jeune femme toujours rougissante, terne et insignifiante aux yeux de son mari, pense à ses maigres économies, quatre-vingt-dix livres.
Après elle, Mrs Arbuthnot, qu'elle ne connait que de vue, habituellement plongée dans ses oeuvres de charité, semble contempler la même annonce.
Courageusement et laissant de côté sa grande timidité, Mrs Wilkins l'aborde afin de lui donner l'envie de partager ce rêve italien. Elle devine chez cette future amie potentielle, une vie malheureuse, comme la sienne. Elle entrevoit, par une vision exaltée, leurs deux silhouettes devant les murs de cette villégiature.
L'idée extravagante de partager ce petit havre médiéval fait son chemin et le loyer étant encore trop élevé, une autre petite annonce y remédie en leur délivrant deux nouvelles candidates pour ce séjour d'avril.

C'est donc en compagnie de ces quatre femmes, cherchant pour chacune une pause dans leur quotidien devenu pesant, que l'on s'expatrie en Italie pour y goûter un environnement enchanteur.
Accueillies la nuit, sous une pluie italienne, c'est tout d'abord la peur d'être là, à la merci d'un vol de bagages ou pire, que nos Londoniennes font connaissance avec le château nommé San Salvatore. Mais au matin, enfin, la splendeur éblouissante s'offre à elles. La beauté fait s'envoler tous les remords de plaisir égoïste, si loin de leurs vies vertueuses. Un paradis de fleurs chatoyantes, la mer clapotant aux pieds des rochers, les parfums méditerranéens des pins et du thym.
Et cette beauté des lieux, pénétrante, incite à de nombreuses réflexions intérieures sur leurs vies, leurs émotions, leurs tourments. Elles laissent vagabonder leurs pensées. Les pages qui défilent se veulent donc introspectives tout en nous éclairant sur les caractères bien dissemblables de nos vacancières. Les traits de chacune sont extrêmement prononcés car je suppose que ce roman se veut avant tout être drôle, délassant, récréatif.

Lady Caroline sera ainsi l'incarnation de la beauté qui tente de fuir les sollicitudes masculines. Elle montre donc une froideur qui ne peut, à son grand désespoir, être perçue négativement derrière son physique si charmant.
La plus âgée, Mrs Fischer, plongée dans son merveilleux autrefois ne désire que ressasser béatement ses souvenirs. Elle sera le reflet de l'égoïsme, défendant son petit coin de jardin et de remparts contre toute intrusion.
Mrs Arbuthnot, femme hautement vertueuse et d'une grande sagesse se confrontera avec sa conscience sachant qu'elle a utilisé de l'argent, selon elle honteusement gagné par son mari, pour son propre plaisir au lieu de le distribuer aux pauvres.
Et enfin Lotty Wilkins qui se laissera divinement plonger dans ce réconfortant univers enchanteur et appréciera pleinement l'effet euphorique qu'il produit, contaminant petit à petit ses compagnes.

L'auteure tourne en dérision les apparences et, avec un humour fin et légèrement caustique expose le côté parfois ridicule des efforts de respectabilité anglaise. L'approche psychologique des personnages est admirablement travaillée et j'ai savouré quelques scènes irrésistibles de massacre de macaronis ou de chaudière capricieuse dans cet antique château. Elle nous charme aussi avec un cadre somptueusement décrit. L'ensemble est rythmé par les différentes fleurs qui éclosent tour à tour. La merveilleuse écriture contribue à accepter la magie un peu trop enchanteresse de San Salvatore car il faut reconnaître que le dernier tiers du roman coule exagérément vers une fin très édulcorée un peu trop idyllique.
Lecture à s'offrir pour une pause bonheur, en considérant qu'un tel lieu propice à tant d'amour recouvré n'existe que dans les livres pour ne pas terminer sur un sentiment d'exaspération.
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Comment redonner le sourire à deux jeunes femmes ? En leur faisant fuir les averses d'un avril londonien et passer un mois sous le soleil d'Italie dans un vieux château ! Comment mettre le projet à exécution ? En passant une petite annonce pour trouver deux autres locataires pour partager les frais !
Et nous voilà embarqués dans un paysage splendide, de belles descriptions de jardins, de fleurs, de parfum, on s'y croirait. Mais Avril enchanté est aussi un roman de portraits, avec l'humour caustique anglais et un charme indéniable qui apaise et détend. Beaucoup d'optimisme, de bonne humeur, un hymne au voyage à consommer sans modération. Une jolie pause pour le lecteur.
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Un roman anglais de 1922 choisi au hasard pour participer au Challenge Solidaire et ce hasard a bien fait les choses !

