"Mille espérances s'emparent de son esprit. Je ne sais à laquelle m'arrêter. Il vaut mieux s'en remettre aux destins...
Quant à toi, ma patrie, puisque tu m'abandonnes, j'irai me réfugier dans l'aire des aigles généreux.
Je suis né de la terre. Toute la terre est ma patrie, tous les hommes sont mes frères."
A bu al-Arab, réfugié à Séville après la prise de Palerme par les Hauteville.
In Les empires normands d'Orient, Pierre Aubé, Tempus n°132, p. 178.