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3,75

sur 760 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Franchement, je suis assez partagée après la lecture de ce dernier tome. Face au réel plaisir de retrouver Ayla, Jondalar, les Zelandonis et la multitude de personnages qui compose cette série superbe, un profond ennui m'a traversé à intervalle régulier que seul un réel désir de découvrir la fin de cette saga m'a fait ignoré. Beaucoup de redites, de descriptions,... même si tout cela est fort bien écrit, j'ai trouvé que cela alourdissait la lecture.
200 pages en moins n'auraient pas été de trop.
Vous allez me trouver dure, mais je le pense sincèrement.

Ceci dit, comme beaucoup d'autres lecteurs, le savoir avant, ne m'aurait pas empêché de lire le pays des grottes sacrées tant je ne me voyais pas faire l'impasse sur ce dernier tome.

Voilà pour le point négatif (mais qui aura beaucoup compté dans mon appréciation) car pour le reste, on ne peut que saluer le génie et la passion d'Auel qui sait vraiment retranscrire ses recherches menées sur nos lointains ancêtres, les récentes découvertes et la beauté des sites préhistoriques qu'elle a visités, accompagnée de nombreux experts en ce domaine.

Beaucoup des préoccupations des Zelandonis mises en lumière par l'auteure semblent tellement proches de ce qui aurait pu être, qu'on en vient à s'imaginer les choses comme elle nous les livre : le chamanisme, les structures et le mode de fonctionnement des différentes cavernes (social, économique, …), les mouvements de populations (les causes, leurs conséquences), sans oublier la signification des peintures rupestres auxquelles elle donne vie, au fur et à mesure de la formation d'Ayla.

Les personnages et l'histoire passent donc en second plan dans ce dernier tome, tout entier voué à la beauté et au mystère des grottes sacrées…

"Les Enfants de la Terre étaient heureux, la Mère pouvait se reposer un peu."
Lien : http://page39.eklablog.com/l..
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J adore cette série que j ai lue deux fois (à 20 ans d intervalle). le plaisir a été le même à chaque fois. Ma deuxième lecture devait me rafraîchir la mémoire avant de lire ce tome que je ne connaissais pas.
J ai été relativement déçue. Même si cela reste très bien documenté je n ai pas été enthousiasmée par l intrigue. Ayla est chez les zelandoni le peuple de son compagnon Jondalar et grâce à ses aptitudes hors du commun elle suit une formation pour accéder à la zelandonia . Dans ce tome nous découvrons donc beaucoup de grottes. Mais en dehors de ça tout sent le réchauffé des autres tomes. Beaucoup de redites, des présentations de personnages à rallonge. Je me suis lassée de voir les autres personnages s étonner de son accent (sur plus de 1000 pages c est usant) ou de ses animaux. Je n ai pas vibré. Je n ai pas tremblé. Tout ce qui me plaisait dans les autres tomes était mis de côté. Même la relation entre jondalar et Ayla était presque platonique ce dont on avait pas l habitude. Que dire du dernier quart du livre. J ai été hyper déçue de Jondalar qui fait un sacré bond en arrière dans la stupidité reproduisant toutes ses erreurs de jeunesse alors qu on pensait qu il avait énormément changé. Dommage. le tome de trop à mon sens. Je relirai peut être la série car en dehors de ce tome elle est vraiment excellente mais je ne relirai pas ce tome qui n apporte rien et au contraire gâche un peu la série.
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Voici donc le 6è tome de cette longue saga préhistorique qui retrace la destinée d'Ayla, au cours de la dernière période glaciaire, 30 000 ans avant notre ère, à travers toute l'Europe.



