Une nouvelle qui emmène dans le Paris d'après-guerre (et ses coupons d'alimentation) à la découverte d'un peintre qui, sans le savoir, crée des toiles nourrissantes, et ceci n'est pas une métaphore.
Le personnage principal est attachant, l'histoire est originale, globalement bien racontée, et interroge sur le monde artistique (les Critiques, le marché, les amitiés et jalousies) et la société.
Après
Travelingue, cette nouvelle me donne envie de continuer dans la découverte de
Marcel Aymé qui était surtout une lecture d'école - pour moi,
les contes du chat perché et en extrait, je crois,
le passe-muraille. (Ça tombe bien, j'ai
La belle image dans ma PAL.)
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