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Critique de Phoenicia
Excellente lecture, dévorée en deux jours et qui n'est pas sans rappeler 1984 de Georges Orwell.
La Servante écarlate est une dystopie "futuriste" dans laquelle une dictature religieuse remplace l'Amérique contemporaine. Tout y est : contrôle de la population et des média, terreur, idéologie fanatique (en l'occurrence religieuse) et même résistance. le sujet central concerne la fertilité et l'esclavage sexuel.
On se retrouve dans les pensées de Defred, une servante écarlate dont même le nom nous est inconnu. Avec elle, la dystopie de Margaret Atwood prend corps. Et alors que l'histoire se passe au moment de son service, les pensées de Defred nous ramène à sa vie d'avant, son enfance, sa vie d'étudiante, sa vie de famille, sa formation...
Popularisée avec la sortie de la série, j'ai eu envie de lire l'oeuvre originale avant de m'attaquer à la série saluée par la critique. Et j'avoue ne pas avoir été déçue. Il s'agit d'une dystopie qui donne des frissons, fait réfléchir. Tout le long je me suis demandée ce que pourrait être la fin... et j'avoue que celle-ci ne m'a aucunement déçue.
La Servante écarlate est une dystopie "futuriste" dans laquelle une dictature religieuse remplace l'Amérique contemporaine. Tout y est : contrôle de la population et des média, terreur, idéologie fanatique (en l'occurrence religieuse) et même résistance. le sujet central concerne la fertilité et l'esclavage sexuel.
On se retrouve dans les pensées de Defred, une servante écarlate dont même le nom nous est inconnu. Avec elle, la dystopie de Margaret Atwood prend corps. Et alors que l'histoire se passe au moment de son service, les pensées de Defred nous ramène à sa vie d'avant, son enfance, sa vie d'étudiante, sa vie de famille, sa formation...
Popularisée avec la sortie de la série, j'ai eu envie de lire l'oeuvre originale avant de m'attaquer à la série saluée par la critique. Et j'avoue ne pas avoir été déçue. Il s'agit d'une dystopie qui donne des frissons, fait réfléchir. Tout le long je me suis demandée ce que pourrait être la fin... et j'avoue que celle-ci ne m'a aucunement déçue.