Pour qui prendrait l'histoire à partir de ce tome, , il n'y aurait pas de gros problème de compréhension, car les faits originels sont repris : Ayla est une jeune Homo sapiens, qui a perdu ses parents très tôt et a été recueillie par un groupe de Néandertaliens, dits tête-plates (et oui déjà à cette époque, d'aucuns se permettaient de comparer les civilisations...) Elle n'apprendra que beaucoup plus tard le langage qui est celui de son peuple ce qui lui conférera un accent la désignant comme étrangère. Mais là ne s'arrêtent pas ses singularités : chassée par ceux qui l'ont élevée, elle vit seule pendant toute une période où elle va profondément s'imprégner des connaissances que lui enseigne l'observation de la nature, des animaux et des plantes, savoir dont elle avait acquis les rudiments chez les Néandertaliens. Son périple est largement exposée au cours des premiers tomes de la saga.


Pour qui a déjà longuement savouré toute l'épopée, l'histoire se fait un peu répétitive. Tout l'intérêt de ce nouvel épisode est la visite des grottes du sud ouest de la France : nous sommes cette fois en pays connu (même si celui-ci se nomme Zelandonia) Cette visite fait partie de l'enseignement que reçoit Ayla par la Première de sa caverne dont on pressent qu'elle est appelée à lui succéder.

Par ailleurs Ayla est maman d'une petite fille née de son union avec le beau Jondalar Pour le reste beaucoup de redites : à chaque nouvelle communauté rencontrée, Ayla surprend par son accent et ses animaux (chevaux et loup domestiqués, ce qui est complètement hors norme dans ce contexte, et inspire à chaque fois la peur, jusqu'à ce qu'Ayla démontre l'absence de danger et l'utilité de ces animaux). Si l'on compare aux épisodes précédents, on a moins de scènes sexuelles torrides : le couple a beaucoup plus de préoccupations domestiques et vit en communauté ce qui ne favorise pas l'intimité...

Dans le droit chemin des précédents tomes, on retrouve les thèmes du racisme, souvent liés à la méconnaissance de l'autre, de la résilience (les personnages abimés vont par l'intermédiaire d'Ayla sublimer leurs limites et retrouver un rôle actif dans le groupe, comme Ayla a pu le faire dans sa jeunesse.) J'ai apprécié cette lecture comme les précédents en regrettant toutefois les longueurs et les répétitions, sur lesquelles je l'avoue, j'ai quelquefois lu les pages en diagonale. L'ensemble aurait gagné à être un peu plus concis (à chaque présentation d'Ayla au cours du périple qu'elle parcourt, ses antécédents sont rappelés et de la même façon...). 600 pages, c'est long pour une simple visite des grottes peintes...

Je remercie Masse Critique de Babelio et les éditions Pocket pour ce partenariat fort apprécié

Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Dernier tome tant attendu de la célèbre saga préhistorique Les Enfants de la Terre, c'est suite à quelques jours de vacances dans le Périgord que je me lance dans cet ouvrage (histoire de rester un peu dans l'ambiance)... J'ai en effet eu l'occasion de visiter entre autres Rouffignac et Lascaux, quoi de mieux que d'y mettre des personnages qu'on a déjà appris à connaître et à aimer tout au long des 5 premiers tomes ?

C'est donc avec un réel plaisir que je retrouve Ayla, tout juste mère, et son compagnon Jondalar, qui se sont bien habitués à la vie parmi les Zelandonii. Les multiples talents de la jeune femme ont piqué l'intérêt de la Première (grand chef spirituel), qui décide de la former afin qu'elle prenne sa succession plus tard. On va ainsi suivre Ayla tout au long d'une formation enrichissante, parfois pénible et au détriment de sa famille, mais qui va lui permettre de prendre conscience de beaucoup de choses et de faire évoluer son peuple à sa manière.