Deux jeunes anglaises de classe moyenne ont vu une petite annonce qui propose la location d'un château médiéval en Italie pour le mois d'avril. Elles vont chercher deux autres femmes pour diminuer les frais. A elles vont se joindre Lady Caroline Dester, très belle aristocrate qui fuit les hommes subjugués par sa beauté et Mrs Fisher, veuve, la soixantaine bien sonnée et relativement acariâtre.

Mrs Wilkins et Arbuthnot avaient prévu d'être les premières sur les lieux pour préparer l'arrivée de leurs colocataires mais celles-ci les ont précédées et se sont attribué les meilleures chambres.

Avril est réellement enchanteur sur la côte Ligure et Elisabeth von Arnim nous fait profiter de l'exubérance de la végétation annuelle et c'est un pur plaisir visuel à défaut d'être olfactif mais le cerveau peut prendre le relais.

Elles ont toutes de longs moments d'introspection et de solitude mais quand elles se côtoient l'auteure s'est lâché sur les dialogues humoristiques, mais tout en finesse avec une dérision bien perceptible pour toutes des couches sociales de l'Angleterre des années 1920 ! C'est une belle étude de personnalités qu'elle nous offre.

J'ai beaucoup pouffé et c'est une lecture réjouissante pleine de ce que l'on pourrait nommer de “bons sentiments” mais sans morale et sans religion ! La fin est un plus romancée sans tomber dans le ridicule !

Challenge Multi-Défis 2022
Challenge Plumes Féminines 2022
Challenge Solidaire 2022
Challenge 20ème Siècle 2022
Pioche dans ma PAL janvier 2022 : Pas-Chacha
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Ce sont d'abord deux jeunes femmes, de condition modestes, qui s'ennuient sous la pluie londonienne et rêvent d'un peu de soleil et de sortir de leur morne quotidien d'épouses. Dans leur club de Hampstead, en lisant le journal, elles voient une petite annonce proposant la location d'un petit château médiéval en Italie. Afin d'en réduire les frais, et en cachette de leurs maris respectifs, elles recrutent, toujours par petites annonces, deux autres femmes pour partager ce séjour. Après un long et fatiguant voyage, commence alors leur "avril enchanté".
Aux deux jeunes femmes timides s'ajoutent ainsi une aristocrate à la beauté saisissante qui recherche la solitude pour échapper à ses prétendants et une vieille veuve qui a connu tout ce que l'époque victorienne a produit d'artistes désormais décédés.
Les associations de ces quatre personnes qui ne se connaissaient pas ne cessent d'engendrer des situations dans lesquelles le lecteur s'amuse à voir où chacune place le respect des convenances et où elle pense se situer par rapport aux autres. A qui doit revenir la préséance ? La plus âgée ? L'aristocrate ? La première a voir lu l'annonce ? Celle qui parle le mieux italien ?
J'ai beaucoup aimé l'humour qui se dégage de ces rencontres, et les propos de ces femmes sur les maris, en particulier pour celles qui en sont (ou étaient) pourvues. le printemps italien, visible dans les modifications des fleurs du jardin pendant ces quatre semaines, n'en finit pas de produire un enchantement sur ces quatre personnes qui souhaitent bientôt que lesdits maris les rejoignent pour partager ensemble ce printemps. La fin aurait pu tourner au vaudeville mais conserve cette grâce quasi magique qui rejaillit sur tous les personnages et les modifie pour les rendre plus heureux et reconnaissants.
Une charmante lecture, d'une auteure que je ne connaissais absolument pas et qui est une agréable surprise.
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Elles sont quatre; quatre femmes qui ne se connaissent pas et décident pourtant de partager un château sur les côtes liguriennes en ce joli mois d'avril 1922. Comme une parenthèse dans leur vie qui ne les satisfont plus, comme un moment hors du temps, comme une retraite qui leur permettrait de trouver un nouvel élan.

