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Critique de Gaphanie
De bonnes raisons de mourir, je ne sais pas s'il y en a, mais en tous cas, de bonnes raisons de lire ce polar de Morgan Audic, il y en a quelques unes !
Le contexte dans lequel s'insère l'intrigue d'abord : Pripiat, les ruines suite à la catastrophe de Tchernobyl et les tensions entre la Russie et l'Ukraine. Original et dépaysant.
Les personnages ensuite : entre Melnyk, vieux flic fatigué et sa coéquipère aux dents longues, Novak, officiellement chargés de l'enquête, Rybalnik, policier aussi, mais engagé à titre privé par le père de la victime, un être abominable et abject, les membres de l'association 1986, les fachos de service et autres trafiquants, sans oublier les touristes... En voilà des parcours surprenants et des interactions intéressantes !
L'intrigue aussi est bien ficelée : faux-semblants, trahisons, mensonges, retournements de situation...Tous les ingrédients sont parfaitement dosés ! D'ailleurs, si on sait assez vite qui est le mystérieux assassin, ses véritables mobiles n'apparaissent pas clairement avant la fin. Et la résolution du double meurtre de 1986 aussi, est assez surprenante.
Si je reprends les romans de la lecture commune polar 2021, celui-ci, de septembre donc, arrive en 3e position dans mes préférences sur les neufs lectures que cette année compte pour le moment, après Les Disparus du phare, de Peter May, et le Loup des Cordeliers, de Henri Loevenbruck.
Place à celle d'octobre à présent !
Le contexte dans lequel s'insère l'intrigue d'abord : Pripiat, les ruines suite à la catastrophe de Tchernobyl et les tensions entre la Russie et l'Ukraine. Original et dépaysant.
Les personnages ensuite : entre Melnyk, vieux flic fatigué et sa coéquipère aux dents longues, Novak, officiellement chargés de l'enquête, Rybalnik, policier aussi, mais engagé à titre privé par le père de la victime, un être abominable et abject, les membres de l'association 1986, les fachos de service et autres trafiquants, sans oublier les touristes... En voilà des parcours surprenants et des interactions intéressantes !
L'intrigue aussi est bien ficelée : faux-semblants, trahisons, mensonges, retournements de situation...Tous les ingrédients sont parfaitement dosés ! D'ailleurs, si on sait assez vite qui est le mystérieux assassin, ses véritables mobiles n'apparaissent pas clairement avant la fin. Et la résolution du double meurtre de 1986 aussi, est assez surprenante.
Si je reprends les romans de la lecture commune polar 2021, celui-ci, de septembre donc, arrive en 3e position dans mes préférences sur les neufs lectures que cette année compte pour le moment, après Les Disparus du phare, de Peter May, et le Loup des Cordeliers, de Henri Loevenbruck.
Place à celle d'octobre à présent !