J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. La première moitié du roman est pleine de longs rappels à propos de faits, de coutumes, de techniques qui avaient déjà été expliquées en long, en large et en travers dans les tomes précédents, au détriment de l'histoire elle-même qui du coup a mis du temps à démarrer. Lorsqu'Ayla commence enfin son périple de doniate, ça devient plus intéressant, malgré quelques longueurs qui restent dans le texte... C'est principalement cette longue formation spirituelle d'Ayla au coeur des grottes préhistoriques qui nous est d'abord racontée, avec des descriptions très poussées et complètes des lieux qu'elle visite, des peintures, des ornements de ces grottes si représentatives aujourd'hui de la préhistoire. Heureusement vers le milieu du tome tout s'accélère et j'ai enfin pu entrer dans l'histoire et retrouver tout le plaisir que j'avais eu à suivre la jeune femme dans les tomes précédents. Malgré toutes ses longueurs et le fait que, de toute la saga, c'est le tome que j'ai le moins apprécié, le Pays des grottes sacrées a le mérite d'offrir une fin digne de ce nom à cette magnifique saga préhistorique, Les Enfants de la Terre.
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Ainsi s'achève la passionnante histoire d'Ayla, notre petite Cro-Magnon qui en aura fait du chemin. Une longue épopée de 6 tomes qui se termine au bout de 35 ans d'écriture. Oui, c'est fini! Et en un sens, il était temps. Un tome de plus et j'aurai suffoqué car ce livre me semble quasi inutile, il aurait peut-être mieux fallu s'arrêter au tome 5. Trop long, trop de répétitions, des passages copié/collé des tomes précédents... alors là, il y en a assez, je sature; l'intrigue est trop plate à mon goût, il ne se passe quasiment rien, pas d'action, rien de spécial mais... car il y a un "mais"... j'ai quand même apprécié retrouver Ayla, Jondalar, Loup & cie, découvrir les grottes de nos ancêtres plus en détail, faire de nouvelles découvertes (médecine, croyance etc...).
En conclusion, je m'attendais à bien mieux, à une conclusion digne de cette magnifique saga qui m'avait plu dès le début.
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Le dernier tome des aventures d'Ayla et Jondalar.
Ayla est devenue l'acolyte de la Première. On reste dans l'univers familier du tome 5 avec les habitants de la Neuvième Caverne. La petite carte au début est sympathique et j'aurais aimé l'avoir quand nous nous sommes baladés dans le Périgord.
L'essentiel du livre est consacré au voyage de Doniate d'Ayla, c'est-à-dire le voyage qu'elle doit entreprendre en compagnie de la Première pour devenir Doniate. Bien sur, la compagnie comprend aussi Jondalar, Jonalyla, leur bébé, Loup, les chevaux et quelques membres de la Neuvième Caverne, soit un beau petit groupe. Leur voyage va les amener à visiter les plus beaux sites de grottes peintes de la région.
Je suis sûr que Jean Auel a passé beaucoup de temps pour décrire les grottes le plus exactement possible et surement aussi le trajet entre chacune, mais force est de constater, qu'après la deuxième et quelques répétitions du Chant de la Mère, on s'ennuie ferme. Certes, la description est sympathique, mais c'est assez similaire au tome 5 et j'avoue m'être ennuié.
Un bel effort malgré tout sur la fin pour injecter un peu plus de souffle.
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Trop c'est trop!
Et nous voilà repartis dans ce sixième tome pour 682 pages de délayage.
"Nous te remercions Doni,Mère de Toutes choses et nous remercions l'Esprit du Lion des Cavernes"
Ayla, l'héroïne de cette saga, dotée de capacités sensorielles hors-normes, initiée au langage des signes (par les Têtes plates qui l'ont élevée après la disparition de ses parents homo-sapiens suite à un séisme) et de dons de guerisseuse, est devenue acolyte de la Zelandoni. Toujours amoureuse de Jondalar (un Autre comme elle) très charismatique dont elle a une fillette Jondalya, Ayla future doniate attend d'être "appelée".
Les enfants de la Terre tome 6 nous conte la vie paisible, les déplacements de cette famille et de leur communauté entre rites,chasse,monde des Esprits,cérémonies,quotidien dans des cavernes aux peintures rupestres qui signent l'avènement de l'art.
Seule originalité, la jalousie, poison parfois mortel, qui s'insinue dans un couple souvent sollicité.
Brukeval à l'amour obsessionnel,Ranec le beau sculpteur noir jadis aimé,la superbe Marona,Loramar "le géant aux cheveux rouges". Autant de pièces rapportées explosives susceptibles de mettre le feu aux poudres.
Ayla égarée "dans les immensités du Néant" saura-t-elle retrouver sa route et jouer le rôle qui lui est dévolu?
Un roman à lire comme un premier tome (pour l'intéret historique romancé du passage crucial de l'homme de Néanderthal à l' Homo-sapiens avec tous les progrés engendrés consécutifs) mais lassant en sixième!
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Difficile de parler du livre sans dévoiler les cinq opus précédents.
La petite Ayla, devenue orpheline après le grand tremblement de terre du premier tome, a bien grandi. Elle est devenue une maman a son tour et continue son évolution...
On retrouve avec plaisir Ayla et on la suit avec autant de plaisir que dans les tomes précédents.
Attachant, très documenté, on partage la vie d'Ayla tout autant que la vie dans le monde préhistorique...
Une belle saga...
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Il aura fallu près de 35 ans à Jean Auel pour conclure la fantastique odyssée d'Ayla et de Jondalar. Bien que tous les tomes n'aient pas été égaux, c'est toujours avec plaisir que je me suis plongée dans cette préhistoire.