Certains diront qu'il ne se passe pas grand chose dans ce roman et par certains côtés, ce n'est pas faux. le lecteur lui-même se laisse prendre par ce farniente sous le soleil, enivré par les parfums des innombrables fleurs qui ornent le sublime jardin du château.
Il ne se passe pas grand chose et pourtant... les quatre anglaises mettront ce mois d'avril à profit pour repenser leur vie et secouer leur mélancolie. C'est surtout l'optimisme et l'énergie de l'une d'entre elles qui provoquera les étincelles.

Ce roman a un goût de suranné, aussi bien dans son propos que dans sa facture. Une de ces romances bien ancrées dans leur époque, après la première guerre mondiale, et qui a sans doute permis à des milliers de femmes de se vider l'esprit. Parce que le mal, quelle que soit sa forme, n'a aucune place dans ce roman. C'est fleuri, c'est sucré, c'est pétillant, c'est léger, c'est parfois drôle et c'est rempli de bonnes intentions.
Une lecture qui respire la fraîcheur désuète d'un temps qui n'est plus...
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Une parenthèse enchantée sur la riviera italienne. Une lecture reposante et bienvenue après des lectures parfois un peu trop sérieuses et moins divertissantes.
L'Italie, baie de Gênes, la mer, le soleil, des fleurs et des parfums.
Un séjour de rêve dans un château médiéval, pour des anglaises accablées par les pluies londoniennes, qui partent en goguette, délestées de leurs maris, l'un d'eux plutôt mufle, l'autre indifférent.

Laissons là les détails. La plume de E. von Arnim est fort délicate, très début de siècle, so british et facétieuse.

Ah l'emploi du passé simple et de l'imparfait du subjonctif, qui ont déserté depuis longtemps l'écriture contemporaine !
Un petit plaisir au charme désuet mais ô combien subtil et savoureux.

L'auteure dresse un portrait des épouses encore asservies et régentées par la culture victorienne dont il est bien difficile de s'affranchir. L'intrigue se déroule dans les années 20.
La réunion de ces 4 femmes sur la côte Ligure reste cocasse car elles n'ont que peu de points communs.

Elisabeth von Arnim s'amuse avec ses personnages et ironise sur les penchants égoïstes de certaines, leur attribuant des propos parfois désobligeants, ou un comportement égocentrique.
Bref ces dames sont présentées puis décortiquées avec un humour mordant, caustique.

Bref un très bon moment avec ces dames
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Quatre femmes anglaises, qui ne se connaissent pas, décident de partir en Italie en louant ensemble un petit château, au mois d'avril, par le biais d'une petite annonce.
Quatre personnes très différentes qui fuient le quotidien de leur vie londonienne : l'une pour fuir son mari méprisant, l'autre pour fuir son mari indifférent, l'une pour fuir sa cage dorée, et la dernière pour soigner ses rhumatismes à moindre coût.
D'origines et de milieux différents, elles devront cohabiter ensemble dans ce château. La magie du lieu enchanteur de San Salvatore saura-t-il venir à bout de toutes ces différences ?

Avril enchanté est un joli roman rafraîchissant qui nous offre de beaux portraits de femme, peut être un poil trop caricatural parfois. L'Italie du mois d'avril est éclatante de beauté et de lumière.
Malgré les introspections parfois sombres de certains personnages, le livre délivre un sentiment d'optimisme et de confiance en l'avenir.

Une jolie découverte.
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