Maintenant, Ayla est bien intégrée dans le peuple de son compagnon, même qu'elle y occupe un poste d'importance. J'ai parfois trouvé la description des grottes qu'elle visite un peu longue et répétitive. J'aurais préféré que les lieux sacrés qu'elle visite soient plus diversifiés, surtout que l'auteure excelle pour faire des descriptions vivantes. Les relations entre Ayla, très occupée par son nouveau poste, et Jondalar ne sont pas toujours au beau fixe, comme on y a été habitué dans les tomes précédents, ce qui ajoute un élément pas toujours essentiel.

Aussi, près de la fin du livre, et du même coup de la série, l'auteure ajoute des histoires à celles qu'elle devait déjà conclure. Et ce qui devait arriver arrive : elle est dans l'obligation de bâcler la fin pour pouvoir terminer et conclure toutes les histoires qu'elle avait semées depuis le début de la série. Je dirais que les dernières pages m'ont vraiment déçue, même si je suis soulagée que les boucles soient bouclées et qu'on ne puisse espérer une suite. Je crois que ce dernier tome était peut-être de trop, même s'il fut un plaisir pour moi de voir une dernière fois Ayla, Jondalar, Jonayla, Loup, Whinney, Rapide et Grise.
Lien : http://www.libellul.com/?p=2..
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Petite déception avec ce sixième et dernier tome de la saga des Ayla. Ce fut sans doute le tome de trop.
Jean M. Auel a pris longtemps avant de donner une suite et un clap final aux aventures d'Ayla et des condisciples de sa Caverne. Elle a sans doute hésité, elle aurait du renoncer. A moins que les sirènes du succès aient été trop fortes...

C'était pourtant avec plaisir que j'ai ouvert l'ouvrage. En plus, le thème "le pays des grottes sacrées", situait toute l'histoire en Dordogne et dans le Lot, régions chères à mon coeur. Les grottes sacrées visitées par Ayla et sa Zelandoni, je les connais, j'en ai visité certaines, toujours émerveillée. Et découvrir une partie de leur histoire, me les imaginer à l'origine.... me faisait vraiment envie.

Malheureusement, Jean M. Auel s'est perdue dans des réminiscences des volumes précédents et y a ajouté des descriptions d'une longueur lassante.

Donc, si retrouver Ayla et Jondalar était agréable, je n'ai malheureusement pas su apprécier cet ultime volume.
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